Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2021
C’est l’une des formes les plus virulentes d’antisémitisme depuis au moins un mois.
Le Portugal et la Suède ont décidé d’interdire l’entrée des ressortissants israéliens dans un contexte de recrudescence du nombre de cas de coronavirus au sein de l’État juif – une initiative que certaines autres nations européennes devraient prendre elles aussi.
Les Israéliens qui devaient partir jeudi au Portugal n’ont pas pu s’enregistrer à l’aéroport Ben-Gurion. L’interdiction d’entrée en Suède sera mise en vigueur lundi, a annoncé un représentant de l’ambassade suédoise à Tel Aviv au Times of Israel.
Comme quoi, on peut parfaitement empêcher les juifs de s’infiltrer quand on le veut vraiment.
Même si le taux de vaccination israélien reste l’un des plus élevés du monde, le Portugal et la Suède se sont intéressés au nombre élevé de cas de COVID-19, ne faisant pas d’exception pour les Israéliens vaccinés ou en rémission du coronavirus. Les deux pays n’acceptent que les certificats de vaccination européens.
Le fameux « modèle » israélien.
Des goyim toujours empressés de disculper les juifs s’amusent à évoquer la vaccination en Israël pour dire que s’il s’agissait d’un plan juif global, les juifs n’auraient jamais vacciné personne en Israël.
D’autres se posent sincèrement la question : pourquoi les juifs auraient vacciné leurs propres gens ?
Il faut dissiper les conceptions erronées.
En premier lieu, personne ne sait ce que font réellement ces juifs en Israël et tous les chiffres qui en proviennent sont le fait de mains juives. Inutile de dire que si les autorités sanitaires occidentales aux mains des juifs trafiquent déjà amplement les données statistiques, ce que les juifs veulent bien communiquer aux goyim depuis Israël vaut ce que vaut toute déclaration gratuite d’un juif à un goy.
Ce rappel de principe fait, là n’est même pas le plus important.
Ceux qui se posent sincèrement ce genre de questions ne comprennent pas la véritable nature d’Israël dans la constellation du pouvoir juif mondial ni la nature profonde du juif.
Israël dans l’ordre juif mondial
Israël n’est pas le centre du pouvoir juif international.
S’il est un point d’appui symbolique pour le renforcement spirituel de la juiverie planétaire et un moyen pour la race juive de signifier son aspiration à la domination mondiale, à aucun moment les véritables hiérarques juifs ne voient dans l’état d’Israël une autorité supérieure à laquelle ils se soumettraient. Aucun des grands hiérarques juifs ne vit en Israël. Y vivre est la dernière des choses qui leur viendrait à l’esprit.
La juiverie ne tire sa force que de l’exploitation féroce des nations du monde, pas d’un état propre comme c’est le cas des autres véritables nations. Si demain la juiverie internationale était déplacée en intégralité dans le désert de Palestine, cet état entrerait dans une phase rapide de désintégration. Tout ce que cet état factice a, il le doit aux innombrables extorsions de la juiverie internationale, à commencer par l’arme nucléaire qu’elle a volé à la France.
La juiverie n’existe qu’à travers son nomadisme parasitaire et Israël est l’excroissance et le junior du tandem.
Les rapports entre la grande juiverie mondiale et la petite juiverie ultra-nationaliste sont souvent difficiles en raison du fanatisme respectif des deux parties, mais toujours complémentaires.
La petite juiverie sioniste se subordonne le plus clair du temps aux ordres des grands dirigeants juifs internationaux dont elle dépend étroitement.
Timon, le juif cosmopolite
Dans la série Rome, ce rapport est très bien mis en scène entre deux frères juifs. Timon est un agioteur juif établi dans la capitale de l’empire romain tandis que son frère Levi est un agitateur sioniste ayant fui la Palestine occupée par les légions romaines. Timon s’est rendu indispensable à l’une des familles romaines les plus influentes. Au contact régulier des goyim, il est peu pratiquant quoique très conscient racialement de son appartenance à la race d’Abraham.
Quand son frère Levi vient se réfugier chez lui après un énième acte de terrorisme commis en Palestine, les rapports sont conflictuels : Timon éprouve à la fois de la colère et de l’admiration à l’égard du fanatisme de son frère. De la colère car Timon, assimilé en surface, pense que la survie commande le pragmatisme, la prudence et la dissimulation. De l’admiration car son propre mode de vie romanisé lui donne le sentiment d’être un très mauvais juif au contact de l’intransigeance religieuse et politique de Levi.
Levy, le juif sioniste
Le principal reproche du juif cosmopolite au juif sioniste est que ce dernier, par sa radicalité, le met en danger en le faisant remarquer par les goyim. Or le juif cosmopolite, par définition minoritaire, a besoin de feindre l’assimilation pour se mouvoir au milieu des goyim et les exploiter.
Timon reproche ainsi à Levi son égoïsme militant qui expose sa famille aux représailles possibles des autorités romaines, ce à quoi répond Levi que c’est l’indifférence égoïste de Timon vis-à-vis de son peuple qui laisse les juifs de Palestine à la merci de Rome. Levi monte ensuite un projet d’assassinat d’Hérode, roi des juifs allié de Rome, auquel finit par se joindre Timon redevenu religieux avant de se raviser de peur de causer la perte de sa famille. Il tue accidentellement Levi alors que ce dernier est sur le point de tuer Hérode à Rome. Finalement, Timon quitte la capitale de l’empire pour faire son alyah et se racheter, ouvrant la voie à un nouveau cycle similaire.
Cette tension est permanente et c’est elle qui explique pourquoi la juiverie israélienne est maximaliste face à l’Iran tandis que la grande juiverie américaine, qui voit à l’échelle planétaire, exige du petit frère qu’il modère son fanatisme pour éviter d’hypothéquer les projets mondiaux des grands hiérarques juifs.
La fonction d’Israël est d’être l’instrument visible de la domination juive internationale et c’est précisément pour cela que les médias occidentaux aux mains des juifs présentent systématiquement Israël comme un « modèle » spirituel sur lequel doivent s’aligner les nations sémitisées. C’est aussi pour cela que l’impunité d’Israël est mise en scène à l’ONU depuis sa fondation : c’est un simulacre voulu par les juifs pour signifier aux goyim qu’ils ne peuvent rien contre la toute-puissance de la juiverie mondiale.
Mais le pouvoir juif n’en est pas pour autant entre les mains de l’état d’Israël. Il est entre les mains des chefs juifs de la grande finance et du gigantesque cartel médiatique qui façonne l’esprit des goyim, véritable église de substitution depuis la chute du christianisme en Occident.
Le pouvoir temporel des juifs se situe à Wall Street et à la City, son pouvoir spirituel exotérique à Hollywood et à la Silicon Valley tandis que le siège de son pouvoir spirituel ésotérique se trouve à Jérusalem.
Quand la grande juiverie internationale a besoin des services d’hommes de main, elle appelle Israël pour les lui fournir. C’est ce qui s’est passé le 11 septembre 2001.
Le féodalisme hébraïque
Cette subordination ne régit pas seulement les rapports entre la grande juiverie internationale et la juiverie israélienne, mais les rapports entre les juifs eux-mêmes.
Ceux qui veulent savoir comment les juifs se traitent entre eux n’ont qu’à se reporter à la nature tyrannique du pouvoir des pharisiens ainsi qu’aux nombreux règlements de comptes sanglants qui parcourent la torah, l’ancien testament des chrétiens. Quand Jésus de Nazareth a prétendu secouer l’autorité des pharisiens en appelant pacifiquement le peuple juif à s’en libérer, les pharisiens l’ont fait hypocritement exécuter par les Romains afin de préserver les apparences de la justice juive dont ils se prévalaient le reste du temps. Ils l’ont ensuite maudit pendant deux millénaires dans leurs prières.
Chez les juifs, tout n’est que façade, injustice et extrême cruauté.
Les juifs, contrairement à ce que professe leur religion, n’escroquent pas seulement les goyim, ils s’escroquent entre eux avec un raffinement inimaginable pour un simple goy de la campagne française.
Il n’y a pas d’égalité entre les juifs, il n’y a qu’une solidarité mouvante et fragile que dicte l’impératif de survie face au réveil régulier du goy escroqué.
Sitôt la menace passée, les juifs entreprennent à nouveau de se voler et de s’abuser mutuellement.
Il existe de rares juifs qui, à force de souffrances, finissent par entrer en confrontation avec leur propre peuple. S’ils sont rares, ils parlent avec la plus grande clarté de la nature des juifs.
Ce sont les Otto Weininger, Bobby Fisher ou Roger Dommergue qui défient l’impitoyable loi du silence juive.
Ces rares juifs sont haïs des autres juifs qui, comme les vampires, ne peuvent tolérer de voir un miroir sans souffrir d’une manière indicible face à leur propre image.
Si la grande juiverie n’hypothèquera pas la survie biologique d’Israël avec ce grand plan sanitaire global, elle entend bien que la juiverie israélienne joue son rôle de « modèle » de la tyrannie juive qu’elle prépare pour le reste de l’humanité.
Par cercles concentriques, le féodalisme hébraïque s’applique d’abord aux juifs avant de s’appliquer aux goyim. Certes, conformément à l’idée raciale de ce féodalisme hébraïque, mieux vaut être un serf juif qu’un serf goy, mais un serf reste l’obligé de son maître, juif ou non. D’autant que les chefs juifs, qui connaissent leur peuple mieux que quiconque, savent qu’il faut tenir la populace juive d’une main de fer afin d’éviter les débordements fanatiques dont elle est coutumière.
Si quelques juifs cassent leurs pipes sur le chemin de l’avènement de la tyrannie juive mondiale, cela convient parfaitement aux grands dignitaires de Jehovah.
C’est cela, la « lumière des nations ».
Si les juifs exonéraient leur état « modèle » de leur propre politique, comment pourraient-ils la faire adopter avec assurance dans les pays soumis à leur empire ? Il fallait au contraire que le modèle soit le modèle. Ce qui prouve de manière irrécusable la culpabilité des juifs est justement d’avoir fait d’Israël l’état tyrannique par excellence.
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