Le révolutionnaire antisémite Xavier Mathieu dénonce le mépris tribal de la hyène juive Elkrief pour les Gaulois (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 décembre 2018

 

Ce Xavier Mathieu est certes un gauchiste mais il a tout de même eu le mérite de remettre à sa place, pour la première fois, cette hyène juive de Ruth Elkrief.

Et il va sans dire que la violence de rue lui convient parfaitement.

Ce Xavier Mathieu est rompu à l’agitation syndicale. Quoi que l’on en dise, agiter les masses ne s’apprend pas en une journée.

Quelques principes d’agitation

Il faut un discours manichéen – blanc et noir – et simple, le répéter encore et toujours. Les masses ne comprennent rien aux nuances.

Nous ne sommes pas là pour faire raisonner les masses mais pour actionner les leviers émotionnels qui les mettent en mouvement.

Il faut également une cible à ce mouvement, présentée comme l’origine de tous les maux et cette cible doit impérativement être une personne identifiable. Dénoncer des phénomènes n’entraîne aucune réaction dans les masses. Il faut toujours livrer un coupable aux foules. Toujours.

Ce coupable, pour nous, c’est la foule qui l’a désigné : Macron.

En conséquence, nous ne dirons jamais assez de mal de lui. Cela doit être un torrent permanent d’injures, d’accusations. Vous devez prêter l’oreille aux reproches qui lui sont faits le plus souvent par les foules et les faire vôtres. Si le peuple le trouve méprisant, c’est ce que vous devez marteler encore et toujours : « Macron méprise le peuple qu’il vole pour se gaver ! ».

Ne contredisez jamais frontalement les préjugés des foules, utilisez-les

Vous avez des gens qui se lamentent sur le fait que la plèbe parle d’ISF : c’est sans intérêt. Si c’est ce que la plèbe veut entendre, il faut le reprendre comme un slogan pour charger encore davantage l’acte d’accusation du régime. Notre rôle actuel n’est pas d’élaborer des théories économiques mais de mouvoir les masses.

Vous n’irez jamais convaincre un prolétaire au smic que faire des chèques à des millionnaires a du sens. La réalité ici n’a aucune importance : c’est une limite psychologique. Utilisez plutôt cette idée enracinée dans son esprit pour enchaîner sur d’autres cibles.

Parler des ponts d’or que cette république judéo-cosmopolite fait aux banlieues afro-maghrébines est un bon moyen d’y parvenir mais aussi de dénoncer les politiciens corrompus en liberté : Tapie, Balkany, Cahuzac, Fabius, etc. Parler des niches fiscales des journalistes et traitez les de menteurs stipendiés sans arrêt.

Vous verrez votre prolétaire, conquis par votre dénonciation de l’ISF, vous rejoindre comme par miracle sur votre enchaînement logique.

D’ailleurs, en ce moment, ceux qui payent cet ISF sont-ils, majoritairement, dans la rue, avec nos hommes, ou du côté de Macron ? Cet ISF est au fond pour nous une excellente menace d’amende collective contre ceux qui sont fidèles au régime et partisans du statu quo.

4 milliards d’euros pour amener le peuple à nous et contre la finance juive, c’est très bon marché.

D’une manière plus générale, tous les privilèges doivent être dénoncés. Toute ce qui conforte les masses dans leur sentiment – justifié – d’injustice doit être exploité à outrance.

Pour l’heure, la seule chose qui importe, c’est de mobiliser les masses par la haine, le carburant éternel des révolutions. Tous ceux qui appellent au calme sont des contre-révolutionnaires, des ennemis du peuple et doivent désignés comme tels dans nos discussions avec les gens.