Le Libre Panzer
Démocratie Participative
30 novembre 2018
Il y a d’abord eu l’annonce du plan de destruction des nations blanches par les juifs de Google et la reconfiguration sémitique des sociétés européennes abondamment détaillée avec la Pologne pour laboratoire.
La juiverie a ensuite annoncé sa volonté de donner aux rabbins la censure de la Bible chrétienne avec, en parallèle, le prélèvement d’une part du PIB de chaque état européen pour financer la protection du pouvoir juif continental.
Des mots aux actes.
L’ex-FN a désormais en son sein un groupe de commissaires politiques juifs chargés de s’assurer que l’ancien parti de Jean-Marie Le Pen soit un parti juif orthodoxe.
Pour « maintenir la vigilance contre toute dérive du parti », une vingtaine d’élus et sympathisants du Rassemblement national ont créé un collectif, intitulé le Rassemblement national juif, dont le nom a été déposé à l’Inpi. A l’initiative de ce lancement, l’ex-adjoint aux Finances du maire d’Hénin-Beaumont, Jean-Richard Sulzer, explique la démarche à Challenges.
Si vous ne connaissez pas cet hébreu.
Les juifs détaillent cette judéo-bochevisation du RN.
Challenges – Vous avez créé une association baptisée « Rassemblement national juif », quel est son but ?
Jean-Richard Sulzer – C’est une association qui regroupe des élus, des militants et des sympathisants du Rassemblement national qui ont à cœur de sensibiliser les dirigeants du Rassemblement national au ressenti de la communauté juive au sein du parti. L’association compte une vingtaine de membres et a été officiellement créée en juin dernier. Nous avons aussi déposé le nom « Rassemblement national juif » auprès de l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi) afin de pouvoir l’utiliser dans d’éventuelles publications ou affiches.
Pourquoi lancer ce collectif aujourd’hui ?
Notre démarche est celle d’un soutien bienveillant mais vigilant au Rassemblement national. Depuis six mois, nous constatons l’arrivée dans les instances du parti et l’entourage de Marine Le Pen de personnalités qui nous inquiètent et, pour le dire clairement, qu’on soupçonne de penchants antisémites. La venue de Steve Bannon, le sulfureux ex-conseiller de Donald Trump, au congrès de Lille en mars n’était pas non plus un bon signal. Cela explique que plusieurs élus et militants du RN aient souhaité créer ce collectif qui agira comme un comité de vigilance.
Ce juif Sulzer a de l’appétit.
Bannon est un philosémite notoire et d’ailleurs, toutes ses initiatives sont menées avec un agent israélien installé en Belgique, Mischaël Modrikamen. Mais ce n’est visiblement pas assez.
D’ailleurs, puisqu’il est question de s’assurer de la sémitisation définitive du RN de Marine Le Pen, il vaut la peine de préciser que, désormais, l’antisémitisme – que l’on gagnerait à qualifier de contre-sémitisme – a une définition très élargie.
I24 :
« L’antisémitisme et l’antisionisme, les politiques anti-israéliennes, l’idée que le peuple juif n’a pas le droit d’avoir un état, c’est ce que j’appelle l’antisémitisme par excellence« , a ajouté M. Netanyahou.
De son côté, le chef de l’Agence juive, Yitzak Herzog, a déclaré que l’antisémitisme était une « maladie » qui « doit être combattue avant de ne devenir une pandémie », et a appelé à intensifier les études sur la Shoah dans les écoles européennes.
Le contre-sémitisme n’est pas la maladie mais l’antidote à la maladie du sémitisme. Il suffit simplement de remettre à l’endroit les propos des juifs pour comprendre la réalité.
Selon ces juifs, quiconque refusera de prêter allégeance à Israël sera catalogué comme un antisémite et l’antisémitisme devrait, sur ordre des juifs, être légalement considéré comme du terrorisme.
C’est ce qu’exige le rapport sur la censure de l’internet européen remis par le CRIF au gouvernement d’occupation français (page 25 dudit rapport).
L’hydre hébraïque entend bien étreindre mortellement la France et l’Europe.
Le RN mariniste veut apporter sa maigre contribution.