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La rédaction
Démocratie Participative
04 juillet 2022
L’attaque de ZOG contre la Russie n’a jamais visé la Russie, mais l’axe énergétique germano-russe, pilier de l’économie continentale.
Maintenant que cet axe est détruit, l’économie allemande est à genoux, et avec elle tout le reste du continent.
Bonjour de l’#Allemagne, qui chute en tant que puissance économique à l’échelle mondiale. L’excédent commercial de l’Allemagne a disparu. La balance du commerce extérieur s’est établie à MOINS d’un milliard d’euros en mai, ce qui constitue le premier résultat négatif depuis 1991, en raison des problèmes énergétiques et de la faiblesse du secteur manufacturier.
Good Morning from #Germany, which is falling as an economic powerhouse on a global scale. Germany’s trade surplus is gone. Foreign trade balance came in at MINUS €1bn in May, which is the 1st negative print since 1991 due to its energy problems & weakness in manufacturing. pic.twitter.com/HnRBwNaQon
— Holger Zschaepitz (@Schuldensuehner) July 4, 2022
Sans l’excédent commercial allemand, l’Eurozone n’a aucune chance de se maintenir.
Fini l’argent gratuit.
Les souverainistes fronssés peuvent oublier leur rêve de grandeur : les prix de l’énergie en Europe n’ont pas fini d’exploser, entre conflit avec la Russie et délire écolo-millénariste pro-éoliennes. On ne produit pratiquement plus rien, alors avec une énergie hors de prix, les marchés mondiaux seront rapidement hors d’atteinte, surtout que la Russie livre de l’énergie à prix cassé à toute l’Asie, concurrente directe de l’industrie européenne. Si en plus la dette française s’effondre dans la foulée de la paralysie de l’appareil productif allemand, on peut éteindre les lumières.
Avec nos supporters anglais et notre empoisonnement obligatoire, je ne crois pas que le tourisme suffise à faire tenir une économie qui ne tient plus que par l’emprunt à grande échelle.
La bonne nouvelle, c’est que les fonctionnaires mélenchonistes, les boomers en retraite macronistes et les métèques de la CAF vont subir une perte calorique très importante dans les années à venir.
[Chiffre de la gestion] 114,5%, c’est le niveau de la dette publique française par rapport au produit intérieur brut à fin mars 2022, soit une hausse de 2 points en trois mois, à 2,902 Mds€.
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