Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2017
Pour comprendre l’effondrement de la société en Europe de l’Ouest, l’homme blanc se situant dans la tranche d’âge 16-60 ans doit bien comprendre qu’il est la cible d’une coalition de groupes hostiles. En premier lieu, en plus des homosexuels ou des parasites raciaux, sémites en tête, se trouve la femme reprogrammée par le féminisme.
La « libération de la femme » signifie, en réalité, la réduction en esclavage de l’homme et de la société, lesquels se retrouvent exposés à tous les désordres émotionnels féminins.
Avant de continuer, un simple rappel. Un tableau comparatif de la façon dont les hommes évaluent de prime abord l’attractivité des femmes et vice versa.
Pour les hommes, vous avez un schéma en cloche. En somme, les hommes jugent de manière équilibrée les femmes : ils placent 40% d’entre elles dans les « moches » ou « plutôt moches », 20% dans les « normales », 40% dans les « plutôt jolies » ou « jolies ». Notez que sur ces 40%, ils placent même 6% d’entre elles dans les « très belles ».
Pour les femmes, rien de tel. Elles considèrent que 80% des hommes sont moches ou plutôt moches. Elles placent 27% des hommes dans les très moches. Mieux : aucun homme n’est considéré comme « très beau ». En d’autres termes, la règle de base à retenir : une femme trouve a priori un homme plutôt moche, sauf exception.
Naturellement, les femmes ajoutent d’autres critères que le critère physique : l’argent, le pouvoir et le charisme. Les critères de sélection de la femme n’ont absolument rien de « féministe » : ils reposent tous sur l’idée que l’homme doit être dominant dans l’ordre social. Plus il a les attributs de la domination, plus les femmes trouvent soudainement un homme « attirant ».
Le but : avoir une progéniture disposant de ces qualités de domination naturelle et materner à l’abri du besoin, voire dans l’opulence. Rien d’anormal, du moins jusqu’à la survenue du féminisme.
La règle du 80/20
N’oubliez pas : sous-jacente se trouve cette règle des 80/20. Et ce déséquilibre fondamental ne correspond pas à la démographie. 100% des femmes ne peuvent pas avoir 20% des hommes, de quoi résulte une insatisfaction permanente chez 80% d’entre elles.
Ces 80% de femmes qui sont insatisfaites se retrouvent face à 80% d’hommes qu’elles jugent médiocres, mais parmi lesquels elles doivent se résoudre à trouver un « partenaire ».
C’est ici que la question de l’ordre et de la barbarie est posée : depuis l’Antiquité, la société a été édifiée contre ce déséquilibre grâce à la loi d’airain du mariage. Elle sauvait les femmes de cette loi des 80/20 qui les condamne naturellement au célibat ou à une maternité isolée, donc à la pauvreté. Et la pauvreté dans l’Antiquité ou au Moyen-Âge signifiaient, invariablement, la mort.
Le mariage était la mise en forme légale d’une contrainte à laquelle se résignaient les femmes et les hommes contre leurs penchants primitifs. Une victoire de la volonté contre les pulsions et l’individualisme.
Si les femmes sont laissées libres, leur nature animale prend immédiatement le dessus, laissant potentiellement plus des trois-quarts des hommes sans possibilité de fonder un foyer et donc de s’inscrire dans l’ordre social. La famille, première cellule sociale, implose. Les masses de mâles, sans perspective, accumulent une frustration sexuelle grandissante qui devient le carburant de l’agitation sociale et de l’anarchie.
C’est littéralement toute la société qui s’effondre.
L’implosion de la société
Depuis très peu de temps, environ 50 ans, les femmes ont intégré en masse l’économie de consommation ainsi que les domaines du politique. La question de la pauvreté est devenue beaucoup moins sérieuse. Une femme peut se séparer d’un homme sans craindre pour sa subsistance ou son logement. D’autant que l’économie, soutenue par un endettement exponentiel, encourage la construction massive de logements au moyen d’emprunts.
Et les femmes ont commencé à infiltré le régalien, domaine exclusif du guerrier. Elles sont devenues majoritaires dans la magistrature, s’ingérant dans le politique et l’éducation. Elles ont exigé et obtenu une série de mesures discriminantes en leur faveur via des « aides » diverses. Les lois ont été bouleversées : droit à l’avortement, divorce, gardes quasi systématiquement confiées à la femme, lois « paritaires », etc.
Concrètement, la femme se nourrit de l’affaiblissement du statut de l’homme, père et guerrier, exigeant cependant de lui qu’il continue de remplir toutes ses obligations traditionnelles alors qu’elle refuse d’assurer les siennes : refus d’être soumises au Pater Familias (cf, loi « anti-harcèlement », etc.), refus d’être fidèles, donc d’appartenir au Pater Familias (divorce), désir d’une sexualité récréative (« droit » à l’avortement).
Elles veulent, en plus, tous les attributs sociaux de l’homme, à savoir la domination, sans pouvoir évidemment en assumer les responsabilités.
C’est ici que les femmes s’allient souvent d’instinct à tous les ennemis de l’homme blanc et du patriarcat : les métèques, les pédés, les dégénérés de toute nature, etc. On ne peut pas comprendre l’affaiblissement social de l’homme blanc, la destruction de la société, sans comprendre que sa chute a été conditionnée par la « libération » de la femme.
Les femmes et les pédés
Les femmes sont particulièrement obsédées par les homosexuels.
Pourquoi les femmes aiment les homosexuels ? Parce qu’ils ne sont pas des mâles cherchant une relation sexuelle. En d’autres termes, ce sont des mâles inoffensifs qui ne veulent pas les dominer. C’est un territoire neutre pour elles. Et c’est précisément ce qu’elles haïssent chez les mâles hétérosexuels : elles sont sous un stress permanent en raison de leur évaluation en temps réel comme partenaire sexuelle.
Et comme elles cherchent à filtrer 80% des hommes, elles se trouvent presque toujours dans un environnement qu’elles jugent stressant. Le bénéfice concret que recherchent les femmes dans une relation amicale avec un homosexuel consiste précisément à chercher conseil dans leur recherche d’un partenaire sexuel masculin.
Le pédé est, pour une femme, un outil défensif.
Les femmes perçoivent donc comme une menace directe de la part des mâles blancs une attaque contre les pédés et leur suppression de l’ordre social. Ce qui génère toujours des torrents de réactions ovariennes sur les réseaux sociaux. Elles assimilent cela à la colère des 80% de mâles qui remettent en cause leur marginalisation.
Faites le test plutôt que de prendre pour argent comptant ce que je dis. Allez sur un sujet impliquant des pédés, comme Kadyrov qui exécutent ces fiottes en Tchétchénie, et troller un peu.
L’islam au tournant
Maintenant, voici la situation. Le nihilisme et la dévitalisation des hommes blancs d’Europe de l’Ouest a permis la montée en puissance des femmes et du désordre qu’elles répandent naturellement autour d’elles. C’est-à-dire du primat de l’émotion sur la raison.
Les hommes blancs vont inévitablement se rebeller contre la vaginocratie, une fois que l’anarchie aura atteint son paroxysme. La démocratie, à ce moment là, sera détruite du même mouvement.
Ils se réapproprieront les femmes qui ne pourront, évidemment, rien y faire. La question qui se pose est celle du « comment ? ».
Face à ce « trou noir » qu’engendre le nihilisme de l’homme blanc d’Europe de l’Ouest, s’engouffre l’islam. C’est ici que nous sommes à un tournant crucial : l’islam est la seule forme qui actuellement présente une volonté et, par là même, se veut radicalement anti-féminin. C’est le seul mouvement social qui veut explicitement dominer la femme et refaire de l’homme la colonne de l’ordre social.
Il est à craindre que face au nihilisme et à la tyrannie féminine, l’islam ne vienne s’imposer comme alternative de facto. Ce n’est pas un souhait, mais un constat.
La seule autre option serait l’héroïsme européen, mais il suppose un vouloir et une violence que les pédales urbaines occidentales refusent.
L’opposition à l’islam au « nom de la démocratie » revient à défendre le nihilisme ambiant. Un nihilisme qui, par définition, ne peut rien engendrer.
Donc, la solution est à peu près limpide.
Le slogan « émancipation des femmes » a été inventé par des intellectuels juifs et son contenu a été formé par le même esprit. Durant les belles périodes de la vie allemande, la femme allemande n’avait pas besoin de s’émanciper. Elle possédait exactement ce que la nature lui avait donné à administrer et préserver, tout comme l’homme durant ces belles périodes n’avait pas besoin de craindre d’être chassé de sa position face aux femmes.
Contrairement à ce que disent les intellectuels juifs, le respect mutuel ne dépend pas de la confrontation des sphères d’activité des deux sexes, ce respect exige qu’aucun sexe n’essaie de faire ce qui appartient à l’autre sphère. Il repose, en dernière instance, dans le fait que chacun sait que l’autre fait tout ce qui est nécessaire pour défendre la communauté entière. Donc, notre mouvement de femmes n’est pas quelque chose qui inscrit sur ses drapeaux la guerre contre les hommes comme programme, mais quelque chose qui a pour programme le combat commun avec les hommes.
Adolf Hitler, 1934
Nous devons véritablement libérer la femme, c’est-à-dire permettre à ses qualités premières de s’exprimer, donc de cesser cette politique dégénérée tendant à la masculiniser à outrance.
De même, nous devons travailler à briser cette pédalisation des hommes, sans laquelle le premier phénomène n’existerait pas.