Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2021
C’est une catastrophe.
La quatrième vague pourrait avoir lieu d’ici fin juillet.
Cette semaine, 4,1 millions d’entre vous avez été vaccinés en centre ou en ville, dont 1,2 millions pour votre 1ère injection. Un record. Mais nous devons aller encore plus vite. C’est une course contre la montre qui se joue dans notre pays.
— Olivier Véran (@olivierveran) July 4, 2021
Depuis 5j, le virus ne baisse plus, il réaugmente. A cause du variant delta qui est très contagieux. L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin Juillet. Nous pouvons la limiter et en limiter l’impact sanitaire: gestes barrières, vaccin, tester/alerter/protéger
— Olivier Véran (@olivierveran) July 4, 2021
Une seule solution pour échapper au terrible variant indien : se faire injecter le poison de Pfizer.
Les vaccins font chuter le risque de forme grave, y compris avec le variant delta. Vacciné, on se contamine beaucoup moins, on transmet beaucoup moins, et on ne vit plus dans le stress. C’est un défi collectif que d’atteindre l’immunité collective, relevons-le ensemble !
— Olivier Véran (@olivierveran) July 4, 2021
Vous ne voudriez pas attraper le nez qui coule, si ?
BFMTV :
D’après les scientifiques britanniques, les principaux symptômes du variant Delta du Covid-19 – connu jusqu’ici sous le nom de variant indien – à savoir toux, maux de tête et nez qui coule, peuvent être confondus avec ceux de maladies moins graves.
Maux de têtes, gorge sèche, nez qui coule… ces symptômes sont souvent associés à un rhume ou à une grippe. Mais d’après les scientifiques britanniques, ils sont également associés au variant Delta du Covid-19, le plus répandu au Royaume-Uni.
Tim Spector, professeur d’épidémiologie génétique au King’s College à Londres, expliquait le 9 juin dans un point de l’étude ZOE sur le Covid-19 que le variant Delta, apparu pour la première fois en Inde, est beaucoup plus contagieux que les experts pouvaient l’imaginer. « En moyenne, une personne atteinte du variant Delta en infecte six autres sans restrictions sanitaires », explique-t-il.
Le professeur poursuit en expliquant que depuis le début du mois de mai, il travaille avec son équipe à répertorier les principaux symptômes de tous les utilisateurs de l’application ZOE, l’étude participative sur l’évolution de l’épidémie au Royaume-Uni. « Et ils ne sont plus les mêmes qu’auparavant. »
« Ça ressemble plus à un mauvais rhume chez les populations plus jeunes et les gens ne le réalisent pas », alerte Tim Spector. « Cela signifie que les gens pensent avoir un rhume saisonnier, donc ils continuent à sortir faire la fête, et donc inconsciemment peuvent transmettre le virus autour. »
Si vous refusez de vous protéger du nez qui coule, il n’y aura pas d’autre choix que de vous vacciner obligatoirement.
La société ne résistera pas à une épidémie de nez qui coulent.
Sérieusement, on ne peut plus perdre de temps.
*Merci à VPNdesfamilles