Sigmar Polaris
Démocratie Participative
08 mai 2021
Comme le passeport sanitaire, le vote électronique permettant la fraude à grande échelle sur le modèle US est mis en place sans aucune consultation.
Un scrutin peut en cacher un autre. 1,2 million de Français sont appelés à voter à la fin du mois pour choisir leurs représentants consulaires. Dans les pays où il y a une forte communauté française, ce sont ces conseillers et ces délégués qui font l’interface avec les autorités locales, pour lever certains blocages. Ils portent aussi la voix de la diaspora auprès des consulats et de la diplomatie française. Leur troisième mission : élire les sénateurs des Français de l’étranger.
Cela peut sembler éloigné de nos préoccupations métropolitaines, mais « les Français de l’étranger sont un bon laboratoire » en termes de modernisation de la démocratie : c’est le porte-parole d’En Marche Roland Lescure qui le dit.
Vous vivez dans un laboratoire.
Et vous êtes les rats.
Pour ces élections consulaires, deux manières de voter : le vote par internet, organisé entre le 21 et le 26 mai, et le vote classique dans les consulats, organisé le 29 et 30 mai.
Le vote par internet est organisé de manière anticipée pour que les listes électorales soient mises à jour dans l’intervalle et qu’un même électeur ne vote pas deux fois. Autre particularité : Le jour du vote dans l’urne, un même électeur peut avoir jusqu’à trois procurations ! Tout ça est fait pour booster la participation. Parce que si vous habitez à Denver, vous n’allez pas forcément faire 1 600 kilomètres pour aller voter dans votre consulat à Los Angeles.
Et il y en a un qui regarde cela de près, c’est Emmanuel Macron. Le président est particulièrement intéressé par ce dispositif, qui lui a été présenté en Conseil des ministres mi-avril par Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État chargé des Français de l’étranger.
Sauf que le ministère de l’Intérieur s’y oppose, en faisant valoir un risque de piratage. Avant les élections consulaires, des tests ont donc été menés pour s’assurer de la fiabilité des outils. « Ces tests sont concluants », assurent les équipes de Jean-Baptiste Lemoyne. « Le vote est sécurisé », explique un conseiller.
Ce ne sera pas forcément dupliqué dès demain sur une élection présidentielle, mais c’est une piste pour tous les scrutins intermédiaires. 1,2 million de votants, c’est l’équivalent d’une petite région, type Centre-Val-de-Loire… D’ailleurs, c’est ce qu’a semblé dire Emmanuel Macron en Conseil des ministres : ces élections consulaires auront valeur de test.
Une panique organisée avec une nouvelle « vague » et le vote numérisé sera mis en place.
Les goyim vont pouvoir voter en toute sécurité, le décompte est entre de (((bonnes mains))).