Captain Harlock
Démocratie Participative
22 juillet 2019
Dreyfus, le traître juif par excellence
Cette république juive est tout à la fois à son zénith et en état d’alerte.
Sentant le joug de son pouvoir faiblir, le juif multiplie les manifestations arrogantes de sa domination sur la France.
Selon nos informations, le lieutenant-colonel Alfred Dreyfus pourrait être fait officier général à titre posthume. La ministre des armées Florence Parly a entrouvert la porte à une telle éventualité, dans un discours prononcé ce dimanche 21 juillet lors de la cérémonie de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv. Comme souvent, lorsqu’il est question de politique mémorielle, il faut lire entre les lignes, mais la ministre s’exprimait au nom du gouvernement et avec l’aval de l’Elysée.
Voici des extraits de son propos, (souligné par nous): « Je pense à Alfred Dreyfus. (…) Je pense au destin fauché d’un brillant officier qui avait choisi de donner sa vie à son pays, qui avait pris la décision de revêtir l’uniforme pour défendre des valeurs dont ses pairs n’ont pas été dignes au moment du jugement. (…) Le capitaine Dreyfus a été réhabilité, les Armées l’ont réintégré, promu au grade de lieutenant-colonel: indispensable mais maigre compensation des quatre années passées au bagne de l’île du Diable et des douze années hors des rangs. Lorsque je pense à Alfred Dreyfus, lorsque je lis chaque nom inscrit sur le mur du jardin des enfants du Vél d’Hiv’, la même question revient sans cesse : que seraient-ils devenus si leur avenir ne leur avait pas été arraché ? Quel destin les attendait ? Le véritable courage, c’est celui de la vérité. 120 ans après le procès de Rennes, les Armées doivent regarder leur histoire en face. 120 ans plus tard, il est encore temps que les Armées redonnent à Alfred Dreyfus tout l’honneur et toutes les années qu’on lui a ôtés. Et j’yveillerai personnellement. Il y a les cicatrices que l’on peut apaiser… »
La ministre juge ainsi que sa réintégration puis sa promotion au grade de lieutenant-colonel était « maigre » et s’interroge sur ce qu’il serait devenu « si son avenir ne lui pas été arraché ». Selon nos informations, ces phrases évoquent une possible et exceptionnelle nomination à titre posthume du lieutenant-colonel Dreyfus au grade de général.
Ce serait mettre un point final à l’Affaire. A l’époque, sa carrière n’avait pu être reconstruite comme il y avait droit du fait des oppositions fortes qui subsistaient en interne. Même le général Picquard le reconnaissait.
L’Exécutif souhaite qu’une telle mesure ne soit pas aujourd’hui imposée d’en haut aux armées, mais qu’elle se fasse de manière consensuelle. Une partie de la haute hiérarchie militaire semble acquise à l’idée.
En 1998, sous le gouvernement Jospin, une plaque en l’honneur de Dreyfus avait été installée à l’Ecole militaire, suscitant alors des critiques dans la communauté militaire. Puis en 2006, le président Chirac lui avait rendu hommage sur les lieux mêmes où le capitaine Dreyfus avait été dégradé. Le président Macron songe visiblement aujourd’hui à une nouvelle initiative.
Le 15 octobre 1894, le capitaine Dreyfus est arrêté pour espionnage au profit de l’Allemagne. Sur la base d’accusations fausses, il est condamné, dégradé puis envoyé au bagne en Guyane où il restera du 12 mars 1895 au 9 juin 1899. L’Affaire divisera profondément la France et à l’issue d’une longue bataille, Dreyfus sera gracié et réintégrera l’Armée, participant à la Première guerre mondiale comme lieutenant-colonel.
Louis Ferdinand Céline avait tout résumé dans Bagatelles pour un massacre : « le capitaine Dreyfus est bien plus grand que le capitaine Bonaparte. Il a conquis la France et l’a gardée. »
Cette sentence écrite en 1937 est encore plus exacte en 2019.
L’arrogance du juif est sans limite.
Imaginez les frontières de la galaxie en scrutant le ciel un soir d’été, vous n’êtes même pas encore au début du commencement d’une idée claire de ce qu’est l’immensité de l’arrogance juive. Ce bloc hideux et énorme plantée sur le chemin de l’humanité.
Voilà une leçon de chose pour les Français qui faiblissent avec le temps quand le juif se durcit toujours plus au fil des ans.
Le juif, comme le Diable, ne connaît pas le sommeil. Il poursuit de sa haine, des siècles après ses crimes, les peuples qui ont tenté de résister à sa tyrannie.
Cette race de brigands n’arrêtera jamais de provoquer, d’insulter, de mentir, d’intriguer, de parader pour mieux recommencer.
En premier lieu, le juif Dreyfus est coupable. Il n’est innocent que par la grâce des loges de cette république hébraïque qui arrive à son stade suprême de putréfaction.
Plus la France s’enlise dans la lie plus le juif s’élève, miraculeusement. L’abaissement de la première est la condition de l’ascension du second.
Regardez l’entretien suivant entre Henry de Lesquen et l’avocat Adrien Abauzit pour vous forger une opinion éclairée, débarrassée des mensonges juifs et maçons sur le cas du traître Dreyfus.
Le mensonge Dreyfus en annonçait un autre, infiniment plus énorme mais dont la fonction n’était pas différente : le mythe de l’holocauste.
Cette fois, non pas pour condamner à mort une nation mais la race blanche entière.
Ce n’est pas un hasard si la putain Parly a sciemment rapproché ces deux bobards interstellaires dans son discours pour signifier à la juiverie que Macron allait aller encore plus loin dans l’ignoble pour leur vendre la France, si une telle chose est même possible, la pourrir de sémitisme jusqu’au bout.
Cette race juive, partout sur terre, travaille à la défaite des nations et son arme de prédilection est et restera le mensonge.
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