La rédaction
Démocratie Participative
09 février 2024

 

ENFIN !

L’immonde juif Badinter est CREVÉ !!!

Sortez les bouteilles, ça se fête !

⚫ Robert Badinter, mort à l’âge de 95 ans, incarne tout entier le combat pour l’abolition de la peine de mort. Avocat brillant, garde des Sceaux, président du Conseil constitutionnel… Il était devenu une référence morale pour la gauche française.

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— Libération (@libe) February 9, 2024

MORT MORT MORT MORT MORT MORT MORT !!!

C’est la juive Badinter, sa femme, qui doit être chagrinée.

Elle ne va pas tarder à casser sa pipe, elle aussi.

Cette youpine est accessoirement actionnaire de la multinationale Publicis, fondée par son juif de père, récemment condamnée aux USA pour avoir coorganisé l’empoisonnement mortel de centaines de milliers de goyim.

Cette juive faisait des sommes colossales en expliquant aux Américains qu’ils ne risquaient absolument rien en s’empoisonnant aux opioïdes.

20 Minutes :

Une filiale du géant français de la publicité Publicis va payer 350 millions de dollars aux États-Unis pour son rôle dans la crise des opiacés dans le pays, qui a fait des centaines de milliers de morts depuis 1999, a annoncé jeudi la procureure de l’Etat de New York. C’est la première agence de publicité à conclure un accord avec la justice pour son rôle dans la crise des opiacés, a précisé le bureau de Letitia James, dans un communiqué.

Pour en revenir à cette vipère juive diarrhéique de Robert Badinter, c’est vraiment la chute d’une ordure de Judée de première catégorie.

Badinter, c’est à la fois la religion de l’holocauste et le désarmement de l’homme blanc au profit de la vermine criminelle allogène.

Et bien sûr, la détermination à prendre le contrôle des sociétés aryennes.

La peine de mort est la raison d’être de tout état. Interdire la peine de mort est l’acte de décès d’un état et ce n’est pas par hasard que les juifs se sont acharnés à l’interdire dans les nations blanches.

Un état tue ses ennemis, c’est sa fonction. Un état qui ne tue pas est une administration. Partant, elle ne demande qu’à être conquise par celui qui tue.

L’État doit disposer du droit suprême de vie ou de mort sur tous ses ennemis, intérieurs ou extérieurs. C’est la base de la civilisation.

Dans cette ère juive où ses valeurs destructrices touchent à leur fin, le concert médiatique qui se prépare sera d’autant plus savoureux que l’anarchie règne dans les rues, et tue, tandis que les juifs tuent aveuglément en Palestine.

Naturellement, la synagogue ne va pas perdre une minute et réclamer son entrée au Panthéon. On ne compte plus le nombre de ces juifs qui y sont entreposés.

En tout cas, aujourd’hui est un jour de plus vers un monde meilleur.

Tout ce qui nous débarrasse des juifs est un gain net pour l’humanité.

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