La Rédaction
Démocratie Participative
07 novembre 2024
Le gangster orange est déjà en train de faire les volontés des juifs avec une brutalité nettement plus affirmée que celle de Biden.
En fait, à tous les niveaux, Biden est bien moins nuisible que l’octogénaire pro-transexuels de Floride.
L’une des idées de l’équipe du président américain élu Donald Trump pour mettre fin à la guerre contre la Russie consiste à retarder l’adhésion de Kiev à l’OTAN d’au moins 20 ans en échange de la poursuite des livraisons d’armes, a rapporté le Wall Street Journal (WSJ) le 6 novembre, citant trois sources proches de M. Trump.
M. Trump, qui a remporté le scrutin présidentiel le 5 novembre, a déclaré à plusieurs reprises qu’il mettrait fin à la guerre dans les « 24 heures » et que les États-Unis « sortiraient » de l’Ukraine.
Des rapports antérieurs des médias et des déclarations du cercle rapproché de M. Trump ont indiqué que cela impliquerait de geler la guerre sur les lignes de front actuelles et de créer une zone démilitarisée à l’est, une affirmation également soutenue par les sources du WSJ.
Qui est censé avaler cette ficelle ?
Que l’Ukraine soit nominalement dans l’OTAN ou non, elle est sous contrôle de l’OTAN à tous les niveaux. L’armée ukrainienne est armée, entraînée et encadrée par l’OTAN.
Cet artifice légal ne change rien stratégiquement, il s’agit au mieux d’un délai pour surarmer cet organisation terroriste.
La Russie occupe actuellement environ 20 % du territoire ukrainien dans le sud et l’est et continue de repousser les défenseurs ukrainiens, au prix de lourdes pertes.
On ne sait toujours pas qui assurerait le maintien de l’ordre dans la zone démilitarisée longue de 1 300 kilomètres, mais un collaborateur de M. Trump, dont l’identité n’a pas été révélée, a déclaré au WSJ que Washington demanderait aux alliés européens d’envoyer leurs troupes.
Trump allait forcément exiger de l’UE qu’elle fasse la guerre des juifs de New York en Ukraine en échange de maigres garanties de « protection », comme la pègre sait en faire.
Les politiciens européens sont si incompétents et émasculés, quand ils ne sont pas carrément des femmes, que rien n’est plus facile pour le truand de Mar-A-Lago.
Tous les juifs de Blackrock que Trump va mettre à la Maison Blanche s’assureront que leur retour sur investissement soit honoré et cela implique des millions de morts supplémentaires.
Fort heureusement, les Russes n’ont pas l’intention de négocier quoi que ce soit avec ces juifs. La seule chose à discuter est la capitulation sans conditions du régime terroriste de Kiev.
Le gangster orange se prépare à la fin de non-recevoir de Moscou et menace déjà d’intensifier massivement les livraisons d’armes à Zelensky.
Cette proposition n’est qu’une des idées qui circulent dans l’équipe de M. Trump, et le président élu a tendance à prendre des décisions politiques majeures sur-le-champ, ont indiqué les sources.
Deux conseillers de M. Trump, les généraux à la retraite Keith Kellogg et Fred Fleitz, ont proposé en juin de cesser l’aide militaire à l’Ukraine si celle-ci n’accepte pas de mener des négociations de paix avec la Russie.
Dans le même temps, M. Kellogg a déclaré que le plan impliquerait des avertissements supplémentaires à la Russie selon lesquels les États-Unis augmenteraient leur soutien militaire à l’Ukraine si elle refusait les conditions du cessez-le-feu.
M. Fleitz a déclaré que M. Trump avait réagi positivement au plan, mais il a ajouté : « Je ne prétends pas qu’il l’a approuvé ou qu’il en a approuvé chaque mot ». Le plan prévoyait également de retirer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN pendant « une période prolongée en échange d’un accord de paix global et vérifiable assorti de garanties de sécurité ».
L’Ukraine a présenté une demande d’adhésion à l’OTAN en 2022, mais n’a pas reçu d’invitation. Le président américain Joe Biden, le chancelier allemand Olaf Scholz et d’autres ont réagi froidement à cette demande.
Kiev et Moscou ont tous deux déclaré qu’il ne serait pas possible de mettre fin à la guerre en 24 heures, comme le prétend Trump. L’Ukraine a toujours refusé de reconnaître l’occupation russe de ses territoires, tout en admettant qu’il faudrait peut-être en libérer certains par des moyens diplomatiques.
De son côté, la Russie tient actuellement le haut du pavé sur le champ de bataille, les troupes ukrainiennes étant plus nombreuses et plus puissantes qu’elle, ce qui ne l’incite probablement pas à chercher un règlement.
Cette tactique de la carotte et du bâton pour gagner du temps ne fonctionnera pas avec les Russes. Ils sont entrés dans cette guerre pour la gagner et régler définitivement le problème posé par la CIA depuis Kiev.
Il faut donc se préparer à une escalade continue de la part du régime de Washington.
Pour Trump, c’est la routine. En avril, il avait supervisé une colossale livraison d’armes et de munitions pour plus de 60 milliards de dollars.
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