Le Libre Panzer
Démocratie Participative
09 décembre 2018
Voilà pourquoi il ne faut jamais tergiverser avec ces rats : ils profiteront de moindre opportunité pour s’infiltrer à nouveau s’ils ont déjà été contraints de reculer.
Le Point :
L’ampleur exceptionnelle de la crise des Gilets jaunes et des mouvements d’intense contestation qui balayent la France depuis plusieurs semaines pourrait-elle avoir des conséquences inattendues ? Comme le rapporte Le Parisien ce dimanche via une indiscrétion qui tombe à pic, Nicolas Sarkozy caresserait l’éventualité d’un retour en politique en cas de force majeure.
Il n’y a pas de cas force majeure.
Ce cancrelat cherche depuis 6 ans maintenant le moindre interstice qui lui permettrait revenir dévorer le peuple français.
Il y a quelques semaines, avant même l’éclatement de la colère des Gilets jaunes et que la question ne vienne véritablement à se poser, l’ancien chef de l’État confiait à l’un des nombreux élus qui défilent régulièrement dans son bureau cette conversation entretenue avec son épouse. « Carla me dit : « Nicolas, j’espère que tu vas rester sage. » Mais vous avez vu la situation ? Je ne vais peut-être pas avoir le choix, je vais peut-être être obligé de revenir. »
NB : Carla Bruni, l’ancienne pute à juif d’Enthoven père & fils.
Ainsi « la situation », qui s’est a fortiori dégradée depuis la confidence, pourrait-elle mettre fin à un retrait de la vie politique dont il ne sort que ponctuellement, sa dernière intervention en date étant le grand entretien accordé au Point à la fin du mois d’octobre ? Nicolas Sarkozy y tenait d’ailleurs un tout autre discours : « Je savais dès le début que le pouvoir était une parenthèse dont on n’est pas propriétaire, expliquait-il alors. (…) J’ai commis des erreurs, il y a des choses que je referais différemment, mais je n’ai aucune amertume, aucun regret. » Il annonçait même vouloir laisser du temps à un Emmanuel Macron « bien servi » en matière de critiques.
En ce moment, la juiverie cherche un joker.
Mais le youtron de Salonique se méprend s’il croit qu’il a la moindre chance.