Capitaine Harlock
Démocratie Participative
16 mai 2017
Cet dégénéré ne connait aucune limite. Surtout pas à la décence.
Jean-Marc Rouillan, ancien membre du groupe armé Action directe, avait jugé les terroristes qui ont frappé la France en janvier et novembre 2015 «très courageux». Il a été condamné en appel à 18 mois de prison.
L’ancien membre d’Action directe Jean-Marc Rouillan a été condamné le 16 mai en appel à 18 mois de prison dont 10 mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve pour apologie du terrorisme, une peine plus lourde qu’en première instance. En effet, le 7 septembre 2016, il n’avait été condamné qu’à huit mois de prison ferme.
Cette nouvelle condamnation ne signifie toutefois pas automatiquement un retour derrière les barreaux pour Jean-Marc Rouillan, absent lors de la lecture de la décision, et qui se trouve en liberté conditionnelle. La peine ferme est en effet aménageable.
La cour d’appel n’a pas été aussi loin que le souhaitait l’accusation, qui avait requis deux ans de prison dont un an avec sursis. Les magistrats ont toutefois assorti en appel le sursis avec mise à l’épreuve de conditions strictes, en particulier une interdiction pour l’ancien d’Action directe de commenter l’affaire en public. Ils lui demandent également de verser 1 000 euros à l’Association française des victimes du terrorisme (AFVT), partie civile.
«Ils se sont battus courageusement : ils se battent dans les rues de Paris, alors qu’ils savent qu’il y a 2 000 ou 3 000 flics autour d’eux», avait-il lancé, tout en se disant hostile à l’idéologie «réactionnaire» des djihadistes.
En somme, Rouillan aurait simplement aimé que la vermine djihadiste soit communiste. A part ça, abattre des Blancs en masse pendant trois heures, ça semble plutôt lui aller.