Le terroriste algérien Taha Bouhafs libéré après avoir tenté de lyncher Macron dans un théâtre parisien

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 janvier 2020

 

La France a un nouveau héros.

Il a fallu attendre 72 heures après le triomphe du précédent, Adama Cissé.

Cette fois, c’est un algérien indigéniste de la Fronce Soumise.

Taha Bouhafs.

L’histoire a commencé avec l’exfiltration de Macron d’un théâtre parisien après l’irruption d’une horde de communistes et de métèques enfiévrés, vendredi soir. Bouhafs s’était glissé dans les lieux, comme un rat donc, pour ensuite appeler ses associés à le rejoindre à l’intérieur pour assassiner Macron.

Je pense qu’il voulait assassiner Macron avant de dire « touchez moi pas, j’ai rien fé ».

Les algériens font généralement ça. Ils tuent des gens et ensuite ils disent qu’ils n’ont rien fait.

Quoi qu’il en soit, c’est magnifique foirade des services de sécurité. Imaginez si à la place de ce rabza à 75 de QI, un commando de djihadistes expérimenté avait pénétré dans les lieux.

La gabonaise Obono a expliqué que cette tentative de meurtre était du journalisme.

J’imagine qu’au Gabon, assassiner un président relève du journalisme. En tout cas, c’est ce qu’en comprennent ces nègres là-bas.

Ils doivent avoir la même compréhension de la fonction d’un dentiste ou d’un postier. Même s’ils n’ont pas de dentistes ou de postiers.

En tout cas, Bouhafs n’est pas resté longtemps aux mains des flics. Les juges communistes l’ont libéré.

Tout ça est du dernier grotesque.

Macron contrôle l’arme nucléaire mais il ne peut même pas faire coffrer un bougnoule fanatisé.

Par contre, il peut faire coffrer n’importe quel Blanc passablement lassé de devoir payer des impôts pour nourrir des millions et des millions de bouches inutiles d’Afrique et du Moyen-Orient.

Cet algérien est défendu par le juif Arié Halimi. Ces sémites savent se serrer les coudes.

Enfin, il est temps que le pouvoir établi goûte à son propre poison islamo-diversitaire.