Le programme de lavage de cerveau de la juive Francine Shapiro utilisé pour contrôler les victimes du Bataclan

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2021

Quand un grain de sable ethnique vient se glisser dans la machine républicaine, le régime dispose d’outils nécessaires au recyclage des gens susceptibles de poser problème.

Un exemple avec une victime de l’attentat islamique du Bataclan.

Béatrice est une bobo qui croyait en l’utopie multiculturelle jusqu’au jour où elle s’est prise le multiculturalisme en pleine tête à coups d’AK-47.

« Les Blancs qui se défendent sont haineux »

Béatrice, une Française de base

Même sous les balles islamiques, Béatrice prétend ne pas choisir un camp parce qu’elle est génétiquement programmée pour se ménager le plus d’options possibles. Quand une femme affirme sa neutralité au beau milieu d’une invasion armée, c’est qu’elle est déjà prête à rallier l’ennemi.

Ensuite viennent les nouvelles technologies de lobotomisation non-invasive, comme l’EMDR, pour éviter tout débordement public potentiellement gênant pour le régime.

Qu’est-ce que l’EMDR ?

Un programme de lavage de cerveau mis au point par des psychiatres juifs.

Ce que l’on appelle pudiquement une « thérapie » pour ne pas effrayer les goyim.

Santé Le Journal des Femmes :

EMDR signifie en anglais Eye Movement Desensibilisation and Reprocessing, soit la désensibilisation et le retraitement (de l’information) par les mouvements oculaires. Cette thérapie repose sur le mouvement de l’œil, un balayage rapide de droite à gauche, alors même que la personne se reconnecte à l’événement traumatisant par la pensée et la verbalisation préalable à son thérapeute.

Conçu en 1987 aux Etats-Unis par Francine Shapiro pour guérir les traumatismes psychiques, les chocs émotionnels, le deuil, l’EMDR permet également de soigner des problématiques névrotiques comme des phobies, angoisses, états dépressifs. Cette méthode a été importée en France en 1994, popularisée par David Servan-Schreiber dans son livre « Guérir ».

Grâce à cette science juive, Béatrice est désormais une paisible vache hindoue.

Contrairement à ce qu’enseignent hypocritement ces hébreux au troupeau aryen, la haine est un sentiment humain inscrit dans le cœur de l’homme pour remplir une fonction vitale : survivre. La haine est un puissant mobilisateur face à une menace. La haine doit être savamment cultivée et maîtrisée dans le cadre de la guerre permanente pour la survie.

Ce n’est pas un hasard si la race juive, la plus haineuse des races, a mis au point une batterie de lois pour lutter « contre la haine » des Blancs, c’est-à-dire leur capacité de résister à leurs ennemis raciaux.

Le jour où l’on comprend que la haine est une alliée précieuse, plus rien ne peut stopper le combattant de prendre plaisir à combattre l’ennemi.

La haine est l’hydromel des guerriers.

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