« L’École de la vie » sur FRONSSE 2 : de courageux profs de gauche luttent contre des élèves blancs « radicalisés » qui harcèlent les maghrébins !

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 octobre 2021

 

Vous payez une généreuse redevance aux juifs pour que leur télévision diffuse des appels constants à la haine antiblanche en vue de votre génocide en France.

En d’autres termes, ces hébreux s’enrichissent grâce à votre mise à mort. Une façon de joindre l’utile à l’agréable.

Le scénariste employé par les juifs ici est un certain Soiliho Bodin, mulâtre dégueulasse de son état.

Il a la couleur marron-grisâtre typique de cette catégorie de sous-hommes.

Si après deux siècles de fermentation républicaine le Français de base est irrémédiablement englué dans son égalitarisme constructiviste au point de ne même pas comprendre que les races existent, les allogènes pour leur part ne pensent qu’en termes raciaux.

Plus exactement, en termes d’inégalité raciale.

Ce mulâtre, comme tous les mulâtres, se sait pertinemment inférieur aux Blancs, ce qui génère un violent sentiment de jalousie raciale. En même temps, il sait aussi que sa part de sang blanc le rend supérieur aux nègres et fait de lui leur chef naturel. C’est la raison pour laquelle les mulâtres sont toujours les cadres de l’agitation raciale négroïde : les nègres leur servent de levier contre les Blancs qui les écrasent de leur supériorité.

Pour le mulâtre, mieux vaut être maître en enfer que serviteur au paradis.

Ce que j’essaie d’inculquer avec la patience d’un moine bénédictin aux lecteurs, c’est de se débarrasser du fatras d’abstractions égalitaristes dans lesquelles est enchâssé leur esprit pour partir des réalités empiriques qui régissent l’humanité, à commencer par les déterminismes raciaux.

Il faut détruire 1789 et 1945 et implanter fermement à la place une froide conception biologique et élitiste de l’histoire. La conséquence politique de cette conception historique est l’anéantissement de la démocratie, sous toutes ses formes.

Que cela plaise ou pas, et aussi lourde soit la charge, les dieux ont confié à l’homme blanc le rôle de bâtisseur et de protecteur du Bien sur terre. Ce qui suppose pour lui de dominer impitoyablement contre les forces maléfiques qui tentent constamment d’amener le monde vers l’abîme. Dès que l’homme blanc cesse de vouloir remplir cette mission, les dieux le châtient en générant la révolte des forces obscures dont le juif, lieutenant du Mal sur terre, est le chef naturel.

Nous sommes précisément dans un tel moment et parce que l’homme blanc refuse de remplir son devoir, la situation s’aggrave chaque jour un peu plus.

Parmi les légions infernales figure en bonne place la figure du mulâtre.

Ces créatures frappées de la malédiction divine que sont les mulâtres n’ont pour seul instinct que de faire tomber la brutalité négroïde sur le monde, par vengeance de la déchéance raciale que leur a infligé le Fatum. Le mulâtre n’est pas différent de l’Ange déchu qui, une fois chassé du paradis, entreprend de ruiner la beauté de la Création en corrompant les hommes. C’est d’ailleurs le véritable sens de ce mythe relaté dans la torah (la « Bible » des chrétiens), reste d’un antique et sage enseignement racial ultérieurement escamoté par des scribes juifs.

Le mulâtre, visage défiguré du vice incarné, est le serviteur naturel et docile du juif partout où il pose le pied.

C’est pour cela que les traînées à nègres entraînent universellement un profond sentiment de répulsion, quelque soit leur race.

On peut certes rire du manque de sophistication d’un Bassem Braiki, mais il est plus pertinent et plus en prise avec la réalité de l’histoire humaine que l’entièreté de la droite nationaliste hexagonale avec ses serments rousseauistes et sa passion paternaliste jamais démentie pour le nègre et la cafritude.

Heureusement que les allogènes sont racistes pour le compte des Français.

Cela nous soulage en partie d’avoir à les sortir nous-mêmes de leurs conceptions juives du monde.

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