Captain Harlock
Démocratie Participative
25 Avril 2020
Contrairement à ce que disent les juifs et leurs idiots utiles, ce sont bien ces yids qui sont obsédés par ce que font et disent les Blancs et non l’inverse.
Ces hébreux ne peuvent jamais trouver le sommeil en sachant que, quelque part, des goyim n’embrassent pas sans arrière-pensée leur dictature.
LICRA :
Public Sénat vous propose le regard, l’analyse, la mise en perspective de grands experts sur une crise déjà entrée dans l’Histoire. Aujourd’hui, le regard de… Mario Stasi, Président de la LICRA, Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme. Dès le début de la crise, les propos antisémites, racistes, homophobes et complotistes ont proliféré sur la toile. Cela prouve une nouvelle fois, selon lui, qu’il est urgent de faire adopter la loi Avia contre les contenus haineux sur internet. « Ne jamais oublier que le racisme n’est pas une opinion mais un délit ! »
Depuis votre poste de président de la LICRA, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans vos observations des comportements sociaux et humains depuis le début de cette crise ?
L’état de confinement exacerbe les qualités et les défauts de chacun et amplifie les tendances qu’on avait remarquées, notées, dénoncées. Pour ce qui est des tendances négatives et dangereuses, le combat de la LICRA est d’autant plus pertinent que le confinement a soumis la plupart des individus sous le joug des réseaux sociaux.
C’est une curieuse perception de la réalité.
Le seul joug tangible que chacun peut empiriquement observer est celui du placement en résidence surveillée de dizaines de millions de gens en France.
Quant aux réseaux sociaux, il y a beau temps qu’ils sont soumis à un autre joug : le joug juif. Facebook, YouTube ou Twitter ne sont plus que les ombres de ce qu’ils étaient jadis, avant la mise en place de la censure à grande échelle.
Facebook est par exemple devenu inutilisable. Les gens sont suspendus de façon presque aléatoire et ne savent pas exactement quoi répondre quand ils sont interrogés par la plateforme. Ou sont harcelés pour fournir des pièces d’identité. Sans parler, évidemment, de l’analyse de tout ce qui peut être dit sur ces plateformes par les services de renseignement.
Mais apparemment, ce qui frappe Stasi, c’est que des gens essaient encore de dire ce qu’ils pensent.
Certaines barrières morales s’étaient déjà fissurées ces derniers mois, au cours des dernières crises… Sont-elles en train de tomber complètement ?
Je ne dirais pas cela. Je dirais que la vigilance doit être d’autant plus grande que nous vivons un moment d’exception. Lorsque j’évoque ce moment d’exception, j’évoque un moment soumis à des lois d’exception. Je ne dis pas qu’il y a un effondrement, je dis qu’il y a un devoir de chacun des citoyens d’apporter une particulière vigilance à la façon avec laquelle les valeurs qui sous-tendent notre démocratie sont malmenées ou mises entre parenthèses, combattues ou oubliées. La France est un pays de débat et de contestation et je sais que le pire côtoie le meilleur, mais c’est à des associations comme la nôtre d’attirer l’attention sur les dérives. Et les dérives, on les constate. C’est la délation, ce sont des thèses complotistes, c’est le sempiternel antisémitisme qui revient à la charge, c’est l’homophobie. À ce titre, nous avons constaté sur les réseaux sociaux, depuis un mois et demi environ, des choses qui ne sont pas à la gloire de la circulation de ladite information.
La LICRA qui se lamente de la « délation », c’est assez cocasse pour une organisation juive dont la fonction est d’informer la police politique et de traîner des innocents devant le tribunal rabbinique.
Vous avez parlé « d’antisémitisme déconfiné »… Quelle forme prend-il ?
Malheureusement toujours la même. Une forme exacerbée. La forme des réseaux sociaux, de l’anonymat et de la thèse complotiste. Il n’a pas fallu bien longtemps pour que les Soral et consorts, et quand je dis consorts, ce sont tous ceux qui sous couvert d’anonymat, relaient ou portent le même discours, viennent fustiger, dénoncer les « Salomon », « Buzyn », « Lévy », comme étant les incompétents et ceux à qui profiterait cette pandémie. Il n’a pas fallu bien longtemps avant que ces réflexes antisémites prolifèrent sur la toile. À la LICRA, nous sommes attachés au respect des valeurs mais aussi à leur concrétisation dans l’action publique, c’est pourquoi nous ne nous satisfaisons pas de déclarations de principes. Nous ne sommes surtout pas là pour donner des leçons de morale, mais nous rappelons quelles sont les valeurs et nous souhaitons qu’elles se concrétisent par des actes, et notamment par des actes de la puissance publique et par des actes législatifs. L’urgence pour la LICRA, dès la sortie de ce confinement, c’est d’organiser le confinement des discours de haine, en faisant en sorte que la loi dite Avia soit adoptée dans les meilleurs délais.
Ha !
La France peut sombrer dans une dépression inédite, ce qui préoccupe ces juifs c’est le retard dans la mise en place de cette loi terroriste que la négresse idiote Avia a été chargée de faire voter pour le compte de la juiverie.
L’automate juif ne peut jamais s’arrêter d’être juif.
Vous avez évoqué Alain Soral qui a réalisé une vidéo dans laquelle il dresse une liste de personnalités dites juives à la tête des hautes administrations françaises ou des médias…Cette vidéo a été vue plus d’un million de fois… Qu’est-ce cela dit pour vous ? Comment interprétez-vous ce succès ?
Je suis fermement attaché à la liberté d’expression, à la responsabilisation de ceux qui portent la parole ou des écrits et à la distinction entre une opinion et un délit. Or, Alain Soral, lorsqu’il profère de telles ignominies, se comporte comme et est un délinquant. Le caractère totalement absurde de la situation, c’est que l’outil qui permet dans le cadre d’un confinement l’éducation de nos plus petits, est le même outil ou canal qui permet la prolifération sans limite de tels propos infâmes et délictueux. Ce qui m’importe au premier chef, c’est de couper le robinet de la haine, de couper ce déversoir d’immondices, de confiner ce discours de haine et de responsabiliser les plateformes et les hébergeurs afin que ceux-ci se voient enjoindre dans les meilleurs délais, sous la menace de lourdes sanctions financières, comme il en existe en Allemagne, de retirer les propos délictueux, haineux, antisémites, complotistes. Nous ne sommes pas dans la liberté d’expression, nous sommes face à la commission d’un délit. Il faut responsabiliser ceux qui aident sous couvert d’une soi-disant liberté d’expression, la commission de ce délit. Voilà ce que m’inspire le constat, et il est certain que l’état de confinement est un état grossissant de la situation démocratique de notre pays, dans ses meilleurs aspects comme dans les pires. Je suis très heureux par exemple que France Télévisions se soit rendu compte que la chaîne publique pouvait être un canal d’éducation et que l’on réfléchisse même à faire en sorte que France 4 soit ce canal d’éducation. Je me réjouis de ces prises de conscience.
Soral s’est contenté de dire ce que tout le monde voit : des juifs. Des juifs à tous les étages des organes de décision. Mais pas seulement. Des juifs qui ont sciemment saboté les moyens de réponse sanitaire et qui sont, via le tandem Buzyn/Lévy, directement impliqués dans l’apparition de ce virus étrange à Wuhan.
C’est d’ailleurs ces faits que les médias juifs ont cherché avec agressivité à faire disparaître. Et c’est ce que la LICRA voudrait faire disparaître, instantanément, sur les réseaux sociaux grâce à la loi Taieb dite « Avia ».
Ces sales juifs ne reculent devant rien lorsqu’il s’agit de pouvoir continuer à mentir pour tromper le goy.
L’histoire se répète. Crise égale forcément racisme, antisémitisme, complotisme. Vous arrive-t-il d’être découragé en constatant qu’aucune crise ne fait exception à la règle ou constatez-vous tout de même des évolutions positives ?
Je suis un optimiste lucide. Je ne suis jamais découragé quand je sais que la nature humaine et que l’homme dans sa complexité est mauvais et bon. Pardon d’être ainsi caricatural, mais le début de notre entretien atteste bien que dans ces moments de crise, on constate le meilleur. Je pense à ce souci d’éducation, à la formidable mobilisation des professeurs dans le cadre du télétravail mais aussi à l’élan de solidarité national. Le meilleur et le pire. Il n’y a aucune raison qu’en période de crise nous ne constations pas le pire. En revanche, ce qu’il m’importe particulièrement c’est le « juste-après-crise », c’est que lesdites lois d’exception, lesdites mesures temporaires cessent le plus rapidement possible et que l’on puisse de nouveau trouver le cours normal, les combats longs qui nécessitent pugnacité et qui visent à une meilleure démocratie.
Ouais, blabla, « démocratie », blabla, « république », blabla, « Holocauste ».
Je suis physionomiste. Stasi a une tête d’escroc avec ce qu’il faut de cheveux luisants et sa barbe de deux jours.
Ce n’est d’ailleurs pas un juif, mais un rouge italien. Encore un. C’est le neveu de Bernard Stasi auquel on doit le fameux slogan, « l’immigration, une chance pour la France ». Depuis, par ironie, on a rebaptisé tous ces bougnoules et nègres qui détruisent l’ordre social des « Chances pour la France ». Les fameux « CPF ».
Après s’être acharné à défendre la politique d’importation du tiers-monde africain, on a pu retrouver ce brigand pontifier avec arrogance sur le thème de la « laïcité » sous Chirac. Moyennant de larges émoluments ponctionnés sur les deniers des travailleurs français.
Autrement dit, cette république juive demandait aux responsables marxistes du désastre migratoire leurs solutions pour régler les conséquences du désastre migratoire, à savoir la salafisation de pans entiers du pays.
Cette farce sinistre a déjà 17 ans et ce régime continue de commander des rapports à des marxistes pour être sûre d’être sûre que les bougnoules sont bien des bougnoules. Et comme noircir du papier est très efficace pour juguler la violence afro-maghrébine et le fanatisme religieux propre à ces peuplades, quand le gouvernement tarde à en commander un, c’est la droite juive parlementaire qui en exige un nouveau.
Mussolini nous a vraiment envoyé le pire du pire. Depuis la guerre, ces incendiaires latins de l’Internationale Communiste n’ont manqué aucune occasion de s’associer aux juifs pour semer le chaos et l’anarchie en France afin de s’y établir en chefs de bandes.
On en voit le résultat quotidiennement.
Dites-vous bien que s’il n’y avait pas d’enclaves immigrées rongées par le crime et l’islamisme, ils en inventeraient.
C’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait, comme Stasi : créer des enclaves immigrées.
Ces métèques rouges se sont forgés des dynasties sur les malheurs des Français de race et continuent à se refiler leurs prébendes de père en fils tout en nous riant au nez derrière un cordon de flics et de magistrats.
Pour eux, ce petit jeu peut durer des siècles. C’est pourquoi toute leur activité tourne autour d’une seule et unique chose : empêcher le prolétariat autochtone de se révolter pour les expulser brutalement.
Vous invoquez le droit, la justice, les lois… Vous avez évoqué la loi Avia. Pensez-vous vraiment que des textes de lois suffisent à stopper ce « robinet de haine » en ligne ?
Suffire non, mais si j’évoque la loi Avia, c’est que, même si elle est perfectible, elle permet de sortir de deux écueils dramatiques. Le premier, c’est la confusion entre l’expression d’une idée-opinion et la commission d’un délit par la profération de propos haineux, complotistes et homophobes. Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit. La loi Avia rappelle ce principe fondamental et ce principe permet de forger entre les citoyens que nous sommes, un discours de débat, mais un discours respectueux du contradicteur, de son origine, de son opinion religieuse, de sa vie sexuelle, de son intimité, respectueux de ce qu’il est. Il est important que sur les réseaux sociaux, on puisse débattre de tout, en respectant l’interlocuteur. Encore faut-il, et c’est le deuxième point particulièrement important de la loi Avia, que chacun soit responsable des propos qu’il porte. Je pense, je crois, je sais, puisque la loi Avia s’inspire de la loi allemande qui a été un succès en la matière, que l’important c’est aussi de sortir de cet anonymat qui est un anonymat protecteur. Derrière l’anonymat, c’est le corbeau, c’est le délateur, c’est celui qui désigne du doigt et c’est la première marche d’un totalitarisme silencieux. Donc oui : j’évoque la loi Avia parce que je pense qu’il est urgent, et la crise que nous traversons nous le montre et nous l’explose en pleine gueule, de cesser de faire en sorte que puissent proliférer des discours ignominieux.
C’est extraordinaire de perfidie.
Ces terroristes qui dénoncent le « totalitarisme » pour exiger de pouvoir traquer plus complètement le moindre contestataire dont l’opinion déplaît à ces vagabonds.
Sans parler de ce sophisme juif selon lequel le racisme « ne serait pas une opinion ».
Ce que tu dis me déplaît, goy, donc c’est un crime !
C’est la puanteur de leurs mensonges qui me les fait les haïr, plus que tout le reste.
Qu’est-ce que vous répondez aux détracteurs de cette loi, qui sont un certain nombre et notamment au Sénat, qui nous disent qu’elle donne trop de liberté aux GAFA et que le retrait d’une publication après 24H, c’est déjà trop tard ?
Il est important que les GAFA soient responsabilisés. Il faut savoir que les plateformes n’ont pas de siège social en France ni même en Europe, et que leur poursuite devant les tribunaux est quasiment impossible. Même une loi qui enjoindrait de communiquer l’adresse IP de celui qui profère des propos haineux, cette injonction n’est jamais suivie d’effet. Il est donc anormal que ces GAFA n’aient pas de siège et qu’ils n’aient pas de représentation qui puisse être responsable des propos qu’ils laissent filer sur leurs canaux. Ne jamais oublier que le racisme n’est pas une opinion mais un délit ! On voit bien ce qu’est le robinet sans limite de la prolifération de tels propos aux États-Unis par exemple. On ne peut pas dire que là-bas, nous vivions dans une société d’indulgence, de compréhension, de concertation, et on voit que le réflexe de chacun est de porter une arme, pas de débattre.
Les Etats-Unis, ce pays bien connu pour l’absence de débat qui y règne.
Je caricature un peu mais je pense que nous ne sommes pas de cette culture. Quant au Sénat, ne nous leurrons pas, les groupes de pression et les lobbies ont fait leur boulot ! Si cela n’a pas encore abouti, c’est qu’il y a un fort courant idéologique en France qui considère qu’on peut tout dire, à tout moment, quelle que soit l’atrocité du propos qui est porté. Le mot doit régner comme s’il fallait faire une grande différence entre le mot et l’action. Il y a une expression de Robert Badinter que j’aime à rappeler : « Il y a des mots qui sont des fusils chargés ».
Badinter est un sale youpin pour qui la censure des goyim est consubstantielle à l’instauration d’une tyrannie juive.
Poubelle.
Le génocide des Tutsis a commencé par une harangue génocidaire notamment sur « Radio des Mille Collines », station de radio rwandaise qui comparait les Tutsis à des animaux. La première marche de la mécanique génocidaire, c’est le mot ! La radio, la harangue, le discours politique, le meeting, bref c’est le mot ! Je suis très attaché à la liberté d’expression mais je suis un légaliste et je considère que le racisme est un délit !Dans la presse écrite, lorsqu’un lecteur adresse au directeur de la publication un courrier antisémite, raciste ou xénophobe, que fait le directeur de la publication ? Il décide, puisque c’est sa responsabilité, de ne pas publier ledit courrier, il choisit en toute responsabilité de ne pas faire paraître dans son journal des propos qu’il juge racistes, xénophobes, antisémites ou complotistes. Le parallélisme doit exister envers les plateformes et les hébergeurs qui doivent être responsabilisés, et c’est l’esprit de la loi Avia qui s’inspire de la loi allemande.
Qui s’inspire de la loi talmudique.
L’antisémitisme est un phénomène complexe. Le seul fait de vous exprimer sur le sujet alors que nous sommes en pleine crise sanitaire, en agacera plus d’un et fera dire à certains : « Oh ça va ! De l’antisémitisme à toutes les sauces, ce n’est pas le sujet aujourd’hui ! ». Que répondre à cela ?
Si nous évoquons l’antisémitisme, c’est parce que sur les réseaux sociaux, quelques jours après le début de la crise, d’infâmes individus se sont précipités pour dénoncer les « Salomon », « Buzyn », « Lévy », pour expliquer que la haute administration française était sous la main des juifs, que tout cela bénéficierait peut-être à Israël. Les pires ignominies et les pires délires. Donc c’est la réalité qui nous ramène malheureusement à cela, comme elle nous ramène aussi à une homophobie. Quand on voit un journal de la presse quotidienne régionale, « Le Progrès », qui donne la parole à un médecin nous expliquant que les homosexuels seraient insensibles au respect des règles du confinement du fait de leurs pratiques sexuelles. Quand on voit les réactions sur les réseaux sociaux après la proposition d’Emmanuel Macron d’annuler la dette de l’Afrique, et que le soir même, il y a eu 50.000 tweets de la fachosphère sur le thème « la France d’abord ». Notre combat est un combat des valeurs dans lequel la lutte contre l’antisémitisme a toute sa place mais la LICRA dépasse cette spécificité. Lorsque nous intervenons par exemple dans les clubs de football, on évoque le racisme, le communautarisme, l’universalisme, la laïcité, les génocides, l’antisémitisme mais pas seulement. De la même façon, lorsque l’on propose des formations à des salariés, on leur apprend à appréhender le fait religieux dans l’entreprise et les discriminations à l’embauche. Le combat de la LICRA est un combat de valeurs républicaines, c’est un combat politique, et dans ces valeurs, la lutte contre l’antisémitisme est évidemment importante.
Stasi est sans conteste un serviteur zélé de la suprématie juive.
C’est aussi un esprit sans imagination. Mais sur le sujet, il est difficile de faire preuve d’originalité.
La presse juive – et avec elle les enjuivés – mettent un point d’honneur à dire de l’antisémitisme qu’il est un « phénomène complexe » pour impressionner le lecteur dont les connaissances sur le sujet sont rudimentaires. S’en suit systématiquement le long monologue d’un agent des juifs, toujours gratifié du titre « d’expert », qui enchaîne les poncifs sur « la haine de l’autre », le « bouc émissaire » et l’inévitable « jalousie » qui seraient à l’origine des déboires du petit peuple élu, vierge de tout crime.
La personne versée dans l’art du mensonge juif sait vite identifier cette rhétorique.
Il est peut-être complexe pour les juifs de répondre aux accusations des antisémites mais cela ne fait pas de l’antisémitisme un phénomène complexe.
L’antisémitisme est au contraire d’une lumineuse simplicité. Comprendre le problème juif n’est pas plus complexe que de comprendre le problème que pose une tique pour un chien. C’est une mesure d’hygiène élémentaire, de santé publique. Le juif est un parasite qui se nourrit de l’affaiblissement de sa victime avant d’en changer. Au passage, il charrie différents bacilles mortels. Le juif, tant qu’il n’est pas stoppé, poursuit son oeuvre de dévitalisation jusqu’à la mort du malheureux dont il suce l’énergie.
Tout le reste, y compris les détails d’ordre historique ou psychologique, sont des raffinements de spécialiste.
L’essentiel, avec le juif, peut-être compris en dix grosses minutes. Il suffit de deux ou trois exemples et de faire preuve de bon sens. En résumé, on ne vit pas avec une sangsue accrochée au cou.