Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Juin 2020
Pour ceux qui n’auraient pas suivi la création du micro-état négro-antifa LGBTQI à Seattle, vous pouvez vous référer à cet article qui résume le début de l’expérience entamée cette semaine.
Au début créée par des gauchistes blancs gender fluid après la désertion de la police du secteur, l’état autonome de Seattle est rapidement tombé sous la coupe d’un seigneur de la guerre africain aidé de ses hommes de main armés en la personne du rappeur Raz Simone.
Le gentleman en t-shirt rouge dans cette vidéo :
SEATTLE’S NEW WARLORD RAZ DISCUSSES HIS NEW COUNTRY pic.twitter.com/eAzxjGC4YK
— The_Real_Fly (@The_Real_Fly) June 11, 2020
Il explose même les journalistes qui osent s’aventurer dans son nouvel état.
Yo @abolishICE___ I saw you deleted this vid of Raz from #CHAZ #SeattleAutonomousZone smacking a streamer.
Don’t worry man everyone has a copy. pic.twitter.com/ewSlCgE7Tl
— RHGR (@RHGR) June 11, 2020
Absolument glorieux.
Raz me compte parmi ses principaux fans.
Il est devenu en peu de temps l’équivalent américain de Boko Haram dans la Seattle d’après les Blancs.
Cette expérience en temps réel de la fin de la civilisation blanche dans cette partie de l’Amérique est vraiment exaltante. C’est un modèle réduit de ce qui nous attend tous. L’édition nègre limitée de Magic Cards The Gathering.
Des créatures de toutes les couleurs ont rejoint le nouvel état pour faire des trucs que font les gens de couleur habituellement. Comme ce chef iroquois qui expose au public la nécessité de génocider les Blancs.
Si vous voulez suivre ça de près, vous avez un live ici :
Trump vocifère sur Twitter à ce sujet.
Il a le temps pour ça depuis qu’il a délégué la présidence des Etats-Unis à Jared Kushner.
La maire de Seattle a vertement répondu à Trump – qui exige de reprendre la nouvelle république de Raz – qu’il est hors de question d’empêcher l’avènement de seigneuries nègro-terroristes tant qu’elle contrôlera la ville.
Elle estime que c’est une expérience progressiste inédite qui doit être protégée.
Seattle’s mayor defended allowing protesters police-free “autonomous zone” on the city’s streets, pushing back a day after President Trump threatened to send federal resources to crack down on the protesters, whom he labeled terrorists. https://t.co/Z18UoK8lVW pic.twitter.com/5MRIFoCcTe
— The New York Times (@nytimes) June 12, 2020
Il se trouve que la police de Seattle est identique à la police du nouvel état contrôlé par le rappeur Raz. Comme celle de l’état négro-communiste, les flics de Seattle sont dirigés par une négresse du ghetto et cette négresse assure qu’elle n’a aucune idée de ce qu’il se passe ni de ce qu’il doit se passer théoriquement dans la ville dont elle a la charge.
« Ouais, yo, j’sai pa, yo, ce negro est chaud, yo » a-t-elle déclaré à la presse.
Seattle Police Chief: « Rapes, robberies and all sorts of violent acts have been occurring in the area and we’re not able to get to [them]. » #capitolhillautonomouszone #antifa #BlackLivesMatter pic.twitter.com/Oe5YfVz3uL
— Andy Ngô (@MrAndyNgo) June 12, 2020
A ce stade, c’est donc un genre de partage territorial entre nègres armés qui a lieu à Seattle. Ce qui est conforme au projet de la gauche blanche internationale. D’une manière générale, toutes les villes cosmopolites occidentales qui sont gouvernées par des femmes de gauche finiront en républiques narco-négroïdes similaires à celle-ci.
J’y suis particulièrement favorable. Je suis même partisan d’armer ces nègres pour voir comment les bobos vivent leur expérience à proximité de ces zones progressistes avancées.