Le Libre Panzer
Démocratie Participative
14 mars 2018
Ces terroristes juifs veulent parvenir à la destruction totale des Français de souche.
« Le combat pour les droits de l’homme n’est jamais complètement gagné, mais il n’est jamais perdu non plus. À condition de le mener ! » Cette phrase de son père, avocat et résistant, est devenue un leitmotiv pour le sociologue Alain Chouraqui. En conférence ce lundi à Besançon, en préambule de la Semaine d’éducation contre le racisme et l’antisémitisme qui se déroulera du 19 au 26 mars, celui qui est aussi président fondateur de la Fondation du Camp des Mille, près d’Aix-en-Provence, et responsable de la chaire UNESCO sur « Éducation citoyenne et convergence des mémoires », a présenté les grandes lignes du combat qu’il mène et qu’il a développé dans son livre, « Pour résister à l’engrenage des extrémismes, des racismes et de l’antisémitisme ».
Engrenage, tel aura été le pivot de son propos. Pour lui, il s’agit en effet d’« apprendre et de comprendre » les mécanismes du racisme et de l’antisémitisme « pour mieux agir, c’est-à-dire résister » face à la haine. « Car ne pas résister », dit-il, « fait le lit des extrémismes. »
« Le combat pour la suprématie juive n’est jamais complètement gagnée ».
Tu m’en diras tant, Chouraqui.
Notez comme ces juifs entendent jouer le premier rôle jusqu’à revendiquer un titre distinctif : « racisme et antisémitisme ». Ils disent en substance aux nègres, aux arabes et aux gitans, « ouai, bon, c’est derrière, en seconde classe, la première classe, c’est pour le peuple élu. On vous donnera les consignes après. »
Quelle ignoble race de truands. Ils truandent d’abord et avant tout les nègres qu’ils manipulent.
Ils sont repoussants.
L’idée n’étant pas, comme il l’a souligné « de s’inscrire dans une logique de révérence au passé mais bel et bien de référence pour le présent ». Concrètement ? Alors que, selon lui, le risque totalitaire est grand et grandit au sein de nos sociétés, il revient à chacun de ne pas laisser passer les propos racistes et ostracisant, et de lutter pied à pied pour tenter de désamorcer les crispations identitaires, qu’elles soient nationales ou religieuses.
« Oy vey, sales goyim, votre liberté d’expression s’arrête là où commence les intérêts de ma tribu !’
Seule et unique règle pour comprendre la juiverie : le juif hurle de douleur et chiale au moment où il vous poignarde dans le dos.
Et d’expliquer : « En temps normal, dans la société, vous avez en gros 10 % d’intolérants, 20 % de tolérants et 70 % de personnes qui ne se sentent guère concernées. Or, les attentats de ces dernières années ont conduit de plus en plus de gens à se positionner. De sorte, les taux ont triplé pour atteindre 30 % d’intolérants et 60 % de tolérants. Ainsi, si l’indice de tolérance est nettement meilleur, la société est plus clivée. Le problème, c’est que quel que soit le pays et quelle que soit la culture, dans toutes les sociétés qui vivent des accélérations dans les changements, vous avez toujours un tiers des personnes qui recherchent des repères forts et peuvent ainsi basculer vers l’extrémisme, identitaire, nationaliste ou religieux. C’est ce qu’il faut combattre. »
En effet, ces escrocs juifs aiment bien compter en pourcentages.
Les 30%, c’est le vote FN aux dernières élections présidentielles. Et ce sale youtre fait publiquement l’équation suivante : le problème, ce ne sont pas les attentats des égorgeurs d’allah, mais la réaction d’autodéfense qu’elle entraîne chez ces sales goyim. Les Français.
Décryptons la propagande de ce terroriste judéo-communiste : « il faut combattre l’instinct de conservation de la jeunesse française afin qu’elle accepte de se faire totalement submerger par l’invasion musulmane ».
Dit comme ça, c’est tout de suite beaucoup plus accessible.
Et en fait, dit comme ça, le rôle de la cinquième colonne juive est encore plus évident.
Cette vieille blatte sémitique gavée du fric ponctionné sur le prolétariat blanc veut imposer ce sort à leurs filles, partout, sur toute la surface du continent.
Cette diabolisation de l’instinct conservation des Blancs par ces sales juifs relève de la démoralisation systématique : une guerre psychologique menée en permanence contre les jeunes Français de souche afin qu’ils abandonnent toute idée de résistance.
Ces sales juifs sont des terroristes et des empoisonneurs, des saboteurs perpétuels.