Le white knight à la tête du renseignement australien désigne les incels comme la principale menace terroriste pour la « démocratie »

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 février 2022

Vous feriez mieux de prendre très au sérieux ces déclarations du chef du contre-espionnage australien, parce que son collègue français pense exactement la même chose.

The Daily Mail :

Le plus haut responsable de l’espionnage intérieur australien a averti que les « incels » et les adolescents radicalisés dès l’âge de 13 ans font partie des plus grandes menaces pour la sécurité du pays.

Incel est l’abréviation de involuntary celibate (célibataire involontaire), une sous-culture en ligne d’hommes qui expriment leur rage envers les femmes qui leur refusent des relations sexuelles.

Formés à l’origine dans un groupe Reddit, les incels fantasment souvent sur la violence et sont connus pour célébrer des fusillades de masse.

« Ce sont des misogynes qui pensent que les femmes sont à l’origine de tous leurs problèmes et ils ont tué des gens à l’étranger », a déclaré M. Burgess au journal de 19h30 mercredi soir. « Nous avons des gens avec ce genre d’idées ici, dans ce pays. »

Ce Burgess parle comme le white knight ultime.

En fait, c’est sa fonction au sein de la vaginocratie policière australienne : servir les femmes blanches au pouvoir et s’assurer qu’elles le conservent.

Mais il n’a pas une tête de white knight.

Il a une tête d’homosexuel sadique qui se place dans la roue des féministes pour mieux torturer les jeunes hommes blancs qu’il aimerait violer.

Et c’est exactement ce qu’il fait par procuration à la tête des renseignements australiens.

N’importe quelle personne qui se penche sur ce pays qu’est l’Australie ne peut parvenir qu’à une seule conclusion : l’ennemi de l’Australie est son gouvernement tyrannique qui se sert du Covid19 pour instaurer un état policier permanent.

Si ça ne te plaît pas, tu n’avais qu’à pouvoir baiser, incel – signé le contre-espionnage australien

Le chef du renseignement australien a une conclusion radicalement différente.

Pour lui, l’Australie est actuellement menacée par des adolescents qui n’arrivent pas à coucher.

Comme tous les pays occidentaux après un siècle de féminisme, l’Australie est un état dont la loi est intégralement centrée autour du droit inaliénable des femmes d’aller au bout de leur hypergamie.

Cette société centrée autour de l’hypergamie féminine génère naturellement une énorme cohorte de mâles sans accès stable à une partenaire.

L’appareil sécuritaire australien ne peut plus ignorer cette réalité à présent qu’elle a pris des proportions colossales.

Les chiffres sont à peu près les mêmes partout, un quart des jeunes hommes occidentaux n’ont pas de relations sexuelles. Quant aux autres, une part considérable n’a aucune visibilité parce qu’ils tombent sur des traînées qui sautent d’une bite à l’autre.

Plutôt que d’opérer une révision radicale du processus féministe qui a massivement déstabilisé la société, la police australienne est en train d’assimiler ces mâles livrés à la famine sexuelle à des terroristes, à égalité avec l’Etat Islamique.

C’est évidemment la conclusion que tirerait toute garce qui jubile à l’idée de faire baver des mecs prisonniers de leur célibat.

C’est du sadisme pur.

La police féministe australienne va donc décréter que toute opposition au Great Reset est le fait de puceaux néo-nazis antivax et que ces puceaux sont au moins aussi dangereux que l’EI.

M. Burgess a reconnu que la pandémie de Covid-19 a accru la menace que représentent les segments radicalisés de la société et les « comportements antidémocratiques ».

Il a déclaré que l’ASIO n’était pas concerné par les protestations et les oppositions « légales », comme on l’a vu lors des récentes manifestations contre le mandat de vaccination organisées par le « Convoy to Canberra ».

« Nous avions prédit une augmentation des comportements anti-gouvernementaux et anti-démocratiques, mais ce n’est pas seulement le Covid qui en est la cause « , a-t-il déclaré. « Il y a une augmentation inquiétante, y compris du nationalisme, du racisme et de l’extrémisme violent, qui sont les griefs que nous voyons ici. »

Le système désigne comme ennemis d’état tous ceux qui ne sont pas en haut de la chaîne alimentaire, qu’elle soit sociale ou sexuelle.

C’est-à-dire tous les jeunes hommes blancs dont la seule fonction est de rembourser les dettes des boomers et des 4/10 improductives qui estiment avoir le droit à rien moins que David Beckham ou Brad Pitt.

Ce que l’appareil sécuritaire australien appelle « des comportements antidémocratiques ».

La phase suivante, c’est logiquement d’enfermer les jeunes Blancs dans une vierge de fer collective pour protéger la théocratie ovarienne.

EELB sera bientôt de retour

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