Captain Harlock
Démocratie participative
30 janvier 2019
Je suis ce juif Glucksmann avec constance. Vous me direz que, d’une manière générale, je suis les juifs avec constance.
Mais je suis ce juif tout particulièrement.
Le mouvement Place publique, emmené par l’essayiste Raphaël Glucksmann, lance ce mardi soir sa campagne pour les européennes. Alors que le PS, EELV, Génération.s et le PCF menacent de partir chacun de leur côté dans la bataille, il appelle à l’union de la gauche pour « mener le combat contre les nationalistes »
« L’Europe est menacée de dislocation par les Salvini, par les Orban, par le triomphe des nationalismes » : c’est en posant ce constat alarmiste que Raphaël Glucksmann, fondateur du mouvement Place publique, espère arriver à convaincre les partis de gauche de s’unir, pour partir ensemble aux élections européennes de mai prochain.
« Le combat à mener n’est pas celui des Verts contre Génération.s, de Génération.s contre les Verts ou contre le Parti Socialiste. Le combat à mener, c’est celui contre les nationalistes« , poursuit-il.
C’est sur ces points forts qu’il faut que la gauche bâtisse son projet selon lui : « L’alternative, c’est d’offrir à Emmanuel Macron sur un plateau d’argent le fait d’être un rempart contre le Front National [Rassemblement National ndlr]. C’est limiter le débat au face-à-face entre les nationalistes et les libéraux. Cela veut dire qu’à terme les nationalistes gagneront, et que la gauche disparaîtra. Le problème de la gauche française et des écologistes, c’est qu’il y a de moins en moins de monde dans leurs épiceries, mais ils conservent tout de même les videurs à l’entrée. On est dans une logique suicidaire ».
Par principe – et je ne le répéterai jamais assez – quand un juif parle, c’est pour dissimuler ses véritables objectifs.
Les phrases du juif sont toujours habilement taillées pour cacher ses véritables intentions.
Quand ce juif Glucksmann parle de « gauche », il parle bien sûr de la gauche sous domination juive et des moyens de maintenir cette domination.
Cette histoire « d’union » de la gauche n’a aucun intérêt en elle-même pour les juifs. Ce n’est qu’un moyen pour une fin, en l’occurrence d’éviter que la gauche populiste n’entre en rupture avec Macron et le centre juif.
Le juif Glucksmann sait pertinemment qu’il ne peut pas déclarer les raisons réelles qui le poussent à vouloir obtenir ce ralliement car il devrait alors avouer que seule la domination juive sur la vie politique française lui importe. Il procède donc en attachant un maillon après l’autre pour former la grande chaîne juive qu’est la gauche. Il érige un premier principe : que la gauche populiste se rallie à la gauche financière juive au sein d’une « union des gauches » présentée comme « antifasciste ». Anti-blanche plus exactement.
Ce n’est qu’en obtenant ce premier arrimage que le second est possible – celui de la gauche unie au centre judéo-macroniste -, la gauche juive se ralliant par évidence à tout ce qui peut s’opposer à tout ce qui est national.
Glucksmann est donc occupé à essayer de capturer la gauche populiste avant de la ramener sur les rails de la finance internationale.
Alors que cet hébreu se démène pour amener les goyim à faire les volontés de ces gauchistes zombifiés, le juif Bernard-Henri Lévy agit de même pour le compte du centre judéo-macroniste.
L’Europe, est-ce #Macron contre #Orban ? Pas si simple, bien sûr. Mais, dans l’urgence d’un moment tragique, il faut faire la part du feu et savoir où sont les amis de la liberté et où les fossoyeurs de l’Europe. @leJDD. Entretien avec A. Cabana et H. Gattegno. #LookingForEurope pic.twitter.com/nWNV07S1mI
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 27 janvier 2019
Mais derrière, le juif ne redoute qu’une chose : le principe de l’émeute. C’est-à-dire, de la plèbe aryenne en colère contre le système juif.
Et la désarticulation de l’UE, outre qu’elle infligerait un coup terrible à la finance juive, ouvrirait les rues aux masses révolutionnaires.