Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juin 2021
Comprendre les juifs en deux tweets.
Tweet 1 : Promouvoir la théorie du Grand Remplacement en Chine pour défendre les islamistes.
Les données officielles chinoises sont claires: Pékin a mis en place une politique systématique de remplacement de la population ouighoure par un peuplement Han dans le Xinjiang.
Le crime contre l’humanité en cours est confirmé par les statistiques de l’Etat chinois#FreeUyghurs https://t.co/Ez496NQUqc— Raphael Glucksmann (@rglucks1) June 14, 2021
Tweet 2 : Dénoncer la théorie du Grand Remplacement en Europe pour défendre les islamistes.
A force de répéter que nous vivons à l’heure du « grand remplacement » et que dans 30 ans le drapeau noir du califat flottera sur l’Europe, évidemment qu’on pousse des malades à s’armer et tirer dans le tas. Tout acte de haine est préparé par des discours de haine. #Hanau
— Raphael Glucksmann (@rglucks1) February 21, 2020
Ce juif vient de formuler lui-même sa propre condamnation.
Grâce au belliciste néo-conservateur Glucksmann, nous avons sous les yeux un cas d’école de l’essence du mensonge juif.
La pensée juive est construite sur ce qui semble être un paradoxe : le juif présente aux masses non-juives sa subjectivité en objectivité.
Pour le juif, la définition de la vérité n’est pas liée à la réalité objective mais à l’intérêt du juif à un instant T. Si son intérêt parasitaire le commande, il peut tout à la fois nier contre l’évidence l’existence de sa tapageuse politique remplaciste en Occident tout en dénonçant avec aplomb l’équivalent d’une telle politique en Chine, ou dans n’importe quel état qu’il veut diffamer et abattre.
Le juif est la seule créature qui mente en prononçant le seul mot de « vérité ». C’est un concept qui est tout simplement incompatible avec une cervelle juive.
Le juif n’a que faire d’être surpris en train de mentir par calcul. Quand on le traite de menteur, il répond en mentant encore plus outrancièrement, c’est-à-dire en étant encore plus juif. C’est pour cela que le menteur juif est aussi l’accusateur par excellence : redoutant d’avoir à se défendre, il opte pour l’attaque préventive et dénonce les goyim pour ce qu’il commet lui-même au centuple.
C’est la fameuse inversion accusatoire.
Ce n’est pas un hasard si les juifs pullulent parmi les avocats.
Mentir pour de l’argent contre l’évidence est leur identité génétique.
Ce n’est que lorsque l’on aborde le paradigme juif en termes juifs que soudain le juif perd ses moyens.
Quand on attaque le juif dans sa subjectivité, c’est-à-dire dans sa race, l’illusion qu’il cherchait à créer en présentant ses mensonges comme une vérité universelle s’effondre.
Ne reste que le petit youtre, circonscrit.
Il ne peut plus s’infiltrer pour tromper les goyim avec les mensonges qu’il leur susurrait à l’oreille. C’est à ce moment qu’il recourt à son antique ficelle : feindre la faiblesse en pleurant comme une victime pour pouvoir à nouveau accuser les goyim et ainsi recommencer un nouveau cycle de mensonges et de manipulations.
Peu importe ce que dit ou fait un juif, quand on parle de lui ou de ses actes, on doit toujours commencer sa phrase par « le juif X a [insérer la suite] ».
Ses pouvoirs, comme le vampire en plein jour, en sont abolis.
Il continuera d’essayer de mordre mais plus il attaquera l’antisémite, plus l’antisémite l’attaquera en retour, plaçant le juif davantage sous la lumière qu’il cherche à fuir.
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