Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Mai 2020
Neil Ferguson et Antonia Staat
Neil Ferguson, l’escroc britannique à l’origine du confinement total de la France, vient d’admettre qu’il n’avait personnellement rien à foutre de ce confinement.
Il avait plus urgent à faire : sauter sa gonzesse.
L’épidémiologiste Neil Ferguson, devenu un visage familier pour les Britanniques, avait largement contribué à convaincre le gouvernement d’imposer des mesures de confinement.
«J’ai commis une erreur de jugement». C’est de cette façon que le professeur Neil Ferguson, à la tête du Scientific Advisory Group for Emergencies (conseil scientifique pour les situations d’urgence, le SAGE), a qualifié les visites que lui rendait sa compagne à son domicile, malgré le confinement. Il a ensuite présenté sa démission.
Antonia Staats a en effet traversé Londres à deux reprises, le 30 mars et le 8 avril, pour le retrouver, chez lui. C’est pourtant le Conseil scientifique que dirige l’épidémiologiste qui a persuadé le gouvernement britannique d’imposer un confinement et des mesures de distanciation physique strictes pour lutter contre le coronavirus, explique le Guardian qui cite le Daily Telegraph .
Selon des amis du couple, Neil Ferguson et Antonia Staats n’auraient pas vu de problème à se retrouver car ils se considéraient comme appartenant à un même foyer.
Lol.
«Je reconnais que j’ai commis une erreur de jugement et adopté une mauvaise ligne de conduite. J’ai donc mis fin à mon action au sein du SAGE», a-t-il ainsi annoncé ce mardi. «J’ai agi en pensant que j’étais immunisé, puisque j’avais été testé positif au coronavirus et que je m’étais complètement isolé pendant près de deux semaines après avoir développé des symptômes», a-t-il expliqué, ajoutant «profondément regretter tout discrédit au message clair portant sur la nécessité d’observer une distanciation sociale pour endiguer cette épidémie dévastatrice». «La direction prise par le gouvernement est sans équivoque, et elle a été prise pour nous protéger», a-t-il conclu.
Celui qui menaçait le monde de l’Apocalypse virale s’il ne s’enfermait pas à double tour croyait tellement à ses élucubrations qu’il faisait venir sa traînée chez lui selon ses envies. Après avoir explicitement exigé et obtenu que le gouvernement britannique l’interdise à la plèbe.
À propos des couples séparés, le gouvernement avait indiqué qu’il était préférable que les deux partenaires ne se voient pas pendant toute la durée du confinement et restent chez eux, rappelle le Guardian qui précise que l’épidémiologiste était devenu un visage familier pour les Britanniques, intervenant régulièrement dans les médias pour expliquer les décisions prises par les autorités.
Ferguson devrait déjà être cité à comparaître au tribunal pénal international de La Haye. Pour une raison bizarre, il est pourtant libre aux dernières nouvelles.
Pas Julian Assange.
Ferguson s’est systématiquement trompé ces 20 dernières années mais cela n’a aucun impact sur sa carrière, bien au contraire. Plus il se plante, plus il gagne mystérieusement en influence.
Le professeur Ferguson est toujours la référence européenne en matière de modélisation des épidémies.
Pourtant c’est lui qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante).
En 2002, il calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsqu’elle se transmettrait aux moutons. Il y en eu en réalité 177.
En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 457.
Peu importe, il est devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements. C’est lui qui fit parvenir le 12 mars une note confidentielle au président français Emmanuel Macron annonçant un demi-million de morts en France. Affolé celui-ci prit la décision de confinement généralisée le soir même. C’est encore le professeur Ferguson qui annonçait publiquement, le 16 mars, que, si rien n’était fait, on compterait jusqu’à 550 000 morts au Royaume-Uni et jusqu’à 1,2 million aux États-Unis, contraignant le gouvernement britannique à revoir sa politique.
Simon Cauchemez, qui était en 2009 son bras droit, dirige aujourd’hui l’unité de modélisation de l’Institut Pasteur. Il est bien sûr membre du Comité scientifique de l’Élysée où il a proposé le confinement généralisé. Ce comité a été constitué par le directeur général de la Santé, le professeur Jérôme Salomon, fils spirituel et ancien conseiller technique de Bernard Kouchner.
Tout ça sent l’arnaque type Maison Jaune mais à l’échelle de la galaxie et en cent fois pire.
Ferguson travaille pour l’Imperial College de Londres qui a reçu, ces 20 dernières années, des centaines de millions de dollars de la Fondation de Bill Gates :
- 30 millions de dollars en 2002,
- 8,6 millions de dollars en 2005,
- 8,6 millions de dollars en 2009,
- 3,7 millions en 2016
Et, record absolu, le mois dernier :
Vous pouvez retrouver toutes les donations sur le site de la fondation Bill et Melinda Gates. C’est officiel et documenté.
Bill Gates contrôle en outre l’OMS dont il est devenu le premier sponsor.
Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre comment le putsch a fonctionné : l’Imperial College de Londres et quelques autres universités américaines stipendiées ont sorti des modèles délirants, les médias juifs ont reçu l’ordre d’alimenter la panique générale sur la base de ces modèles absurdes puis, enfin, l’OMS a annoncé la fin du monde et la nécessité de confiner la planète. Les politiciens, tantôt complices tantôt terrorisés, ont capitulé.
Dans le cas de Macron, je penche pour l’évidente duplicité. D’ailleurs, il revendique le fait d’être le larbin de Bill Gates.
Ce faisan ne peut pas imaginer ne pas se trouver sur la photo avec les gros poissons de l’oligarchie US. Il se paie sa place avec le pognon des contribuables français.
La France n’augmentera finalement pas sa contribution au @GlobalFund de 15% mais de 20% ! Un grand merci à Bill Gates qui a accepté de nous suivre en ajoutant lui aussi 60 millions de dollars supplémentaires. pic.twitter.com/yCRQymoA88
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) October 10, 2019
La machination devient plus claire au fil des jours. La vaccination d’état approche et elle enrichira dans des proportions inouïes BIG PHARMA.
« Aucun de nous n’est à l’abri de la pandémie et aucun de nous ne peut vaincre le virus seul. Nous avons donc un intérêt commun dans la lutte contre le virus. » Six dirigeants européens annoncent ce vendredi 1er mai, dans le Journal du Dimanche , le lancement d’une grande conférence en ligne d’appel aux dons le 4 mai.
« Notre objectif est simple : le 4 mai, nous souhaitons lever, via une grande conférence en ligne d’appel aux dons, un montant initial de 7,5 milliards d’euros (8 milliards de dollars) pour combler le déficit estimé de financement mondial », peut-on lire dans ce texte écrit par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, et Charles Michel, président du Conseil européen, et cosigné par Emmanuel Macron, le président français, Angela Merkel, la chancelière allemande, Giuseppe Conte, le président du conseil italien et Erna Solberg, la Première ministre norvégienne.
Pour lutter contre la pandémie de coronavirus, les dirigeants lancent donc la plateforme Access to COVID-19 Tools. Cette dernière visera à renforcer la coopération mondiale dans la recherche, le développement,l’accès et la distribution équitable du vaccin et d’autres traitements thérapeutiques et diagnostiques vitaux.
Les fonds collectés donneront le coup d’envoi d’une coopération mondiale sans précédent entre les scientifiques et les régulateurs, l’industrie et les gouvernements, les organisations internationales, les fondations et les professionnels de la santé, expliquent-ils, en rappelant leur soutien à l’Organisation mondiale de la Santé. Sont associés à cette initiative la fondation Bill et Melinda Gates ainsi que le Wellcome Trust, une fondation de médecine dont le siège se trouve à Londres.
Le Wellcome Trust reçoit également de l’argent de la fondation Gates.
Bref, cette pandémie de grippe imaginaire n’est rien d’autre qu’un coup d’état orchestré par l’oligarchie pour écraser toute forme d’opposition grâce à cette dictature sanitaire qu’elle entend proroger indéfiniment.
Et dire que des gens ont cru qu’ils allaient mourir du Coronavirus comme on meurt de la Peste Noire.
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