Le youpin communiste du Chili Tomas Hirsch conspire avec la maire antifa de Barcelone pour empêcher les Blancs de se rebeller

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
11 février 2018

Quand vous entendez le mot « humaniste », dites-vous bien que c’est un homonyme pour dire judéo-communiste.

Pressenza :

Gerardo Pisarello, premier adjoint au maire de Barcelone, a reçu Tomas Hirsch, candidat humaniste élu pour le Frente Amplio (*) au Chili.

Afin d’établir des liens entre les forces politiques liées au panorama européen, le jeudi 8 février, Tomas Hirsch a eu une conversation cordiale et proche, avec Gerardo Pisarello et Alexandre Masllorens, du parti « Barcelona en Comú », de la maire Ada Colau.

Pour rappel, on résumera le profil politique de la militante antifa Colau en une seule image.

Il est des rapprochements logiques.

La rencontre a permis d’échanger sur les différentes réalités sociales auxquelles il faut faire face et de voir la similitude des propositions et des défis à relever malgré les différentes situations où elles s’appliquent.

Au cours de cet échange, Pisarello et Hirsch ont montré une fois de plus leur grand engagement social, leur conviction dans la défense des droits des citoyens qui sont soumis à la précarité imposée par un néolibéralisme dévastateur, à la spéculation, à la corruption, à l’élimination des droits fondamentaux des populations et à la montée de l’extrême droite qui gagne du terrain en Amérique du Sud et en Europe.

Pisarello a été très clair dans sa déclaration : « Si notre initiative politique ne fonctionne pas, il n’y aura pas d’autre pare-feu à l’extrême droite, et ce qui peut arriver alors sera très compliqué ».

Un bref résumé du CV de Tomás René Hirsch Goldschmidt.

Wikipédia :

Hirsch est né à Santiago, au Chili, de parents juifs d’Allemagne. Sa mère, Lysa Goldschmidt est arrivé au Chili avant la Seconde Guerre Mondiale tandis que son père, Jorge Hirsch, est arrivé dans le pays après avoir fui les camps de concentration nazis.

Hirsch était a une vision hautement révolutionnaire de la société chilienne et son parti appelle pour des changements systémiques de l’économie en faveur d’une société plus égalitaire, réellement socialiste et démocratique pour tous les chiliens. Certaines de ses vues sont proches de celles du Parti Communiste du Chili.

Cette rencontre ajoute un autre lien à ceux que Tomas Hirsch maintient avec les nouvelles forces politiques progressistes en Europe, intéressé à en apprendre davantage sur l’expérience des autres groupes proches et qui ont déjà quelques années de parcours politique et sont conscients de l’importance de tisser un réseau mondial de forces connexes.

Le juif Hirsch est donc venu conspirer à Barcelone, à des milliers de kilomètres du Chili, pour « empêcher l’extrême-droite » de gagner. C’est-à-dire les Blancs.

Ceci dans le cadre d’un « réseau mondial ».