La rédaction
Démocratie Participative
22 avril 2023
J’ai envie de vomir comme rarement.
En mal de bouc émissaire, les juifs ont organisé un nouveau procès truqué dont ils ont le secret pour faire condamner un homme qui vit au Canada pour l’incident survenu il y a près d’un demi-siècle dans une rue de Paris.
Quarante-trois ans après l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic à Paris, la Cour d’assises spéciale a rendu son verdict ce vendredi à l’égard de l’unique accusé, jugé en son absence, le Libano-Canadien Hassan Diab qui proteste de son innocence. Il a été condamné à la perpétuité.
Peu après la reprise de l’audience, et faute de derniers mots de l’accusé de 69 ans, les cinq magistrats professionnels composant la cour sont partis délibérer vers 9h45 et ont rendu leur verdict ce vendredi soir. La cour a tranché selon son « intime conviction » en faveur de la culpabilité de Hassan Diab, le seul mis en cause pour l’attentat à la bombe qui a visé la synagogue de la rue Copernic et fait quatre morts et des dizaines de blessés le 3 octobre 1980.
Deux innocents étaient morts, un Français et un Portugais, ainsi que deux israélites.
L’accusation avait requis cette peine maximale, la seule « envisageable » à l’encontre de l’universitaire de 69 ans, estimant qu’il était, « sans aucun doute possible », l’auteur de cet attentat antisémite.
Quand les Irlandais posent des bombes contre les Britanniques qui occupent l’Irlande du Nord, c’est du terrorisme.
Quand des Arabes posent des bombes contre les juifs qui occupent la Palestine, c’est de l’antisémitisme.
Apparemment cette différence de qualification importe car il est plus grave de viser des juifs que de simples goyim. Cette hiérarchisation sur une base raciale d’un même type d’acte, selon qu’il vise des juifs ou non, illustre assez bien le racisme complètement débridé du peuple élu.
Sans aucune surprise, au terme de trois semaines de débats antagonistes et souvent vifs, le Parquet national antiterroriste (Pnat) a requis jeudi la réclusion criminelle à perpétuité à l’encontre de Hassan Diab, et la défense son acquittement afin d’ « éviter une erreur judiciaire ».
Le dossier s’appuie essentiellement sur des renseignements, qui ont attribué dès les années 1980 l’attentat – qui n’a pas été revendiqué – au Front populaire de libération de la Palestine-Opérations spéciales (FPLP-OS), un groupe dissident du FPLP.
Après une longue mise en sommeil de l’instruction, de nouveaux renseignements désignaient en 1999 les membres présumés du commando, dont Hassan Diab comme celui qui aurait confectionné la bombe avant de l’abandonner devant la synagogue.
De cet insaisissable accusé, dont la chaise est demeurée vide dans le prétoire, la cour n’aura vu que des photos en noir et blanc à divers âges de sa vie, les confrontant avec les portraits-robots de l’homme qui avait acheté la moto utilisée pour l’attentat, dessinés par des témoins en 1980.
Défense et accusation auront surtout bataillé autour d’une autre photographie, celle de piètre qualité du passeport d’Hassan Diab, au cœur de l’accusation.
Ce passeport comportant, à des dates entourant l’attentat, des tampons d’entrée et de sortie d’Espagne, pays d’où serait parti le commando selon les renseignements, avait été saisi en 1981 à Rome sur un membre présumé du FPLP-OS. Son existence n’avait été révélée que dix-huit ans après les faits.
Pour le Parquet national antiterroriste, cet « élément extrêmement incriminant » et les « alibis qui ne tiennent pas », d’Hassan Diab au sujet de son passeport, ont « fini d’emporter la conviction de sa culpabilité ». La défense rétorque qu’« aucun élément matériel, aucune preuve » ne permet « d’affirmer » que l’ancien étudiant de sociologie était en France au moment des faits.
Vous avez bien lu. Tout repose sur un passeport retrouvé à Rome et sur des dessins de juifs supposément présents dans cette rue.
Il n’y a rien d’autre.
Les groupes clandestins volent toujours des pièces d’identité pour leurs membres afin de passer les frontières. À aucun moment la seule découverte d’un passeport ne peut suffire à accuser quelqu’un d’un attentat. Ce truc était si grotesque qu’après avoir été extradé du Canada en 2014, Hassan Diab avait été relâché par la justice française suite à un procès en 2018. Consécutivement à l’effondrement du dossier, Trudeau avait marmonné des excuses à propos de cette opération hallucinante de pure vengeance juive.
Le dossier était tellement truqué que pour obtenir son extradition le gouvernement français avait caché aux autorités canadiennes que les empreintes de Hassan Diab ne correspondaient pas avec celle de l’auteur de l’attentat retrouvées sur les lieux.
La juiverie est partie du principe qu’il fallait recommencer de A à Z pour obtenir la conclusion attendue. Ils ont donc organisé un nouveau procès, sans aucun élément supplémentaire.
Hassan Diab a toujours assuré qu’il passait alors ses examens à l’université de Beyrouth et ne pouvait avoir utilisé ce passeport, qu’il disait avoir perdu. Après avoir auditionné d’anciens camarades de faculté et l’ex-compagne d’Hassan Diab, deux juges d’instruction avaient considéré comme « vraisemblable » sa présence au Liban lors de l’attentat et ordonné un non-lieu en janvier 2018. Remis en liberté, il était reparti au Canada.
Cette décision, motivée par des « doutes » sur sa culpabilité et défendue à la barre de la Cour d’assises spéciale par ces deux juges d’expérience, avait été infirmée trois ans plus tard par la cour d’appel qui avait ordonné la tenue de ce procès.
Ce nouveau procès truqué dans son organisation montre le degré d’enjuivement de l’État français.
Le 21 avril 2023, le cauchemar que le Dr Hassan Diab et sa famille ont enduré pendant plus de 15 ans a été prolongé par le verdict de culpabilité rendu à l’issue d’un procès inéquitable devant la cour d’assises de Paris. La Cour a ignoré toutes les preuves à décharge, y compris l’alibi d’Hassan et le fait que ses empreintes digitales et palmaires ne correspondent pas à celles du suspect.
L’avocat d’Hassan en France a fait remarquer qu’après 43 ans, « la Cour s’accroche à Hassan Diab parce que les juges craignent d’être accusés de laxisme dans la recherche des responsables de l’attentat de 1980 ».
Donald Bayne, l’avocat canadien d’Hassan Diab, a parlé de « procès politique » et a fait remarquer que « les victimes méritent un procès. Ce qu’elles ne méritent pas, c’est un bouc émissaire ou une erreur judiciaire ».
Dans ce procès politique et kafkaïen à la cour d’assises de Paris, aucun élément nouveau n’a été présenté :
- Aucune nouvelle preuve n’a été présentée.
Des renseignements secrets anonymes et non sourcés ont été réintroduits.- Les rapports manuscrits des « experts » de l’accusation, initialement rejetés et retirés parce qu’ils n’étaient absolument pas fiables, ont été réintroduits (parfois avec de « nouvelles » conclusions).
- Des journalistes qui n’étaient pas témoins des événements ont été appelés à donner leur avis d' »experts ».
- Il n’existe pas de transcription ou d’enregistrement officiel de la procédure.
- Le verdict a été rendu moins d’un jour après la fin du procès.
- Il n’y a pas d’appel possible à la suite d’un procès par contumace.
- Les parties civiles, telles que les familles des victimes et les associations intervenantes, se sont vu reconnaître un statut juridique et ont été invitées à témoigner au cours du procès de l’impact émotionnel. Les parties civiles disposaient également de leurs propres avocats pendant la procédure, qui ont contre-interrogé les témoins et présenté des conclusions. Cela a imprégné le procès de fortes émotions, rendant difficile l’évaluation objective des preuves.
Il y a douze ans, lorsqu’il a pris sa décision d’extrader le Dr Diab (6 juin 2011), le juge Robert Maranger a décrit les « preuves » fournies par la France comme étant « pleines d’informations apparemment déconnectées » et contenant « beaucoup d’arguments, d’hypothèses, de conjectures et de références à des informations reçues, sans décrire la source de ces informations ou les circonstances dans lesquelles elles ont été reçues ». Le juge Maranger n’a accordé aucune importance à la quasi-totalité des éléments du dossier de la France : « Le passeport, l’appartenance au FPLP (Front populaire de libération de la Palestine), les descriptions des témoins oculaires et les croquis/photographies composites, pris individuellement ou considérés dans leur ensemble, ne suffiraient pas à justifier le renvoi de M. Diab devant un tribunal de la République française.
En résumé, le juge Maranger a écrit que la France avait présenté « un dossier peu convaincant » et que « les perspectives d’une condamnation dans le cadre d’un procès équitable semblent peu probables ».
Le procès du Dr Diab, qui s’est déroulé au cours des trois dernières semaines, a été une démonstration accablante de la légitimité des doutes du juge Maranger et de son inquiétude à l’idée que la loi canadienne sur l’extradition ne lui donnait pas d’autre choix que d’ordonner l’extradition du Dr Diab. La douleur et la cruauté qui ont suivi sont désormais bien connues : le Dr Diab a passé plus de trois ans à languir dans une prison française, la plupart du temps à l’isolement, séparé de sa femme et de ses enfants, et vivant dans une terrifiante incertitude quant à son avenir.
Lorsque les deux juges d’instruction antiterroristes français (Jean-Marc Herbaut et Richard Foltzer) ont conclu leur examen approfondi de toutes les preuves et de tous les témoins pertinents, ils ont déterminé qu’il n’y avait aucune preuve sur laquelle fonder un procès et ont ordonné la libération immédiate d’Hassan (janvier 2018).
Toutes les soi-disant « preuves » présentées par la France pour justifier l’extradition de Hassan le 14 novembre 2014 ont été retirées, discréditées ou rejetées. La preuve cruciale de l’alibi, à savoir qu’il se trouvait à Beyrouth au moment de l’attentat à la bombe, était sans ambiguïté et a été acceptée comme telle par les juges d’instruction. Elle a été confirmée par des documents officiels fournis par l’université libanaise de Beyrouth et par les déclarations de plusieurs étudiants contemporains de Hassan.
Le Premier ministre Trudeau, s’exprimant publiquement quelques mois après la libération du Dr Diab et son retour au Canada, a noté que « ce qui est arrivé à Hassan Diab n’aurait jamais dû se produire » et a promis de « veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais. » (18 juin 2018). La loi canadienne sur l’extradition a échoué de manière abyssale à protéger un citoyen canadien.
Le temps est venu pour le Canada de concrétiser l’engagement du Premier ministre. Le Canada doit faire savoir très clairement qu’aucune deuxième demande d’extradition du Dr Diab ne sera acceptée. Il ne doit plus y avoir d’erreur judiciaire !
Trudeau a un gros problème : le fiasco de la première extradition a déclenché un très fort mécontentement sur la rapidité avec laquelle le gouvernement canadien avait livré un de ses citoyens à la France, quand bien même le dossier était à l’évidence ridiculement vide.
Les juifs sont glorieusement unis dans la célébration de leur contrôle complet de l’appareil judiciaire français.
Le chef de la droite française exulte sur CNews-Goldschmitt.
#Copernic Hassan Diab condamné à perpétuité. @amnesty qui l’aura soutenu jusqu’au bout s’est déshonorée . https://t.co/TMyJzvpYws
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) April 21, 2023
L’autorité coloniale aussi et émet déjà des mandats d’arrêt « internationaux ».
Tout doit maintenant être fait pour faire appliquer le mandat d’arrêt international.
Le Crif appelle le Canada à coopérer avec la justice française.
Le Crif exprime sa solidarité aux familles des victimes, qui ont consacré leur vie à à ce que la justice soit rendue.
2/2
— Yonathan Arfi (@Yonathan_Arfi) April 21, 2023
Qui est « nous » ?
Hassan Diab est condamné à la prison à perpétuité pour l’attentat de la synagogue de la rue Copernic. Enfin, la justice est rendue.
Nous attendons désormais que ce dernier soit extradé pour et purge sa peine.
— UEJF (@uejf) April 21, 2023
Voilà l’état de la « justice » française : des juifs se réunissent secrètement lors d’un sanhédrin organisé dans une de leurs synagogues, la victime est désignée coupable par les rabbins présents qui en informent ensuite leurs agents de liaison au sein de l’appareil d’état français.
⚖️Hassan Diab, accusé unique de l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic (3 octobre 1980, 4 morts, 38 blessés) a été condamné, en son absence, à la perpétuité.
La Licra, partie civile, était représentée par Me Rachel Lindon et Me Camilla Quendolohttps://t.co/KgeWNQooKv— Licra (@_LICRA_) April 21, 2023
À charge pour le ministère de la justice « officiel » de désigner des exécutants afin d’organiser un simulacre de procès destiné à formaliser la décision déjà prise en amont par le gouvernement juif invisible qui contrôle la France.
Les juges ne s’embarrassent d’aucun détail de procédure et condamnent.
Si vous vous demandez en quoi cela vous concerne parce que Hassan Diab est un Arabe libanais vivant au Canada, la réponse est simple : le même gouvernement juif invisible peut actionner les mêmes magistrats pour monter un procès identique contre vous, si d’aventure les juifs en ont décidé ainsi.
Nous le voyons avec Vincent Reynouard.
Ces terroristes juifs sont dénués de scrupules.
Hassan est un homme de bien.
Les persécutions de ces juifs contre lui ne font que le confirmer et son apparition à la télévision canadienne confirme qu’il approche de la sainteté.
Le forum EELB prochainement de retour