Captain Harlock
Démocratie Participative
23 septembre 2019
Karl Münter, vétéran de la Waffen SS injustement persécuté par les juifs, a préféré partir paisiblement pour le Valhalla plutôt que d’être mis en scène dans un énième procès politique monté de toutes pièces.
Le Monde :
Il devait comparaître prochainement pour avoir cautionné un massacre en France en 1944 et tenu des propos négationnistes sur l’Holocauste. L’ancien SS Karl Münter est mort, a fait savoir dimanche 22 septembre le parquet allemand de Hildesheim, en Basse-Saxe, chargé des poursuites. « La procédure engagée contre lui est du coup éteinte », a-t-il ajouté.
Cet ancien SS, impliqué dans le massacre d’Ascq, dans le nord de la France en 1944, venait tout juste, en juillet, d’être mis en accusation par le parquet en vue d’un procès pour incitation à la haine raciale et atteinte à la mémoire des morts.
Karl Münter était poursuivi pour des propos fin 2018 à la chaîne de télévision publique ARD. Il y avait notamment assuré que le chiffre de six millions de juifs assassinés par les nazis était exagéré. « J’ai lu récemment quelque part que ce chiffre était faux, je n’y crois plus à tout cela », affirmait-il.
Permettez-moi de citer le livre de « l’historien officiel » Jean-Claude Pressac, édité par les époux Klarsfeld, intitulé Auschwitz. Technique and operation of the gas chambers.
A son corps défendant, Pressac, adversaire déclaré de ces « négationnistes », parvient à des conclusions accablantes pour les propagandistes juifs.
Comme le Professeur Robert Faurisson le faisait observer à propos de l’ouvrage de Pressac, la « comptabilité » de la synagogue n’a fait que fondre comme peau de chagrin :
Dans un film célèbre de 1955, Nuit et Brouillard, diffusé dans toutes les écoles de France, il est dit que le nombre des morts d’Auschwitz était de neuf millions. Le Tribunal de Nuremberg a entériné le chiffre de quatre millions (doc. URSS-008). Le monument d’Auschwitz-Birkenau portait également ce chiffre de quatre millions mais, en 1990, les inscriptions figurant sur ce monument ont été effacées. Dans son ouvrage de 1989 en anglais, Pressac écrivait que le chiffre oscillait entre un million et un million et demi [3]. Aujourd’hui, en 1993, dans son dernier ouvrage, il parle de 775.000 morts, chiffre arrondi à 800.000 (dont, selon lui, 630.000 juifs gazés). Le véritable chiffre des morts d’Auschwitz, pour la période 1939-1945, est probablement plus proche de 150.000, la plupart en raison des épidémies, du manque de nourriture et de l’épuisement au travail.
L’ancien SS avait aussi cautionné le massacre de 86 victimes civiles. Interrogé par ARD pour savoir s’il regrettait ces événements, l’intéressé, affirmant n’avoir pas directement participé à la tuerie mais avoir surveillé les personnes arrêtées, avait répondu : « Non pas du tout ! Pourquoi devrais-je regretter ? »
Voilà encore un exemple de l’œuvre de ces menteurs.
Cette presse juive cherche à présenter Münter comme une sorte d’assassin.
La presse russe avait rapporté la totalité de l’échange qui prend un tout autre sens.
« Si j’arrête des hommes, ils sont sous ma responsabilité et s’ils s’enfuient, j’ai le droit de tirer, » a déclaré Münster dans une interview filmée controversée bien qu’il nie avoir tiré sur quelqu’un lui-même et insiste sur le fait qu’il a simplement aidé à interpeller les victimes. »
« Pourquoi devrais-je le regretter ? » demande-t-il. « Je n’ai pas tiré un seul coup de feu. »
Effectivement : pourquoi regretter d’avoir tué qui que ce soit quand on a tué personne ?
C’est de la logique élémentaire.
Le procès devait se tenir en Allemagne, sous réserve de l’état de santé de l’accusé. La justice allemande avait, en mars 2018, abandonné les poursuites pour le rôle direct de Karl Münter en 1944, arguant que l’intéressé avait déjà été condamné par un tribunal militaire en France en 1949 et qu’il ne pouvait être jugé une seconde fois.
En Allemagne, Karl Münter a pu poursuivre sa vie comme employé de poste. Jusqu’au bout, il a gardé des sympathies avec l’idéologie nazie. Selon ARD, il a participé en novembre 2018 à une réunion du parti néo-nazi allemand NPD en Thuringe, pour y parler en tant que « témoin de l’époque » et signer des photos de lui. Il était considéré comme un « héros » au sein de cette mouvance, selon la chaîne allemande.
Quelle misérable époque que celle de ces tribunaux rabbiniques qui osent persécuter de vieux soldats.
Mais cette fois, le fatum en a décidé autrement.