Captain Harlock
Démocratie Participative
08 juin 2021
Un virus pour les gouverner tous. Un virus pour les trouver. Un virus pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.
Bien avant la pandémie, nous annoncions la bolchevisation de l’Europe et la grande chasse aux Blancs qui devait s’en suivre.
Les états du système sont déterminés à imposer cette tyrannie judéo-marxiste sous la bannière de l’UE.
Suppression de l’argent liquide, droit de détenir des armes, liberté d’expression, déjà fortement limité, tout ça va bientôt appartenir au passé. La politique de repeuplement extra-européenne deviendra radicalement autoritaire et planifiée, vous ne pourrez plus y échapper par simple déménagement.
Comprenez bien qu’à terme, vous ne pourrez même plus quitter l’UE sans une autorisation gouvernementale. Exactement comme les ressortissants des états communistes du Bloc Soviétique il y a 30 ans.
Vous ne pourrez déplacer aucun capital sans l’autorisation de l’Etat. Vos moindres déplacements seront enregistrés et analysés.
En février 2020 :
Quand l’argent liquide sera supprimé, vous dépendrez de la crypto-monnaie gouvernementale pour faire des règlements. Débranché du système de paiement, vous serez mort socialement.
En novembre 2020, nous revenions sur le programme global de Davos :
Cette grande dépression programmée – parce que devenue inévitable en raison de l’endettement incontrôlable des états – permettra d’organiser le rationnement et la collectivisation au nom du « changement climatique ». « L’austérité éco-responsable » du cartel globaliste de Davos.
Les mesures de « distanciation sociale » et de contrôle des mouvements de population seront maintenues indéfiniment pour prévenir toute insurrection. Vous ne pourrez plus sortir de l’UE.
L’Euro numérique remplacera progressivement les espèces et les autres devises, il vous sera impossible d’acheter ou de vendre quoi que ce soit sans votre portefeuille en euros numériques fourni par la BCE.
La censure sera totale et vous serez surveillé en permanence grâce à la vidéosurveillance globale.
En février 2021 :
Le projet n’a rien à voir avec la vaccination. Le but est de contrôler les mouvements de chaque personne et de pouvoir interdire n’importe qui de déplacement ou d’entrée dans un lieu, privé ou public. La vaccination est le moyen de faire accepter à la population ce procédé.
Très vite, ce système de contrôle va intégrer de nouveaux paramètres comme « l’emprunte carbone » pour supposément faire baisser la température de l’air en 2300, quelque part en Mongolie extérieure. Si le système estime que vous vous déplacez trop, vous serez tout simplement interdit de mouvements. Petit à petit, vous ne pourrez plus aller nulle part sans que le gouvernement ne vous y autorise grâce à l’intelligence artificielle.
Enfin, en mars 2021 :
Ce n’est qu’un début, à terme, les goyim seront débranchés à tous les niveaux. Quand l’Euro numérique et le passeport sanitaire seront en place, n’importe qui pourra être socialement mis à mort en deux clics.
Nous avions raison, le Grand Œil voit tout
Ces annonces faites par Democratie Participative ces deux dernières années et demi étaient souvent considérées comme paranoïaques, délirantes et conspirationnistes.
Et puis, il y a quelques jours, le sénat français a remis sa carte de route en vue de la restructuration de la société voulue par la gouvernance globale.
« L’une des leçons à tirer de la crise sanitaire est la complexité à développer des outils au pied du mur sans que cela ne génère un caractère anxiogène ». Tel est le constat de Mathieu Darnaud, président de la délégation sénatoriale à la prospective, lors de sa présentation du rapport portant sur le recours aux outils numériques dans la prévention et la gestion des pandémies. Le travail des membres de la Haute assemblée vise à anticiper la survenue de nouvelles crises sanitaires, en recourant plus intensément aux outils numériques, « en assumant si nécessaires des mesures plus intrusives, mais aussi plus ciblées et limitées dans le temps », détaillent les rapporteurs René-Paul Savary, Véronique Guillotin et Christine Lavarde.
Cette plateforme numérique, nommée Crisis Data Hub, en référence au Health Data Hub permettrait par ailleurs une expérimentation au niveau local, pour une approche plus proportionnelle et territorialisée de la crise, qui a tardé à se mettre en place au moment de la crise du covid. Les rapporteurs imaginent ainsi plusieurs scénarii selon l’ampleur de l’épidémie : des outils d’information et de coordination face à une crise « modérée », des outils de rappel à l’ordre (type envoi d’un SMS) en cas de situation plus grave, et des mesures plus fortes pour les cas extrêmes, avec par exemple la désactivation du titre de transport ou des comptes bancaires d’une personne qui violerait la quarantaine.
Le Sénat a donné une explication :
« Nous ne proposons pas de limiter les libertés, nous cherchons un moyen de les retrouver », défendent les sénateurs, qui pointent du doigt un « tabou français » lié à la collecte de données personnelles.
« C’est pour sauver tes libertés qu’on supprime tes libertés, goy ! »
Là aussi, comme je l’écrivais en février dernier :
Quand ces gens vous parlent de « respect des données individuelles », « d’organisation des libertés » […] c’est que le plan de réduction en esclavage des goyim est déjà finalisé.
Grâce au passeport intérieur, le système pourra débrancher n’importe qui de la société : pour un commentaire sur les réseaux sociaux, une accusation de racisme en milieu multiculturel ou un refus de vaccination, ce sera l’impossibilité de payer quoi que ce soit ou de se déplacer si le système le décide.
Ce que j’ai qualifié ici de « crédit social juif ».
Mais on peut appeler également ça l’Œil de Sauron, car c’est la même chose.
C’est le rêve de la finance juive internationale que de pouvoir disposer du droit de vie ou de mort sur n’importe quel homme.
L’annonce par l’UE de la création d’une ID globale intégrant passeport sanitaire, pièces d’identité et moyen de paiement entre dans ce programme de bolchevisation.
Avec l’Euro numérique, le verrouillage sera complet.
Ensuite, il y a l’annonce en Espagne de l’abolition de la résidence et de la voiture personnelles dans le cadre de la soviétisation verte. Cela veut dire que les gens recevront un logement auquel ils seront assignés par l’Etat-Parti.
Les mouvements à l’étranger seront réservés à la nomenklatura.
Débranchés, les coupables seront comme des lépreux, des parias.
Nous sommes dans la phase active du plan. Les débats sur les intentions réelles du système n’ont plus d’utilité, elles sont désormais officielles et pleinement assumées.
A présent, il n’y a plus que deux camps : celui des masses zombifiées de Sauron et celui des hommes de l’Ouest encore libres.