Le terroriste Bernard Henri Lévy admet logiquement être plus proche de la vermine orientale que d’un « Français votant FN »

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 mars 2017

Le terroriste Bernard Henri Lévy – dit « BHL » – a enfin tenu des propos cohérents valant la peine d’être rapportés.

Les voilà, dans le texte :

Cohérents car en phase avec ce qu’il fait et dit depuis toujours.

Ce que veut dire Lévy, c’est que pour lui, son projet politique prime la solidarité vis-à-vis de ses « compatriotes ». C’est-à-dire la solidarité réelle, pratique, qu’induit le fait d’appartenir à un pays. On ne choisit pas ses parents ni sa nation. Lévy, si.

C’est ce qu’il nous dit en toute franchise.

Évidemment, il ne vit pas au milieu des Afghans ou des Kurdes, mais dans des palaces ou dans sa villa marocaine. Ce n’est qu’une façon de dire qu’il exècre les Français. Surtout s’ils veulent rester ce qu’ils sont. Et votent, en conséquence, Front National pour refuser l’immigration.

Cela peut valoir la peine de citer Rousseau :

Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins. (Jean-Jacques Rousseau, Émile, ou De l’éducation, Livre premier)

C’est exactement ce que dit le juif de gauche BHL : il préfère un Afghan – en paroles – pour ne pas avoir à être réellement français, c’est-à-dire solidaire de tous ses compatriotes théoriques, sans exclusive. Le patriotisme de Bernard Henri Lévy, c’est à la carte.

Comme un hôtel.

Il n’est patriote que lorsqu’il s’agit d’envoyer l’armée française faire une sale guerre, comme en Libye.

Je ne sais pas s’il dit la même chose des juifs d’extrême-droite en Israël. S’il préfère un Kurde démocrate à un Avigdor Lieberman. Il faudrait le lui demander.