La rédaction
Démocratie Participative
15 juillet 2022
Tout n’est pas parfait avec Orban, mais ses qualités dépassent de beaucoup ses éventuels défauts.
Sous sa direction, la Hongrie entame une véritable révolution culturelle au centre de l’Europe pour rétablir le nationalisme ethnique – la race blanche donc – dans ses droits historiques.
« Nous [les Hongrois] ne sommes pas métissés, et nous ne voulons pas devenir métissés” – c’est ce qu’a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors de son discours à Tusnádfürdő, en Roumanie centrale, aujourd’hui.
Auparavant, il avait critiqué les pays et les hommes politiques d’Europe de l’Ouest pour avoir encouragé l’immigration et mélangé leur population avec d’autres peuples. Il a déclaré que les villes d’Europe occidentale étaient perdues au profit des populations non-européennes.
Nos lecteurs sont globalement convaincus de ce constat.
Mais à titre purement documentaire, mieux vaut apporter quelques éléments.
Ce sont les mêmes scènes en Grande-Bretagne.
Etc.
Les Français n’ont plus le choix : leurs villes sont totalement grand-remplacées.
La seule alternative qu’ils ont c’est de positiver en se disant que c’est cool, ou se lamenter en se disant que c’est une catastrophe.
Orban veut épargner cela à son peuple et préfère que les villes hongroises restent hongroises.
C’est-à-dire européennes : blanches, propres, sûres (c’est la même chose).
Le niveau de haine raciale contre les Blancs a atteint une telle intensité dans les démocraties judéo-marxistes occidentales, que le simple fait pour une nation blanche de vouloir vivre est assimilé à de la « haine ».
Viktor Orban « a également défendu sa vision d’une « race hongroise non mixte », dans un discours à l’université d’été de Baile Tusnad, en Transylvanie roumaine, où réside une importante communauté hongroise. »
Allo l’UE, y’a quelqu’un ? https://t.co/95Kffth9xc— Tristan Mendès France (@tristanmf) July 24, 2022
Toutefois, cette pathologie d’origine sémitique touche à sa fin.
C’est ce que signifie Orban.
M. Orbán a fait valoir que l’Occident s’est déplacé vers l’Europe centrale, suggérant que cette région serait l’avenir de l’Europe (…) Il a déclaré que ce serait la tâche de “nos enfants” d’accueillir les chrétiens d’Europe occidentale.
C’est un point de vue radical.
Orban ne nourrit aucune illusion sur le futur de l’Europe de l’Ouest racialement bolchevisée par la finance juive internationale.
Par « Chrétiens », je doute qu’Orban parle de Chrétiens. La Hongrie est complètement déchristianisée et cette dimension ne joue aucun rôle au quotidien dans la vie nationale hongroise.
Les deux tiers des jeunes Hongrois se disent sans religion, plus qu’en France.
C’est en revanche une façon de tenir implicitement un discours racial en vue d’une politique d’asile à grande échelle. Dans une Europe centrale qui traverse une grave dépression démographique, accueillir des Européens de l’Ouest peut paraître séduisant sur le papier.
J’ai des réserves.
Les cas ne seraient pas rares où des gens fuyant le chaos racial des démocraties multiculturelles feraient comme les musulmans qui fuient leurs pays : recréer là où ils arrivent les conditions qui les ont poussé à fuir.
N’importe qui a connu des expatriés occidentaux, encore plus lorsqu’ils sont français, a constaté à quel point ces gens sont des névrosés de la religion de l’égalitarisme. Ces bêtes malades fanatisées amènent leur pathologie avec elles, tout particulièrement les femmes blanches de France.
Immédiatement, elles s’activent pour déstabiliser la société d’accueil, crachant ostensiblement dans la soupe tout en soupirant sur le manque de sous-hommes basanés autour d’elles.
Un sérieux filtrage s’imposerait.
Après, je n’évoque pas le cas de l’immigration française plus globalement, car elle se résume de plus en plus vite à de l’immigration afro-musulmane.
D’évidence, Orban n’est pas demandeur de ces fronssés.
S’adressant à l’Université d’été de Bálványos à Baile Tusnad (Tusnádfürdő), en Roumanie, samedi, M. Orbán a déclaré que l’Occident et les “troupes” du financier George Soros se battaient contre l’Europe centrale pour “nous imposer les migrants”.
“Les migrations ont divisé l’Europe”, a-t-il ajouté. “L’Occident est coupé en deux”, avec une moitié composée de pays où cohabitent des peuples européens et non-européens. “Ces pays ne sont plus des nations”, a-t-il dit. “Dans un sens spirituel, l’Occident s’est déplacé vers l’Europe centrale”, a-t-il dit. Les deux moitiés de l’Europe sont engagées dans une bataille, a-t-il dit.
L’Occident a rejeté le désir de l’Europe centrale de permettre à chaque nation de vivre comme elle l’entend, “et ils continuent à se battre contre l’Europe centrale pour nous changer afin que nous soyons comme eux”, a-t-il déclaré.
C’est exactement cela.
C’est une lutte entre le messianisme chrétien sécularisé dirigé par les juifs qu’on appelle la démocratie et la race blanche. Quand on a compris qu’une démocratie n’est qu’une théocratie juive dont l’action vise à établir la victoire de la race juive sur le monde, on a tout compris.
Les hordes de non-Blancs qui déferlent actuellement en Europe de l’Ouest sont destinées à être lancées contre l’Europe centrale et orientale ensuite. La France judéo-négrifiée salive déjà à cette idée.
Ce qui peut arriver de mieux, c’est l’implosion de tous les états d’Europe de l’Ouest. Une fois concassés, ils seront incapables de mener cette guerre juive contre la race blanche.
Nous avons besoin d’une giga balkanisation. C’est ce qui replacera la race au coeur du processus politique.