Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 février 2018
Mmmm, apparemment, c’est le baroud d’honneur.
L’Obs :
Avec la publication, le 1er mars, du premier tome de ses Mémoires, le fondateur du parti d’extrême droite entend bien continuer à jouer un rôle au FN.
Ses proches brandissent aussi la menace de sa venue à l’ouverture du congrès du FN si la cour d’appel de Versailles, qui doit se prononcer le 9 février sur son exclusion, validait son titre de président d’honneur. « Il a la forme pour y aller », prévient Lorrain de Saint-Affrique, qui imagine déjà une arrivée du » président » digne des obsèques de Johnny : « »Nous avons un réseau de 300 bikers bretons prêts à lui faire escorte. Ça peut le faire pour saluer le retour à la démocratie au FN. » »
Quoi qu’il arrive, ce seront ses dernières heures comme président d’honneur : lors du congrès, les militants frontistes se prononceront sur un changement de statut supprimant définitivement cette fonction.
Le sang celte se met à parler.
Certes, le Vieux est responsable de la situation dans laquelle il se trouve. Mais s’il peut participer, à son corps défendant, à l’effondrement de sa dégénérée de fille, je prends.
Hélas, les sodomites veulent conserver la main mise sur le FN.
Interrogé sur BFM-TV pour savoir si le FN interdirait l’accès du congrès à M. Le Pen, M. Briois a répondu : « évidemment ».
M. Briois a estimé que « dans un mois, toute cette question de la présidence d’honneur sera réglée par le vote des adhérents ». Les militants du FN à ce congrès vont en effet s’exprimer sur un changement des statuts de la formation politique, qui supprimera cette fonction.
Or les adhérents du FN « ont déjà été consultés, il y a deux ans de cela, et ils avaient, à 95%, souhaité supprimer la présidence d’honneur et modifier les statuts du Front national », a fait valoir M. Briois. « Il n’y a pas de raison à ce qu’aujourd’hui les adhérents reviennent sur leur vote d’il y a deux ans », selon lui.
Jean-Marie Le Pen, joint par l’AFP, a menacé ce vendredi de se rendre au congrès du Front national en mars en recourant à la « force publique ». « A priori je devrais aller » au congrès du FN, a déclaré le co-fondateur du parti d’extrême droite, qu’il a présidé de 1972 à 2011. « J’ai suffisamment de partisans au Front national pour n’avoir pas besoin de la force publique. Mais s’il était nécessaire de le faire, pourquoi pas ».
Immonde fiotte.
Ce congrès doit devenir un enfer pour ces sales fiottes.