La rédaction
Démocratie Participative
23 février 2023
Cet homme a aboli la démocratie en Tunisie et mène désormais une large offensive raciale contre le péril négroïde qui menace le socle biologique du pays.
🇹🇳| Malgré les critiques, Kais Saied réitère ses propos sur le grand remplacement avec les encouragements de ses partisans.
« Ils veulent changer la composition de la démographie tunisienne. C’est un complot pour s’attaquer à l’État, au peuple et à l’identité tunisienne » pic.twitter.com/TywzW0iMas
— Morocco Intelligence (@MoroccoIntel) February 22, 2023
Cela ne plaît pas à tout le monde.
Quels propos horribles !
— Rali (@ralifromparis) February 22, 2023
Les droitards périgourdins LGBT à drapeau israélien en force !
Ils ne sont pas les seuls.
Les femmes fortes et indépendantes de Tunisie établies à Paris font savoir haut et fort que l’afflux de mâles négroïdes ne doit ralentir sous aucun prétexte.
Être étudiante tunisienne à Paris et voir le communiqué de Kais Saied d’hier soir, c’est ressentir beaucoup de choses à la fois.
C’est avoir honte, d’abord, de voir son chef d’Etat proférer des propos aussi éhontément racistes, parler de grand remplacement, et bafouer— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
aussi ouvertement les droits humains.
C’est ressentir de l’empathie, ensuite, envers les Subsaharien•nes, pour trop bien connaître la position dans laquelle iels se trouvent, dans un pays qui leur manifeste qu’il ne veut pas de leur présence.
C’est avoir peur, aussi, de— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
l’impact de ces mots, parce que l’on sait la légitimation des actes qu’ils portent. On a vu, en France, la montée des actes de haine avec la montée de l’extrême droite. On connaît les risques.
C’est aussi vivre dans sa chair ce qu’on a craint de nous-mêmes vivre ici, se sentir— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
tiraillé•e entre deux États, l’un qui nous signifie jour après jour qu’il ne veut pas de nous ; l’autre qui perpétue les mêmes violences à l’égard d’un nouveau groupe.
C’est, enfin, regarder de loin son pays sombrer dans ce qui peut uniquement être qualifié de fascisme, sous— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
les yeux apparemment encourageants de ses compatriotes. Pas une démission ministérielle. Pas une grande déclaration de désolidarisation. Des commentaires de soutien sur les réseaux sociaux.
Les déclarations d’hier soir portent en elles les germes d’un avenir très sombre.
— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
J’ai peur pour ma Tunisie. J’ai peur et honte de ce dont mon pays semble capable. Et j’espère de tout mon cœur avoir tort sur ce qui nous attend.
— Imen Atallah (@ImenAtallah1) February 22, 2023
Après tout, Bilal était noir.
Mais le peuple tunisien rejoint totalement ce projet d’épuration ethnique à grande échelle. La situation économique est très difficile compte tenu de l’inflation et les parasites négromorphes volent le couscous des Tunisiens.
Il dit la vérité, et parle l’opinion du peuple. Toi tu es à Paris et reste y on s’en fout de ton avis
— حسن 🇱🇧🇹🇳 (@senju_has) February 23, 2023
Contrairement aux Blancs, les Maghrébins ne sont pas portés aux spéculations philosophiques. Sitôt l’appel du Raïs lancé, les cafres ont senti la température brutalement augmenté à travers le pays.
À la suite de l’intervention du président tunisien #KaisSaied…
À gauche témoignage d’une sœur qui craint pour sa vie et qui demande de l’aide pour partir de la #Tunisie
À droite la confirmation de ses craintes. #GrandRemplacement #RacismeSystémique #negrophobie #subsaharien pic.twitter.com/vZr0w4wieq
— MOMO D YAZ 🇰🇲X🇷🇪 (@momoyaz42_0) February 23, 2023
Ces nègres vont déguster. En ce moment, le gouvernement tunisien donne virtuellement carte blanche au peuple pour faire des cartons contre ces démons noirs. Il n’y aura pas d’enquêtes, pas de peines de prison, rien.
Le violeur de la LDNA (dissoute) hurle comme un babouin du haut de son cocotier, exigeant de la France, patrie du Nègre, d’intervenir.
#Tunisie🇹🇳: Face aux multiples vagues d’agressions négrophobes et xénophobes visant les noirs suite aux propos racistes du président vassal Kaïs Saïed, incitant à la haine contre les réfugiés noirs dans le pays, nous exigeons que les ambassadeurs en Tunisie soient convoqués. 1/2 pic.twitter.com/g2oxhsNUKQ
— Egountchi Behanzin (@EgountchiLdna) February 22, 2023
Ces actes ne doivent pas restés impunis. Si les états ne prennent pas des mesures face à cette nouvelle vague d’agressions NÉGROPHOBES, ils seront tenus responsables de ces actes criminels et racistes. Réglez cela très vite, avant que l’Afrique noire ne déclenche une réciprocité.
— Egountchi Behanzin (@EgountchiLdna) February 22, 2023
Le gouvernement français mobilise ses beurettes journalistes sur place pour s’assurer que les Noirs puissent continuer de repeupler le pays.
En #Tunisie 🇹🇳, le président #KaisSaied veut des « mesures urgentes » contre les migrants subsahariens, affirmant que leur présence est source de « violence et de crimes ».
De nombreux internautes dénoncent « une dérive raciste », comme l’explique notre correspondante @liliagaida pic.twitter.com/WBdjQLSe3n
— FRANCE 24 Français (@France24_fr) February 22, 2023
Il est révélateur que depuis quelques jours le cafard Mélenchon tente d’agiter les Maghrébins de France contre le Raïs.
Alerte.
En #Tunisie c’est une nouvelle dictature qui se dessine. Le syndicat des ouvriers UGTT et maintenant les radios libres et les avocats sont inquiétés.
La France des libertés doit se mobiliser.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) February 13, 2023
Les Arabes n’ont pas besoin de démocratie, mais d’un chef à poigne qui veille à contenir leur tendance perpétuelle à la violence et au chaos.
La démocratie est une escroquerie juive qui n’a pour seule raison d’être que d’affaiblir et dissoudre une nation.
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