Captain Harlock
Démocratie Participative
13 juillet 2021
Grosse nouvelle, totalement inattendue : les vaccins encore en phase de test entraînent l’apparition de maladies auto-immune.
Mais c’est important de croire en la science, hein.
L’Agence américaine du médicament a mis en garde lundi contre un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain-Barré, une rare atteinte neurologique, associé avec le vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson. De quoi réjouir les plus farouches « anti-vax » ce lundi alors qu’Emmanuel Macron veut vacciner à tout prix en France.
Les anti-vaxs ne se réjouissent pas du fait que l’on essaie activement de nous empoisonner, non.
C’est même tout le contraire. Chaque confirmation rend la situation encore plus intolérable.
Pourquoi les juifs de l’AFP, citée par Le Parisien, disent ça ? Pour nous faire passer pour des gens assoiffés de sang ? Jusqu’à présent, ce sont les juifs qui jubilent à l’idée de nous tuer en nous vaccinant de force.
Ces juifs se livrent encore à leurs accusations accusatoires.
Les autorités sanitaires américaines ont identifié 100 cas rapportés de personnes ayant développé le syndrome de Guillain-Barré, sur près de 12,5 millions de doses administrées de ce vaccin. Sur ces 100 cas, 95 étaient graves et ont requis une hospitalisation. Une personne est morte.
Cette déclaration fait suite à un article du Washington Post de lundi, selon lequel la FDA devait annoncer un nouvel avertissement sur le vaccin à coronavirus de J&J lié à une maladie auto-immune rare. Le syndrome de Guillain-Barré est une maladie neurologique rare dans laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque par erreur une partie du système nerveux périphérique, c’est-à-dire le réseau de nerfs situé en dehors du cerveau et de la moelle épinière.
L’argument des maxi-vaxx consiste à dire que « 100 personnes, ce n’est rien ».
Vous pouvez toujours expliquer ça à une personne qui est paralysée sur son lit, ou dont la femme ou le gamin est paralysé sur son lit.
Ensuite, ce n’est qu’un des effets secondaires parmi ceux déjà enregistrés en Europe et c’est un très sérieux effet secondaire. Il y a des centaines de milliers de personnes, parmi celles dont les statistiques nous sont connues, qui ont subi des effets secondaires graves, parfois mortels. Et nous n’en sommes qu’à quelques mois de vaccination. Le plus probable, c’est que la casse va s’étendre dans le temps. Surtout que nous allons vers une vaccination annuelle. Ou plutôt, une triple vaccination annuelle.
Quand on additionne tous ces cas, les risques avérés sont sidérants et dépassent très largement ce qui est toléré pour tous les programmes de vaccination ordinaires. Les médias du système banalisent ce qui se passe mais ça n’a rien de banal.
N’importe quel autre programme de vaccination aurait déjà été arrêté avec de telles statistiques.
En avril dernier, l’Agence européenne des médicaments (EMA) avait déjà annoncé que les caillots sanguins devraient être ajoutés aux « effets secondaires très rares » du vaccin Johnson & Johnson contre le Covid-19. L’annonce avait été faite lors d’une conférence de presse virtuelle « sur les conclusions à propos de l’évaluation de la sûreté » ce mardi. Toutefois, l’EMA estime que la balance bénéfice/risque de ce sérum reste « positive ». Cette décision est d’autant plus importante que plusieurs pays européens, dont la France, comptent sur ce vaccin pour accélérer leur campagne d’immunisation.
Pour parvenir à ses conclusions, l’Agence européenne du médicament dit s’être notamment appuyée sur huit rapports réalisés sur le sujet aux États-Unis, pays où plus de sept millions de personnes ont déjà été vaccinées avec le vaccin Johnson & Johnson. « Tous les cas sont survenus chez des personnes de moins de 60 ans dans les trois semaines suivant la vaccination, la majorité chez les femmes, écrit l’EMA dans son communiqué. Sur la base des preuves disponibles, aucun facteur de risques spécifiques n’avait pu être confirmé à l’époque.
C’est très rare.
Sans parler de la suite, c’est-à-dire des variants qui vont apparaître sous l’effet de la vaccination, se faire injecter ce produit chimique dans les veines implique un risque réel de mort ou de séquelles lourdes.
Rappel, à toutes fins utiles.
LCI :
À l’agence Reuters, un dirigeant d’AstraZeneca a déclaré au cours de l’été que dans la « situation unique » que nous vivons actuellement oblige sa société à ne « pas prendre de risque ». Et à se prémunir d’hypothétiques recours si à l’avenir « le vaccin présente des effets secondaires ». L’intéressé a alors expliqué que des clauses d’indemnisations étaient incluses dans les contrats d’achat anticipé signés avec une série de pays. « Pour la plupart des pays, il est acceptable de prendre ce risque sur leurs épaules parce que c’est dans leur intérêt national », a poursuivi le dirigeant.
Vous irez vous plaindre auprès du gouvernement si vous restez sur le carreau.
Mais n’espérez pas trop.
Comme la juive Agnès Buzyn, tous les responsables auront tous été recyclés par l’OMS avec l’aide de Bill Gates, son principal financier privé, et ils disposeront alors du statut de diplomates et de l’immunité qui va avec.
Les médias expliquent que cette immunité ne concerne pas leurs mandats précédents. Vous pourrez toujours essayer d’aller en Suisse dans les bâtiments de l’ONU pour essayer de discuter de vive voix avec ces gens, mais le plus probable est que la police vous arrêtera pour terrorisme à votre arrivée à l’aéroport.
Oui, techniquement, vous pouvez croire aveuglément le système qui vous disait que le masque ne servait à rien avant de traquer dans les rues les gens qui ne le portaient pas. C’est possible, rien ne vous en empêche. Mais s’il vous arrive quelque chose, vous serez seul et vous serez foutu. Vous poursuivrez l’Etat et au bout de 15 ans de procédure, vous serez indemnisé à hauteur de 7,000 euros.
Si vous êtes vivant, bien entendu.
L’alternative, c’est de devenir votre propre OMS. Vous décidez souverainement de ce que vous injectez ou pas dans votre organisme et celui de vos enfants et vous considérez toute personne qui essaie de vous inoculer par la force un produit chimique dans les veines comme un terroriste équivalent à ceux de l’Etat Islamique.
Le recours à la légitime défense est alors un droit.
Rien ne vous oblige à vous faire capturer par des flics et des infirmières antillaises pour vous faire injecter le produit que le juif Bourla a prévu pour vous.
Rien.
Ni aujourd’hui, ni demain.