Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2021
Quand un grain de sable ethnique vient se glisser dans la machine républicaine, le régime dispose d’outils nécessaires au recyclage des gens susceptibles de poser problème.
Un exemple avec une victime de l’attentat islamique du Bataclan.
Béatrice est une bobo qui croyait en l’utopie multiculturelle jusqu’au jour où elle s’est prise le multiculturalisme en pleine tête à coups d’AK-47.
Après de nouvelles constitutions de parties civiles, Béatrice est la première à s’avancer à la barre aujourd’hui : « le vendredi #13Novembre j’étais heureuse parce qu’on économisait de l’argent pour notre mariage et on n’allait plus trop au concert avec mon fiancé ».
— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « on est arrivé à 19h au Bataclan et on est allé directement sur la coursive gauche. On se met là parce qu’on a l’ambiance de la fosse sans être bousculés. »
Quand l’attentat débute, elle se tourne vers la scène « et j’ai compris que c’était du sérieux ».— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « j’ai tiré mon mari pour qu’ils s’accroupissent et j’ai vu une balle lui traverser le bras. J’ai senti son sang couler sur ma jambe et j’ai complètement paniqué. J’ai fermé les yeux, j’ai pas vu grand chose, j’ai surtout entendu, ce qui ne m’aide pas au quotidien. »
— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « je me rappelle de l’explosion. J’ai cru que c’était une grenade parce que pour moi c’est inimaginable de se faire sauter. On a reçu des morceaux [de chair humaine, ndlr] sur nous mais j’ai cru que c’était le plafond. »
— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « on est restés là jusqu’à l’arrivée de la BRI. Mon mari avait une artère touchée, il perdait tout son sang. Les policiers nous ont sortis. » Son mari est emmené à l’hôpital Bégin. « Je me suis retrouvée à errer. J’ai vu un taxi mais qui n’a pas voulu me prendre. »
— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « ce que j’attends de ce procès c’est que la justice soit rendue. Je ne sais pas si ça me conviendra, mais peu importe.
Pour pouvoir témoigner aujourd’hui, j’ai fait des séances d’EMDR parce que je n’arrivais pas à contrôler mes émotions. »— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
Béatrice : « grâce à l’EMDR aussi, ma colère a disparu. Ma colère est arrivée en 2017 quand j’ai appris qu’un proche avait voté Front national. Et là, tout est remonté. Je n’ai pas pu supporter les gens haineux. «
— Charlotte Piret (@ChPiret) October 20, 2021
« Les Blancs qui se défendent sont haineux »
Béatrice, une Française de base
Même sous les balles islamiques, Béatrice prétend ne pas choisir un camp parce qu’elle est génétiquement programmée pour se ménager le plus d’options possibles. Quand une femme affirme sa neutralité au beau milieu d’une invasion armée, c’est qu’elle est déjà prête à rallier l’ennemi.
Ensuite viennent les nouvelles technologies de lobotomisation non-invasive, comme l’EMDR, pour éviter tout débordement public potentiellement gênant pour le régime.
Qu’est-ce que l’EMDR ?
Un programme de lavage de cerveau mis au point par des psychiatres juifs.
Ce que l’on appelle pudiquement une « thérapie » pour ne pas effrayer les goyim.
EMDR signifie en anglais Eye Movement Desensibilisation and Reprocessing, soit la désensibilisation et le retraitement (de l’information) par les mouvements oculaires. Cette thérapie repose sur le mouvement de l’œil, un balayage rapide de droite à gauche, alors même que la personne se reconnecte à l’événement traumatisant par la pensée et la verbalisation préalable à son thérapeute.
Conçu en 1987 aux Etats-Unis par Francine Shapiro pour guérir les traumatismes psychiques, les chocs émotionnels, le deuil, l’EMDR permet également de soigner des problématiques névrotiques comme des phobies, angoisses, états dépressifs. Cette méthode a été importée en France en 1994, popularisée par David Servan-Schreiber dans son livre « Guérir ».
Grâce à cette science juive, Béatrice est désormais une paisible vache hindoue.
Contrairement à ce qu’enseignent hypocritement ces hébreux au troupeau aryen, la haine est un sentiment humain inscrit dans le cœur de l’homme pour remplir une fonction vitale : survivre. La haine est un puissant mobilisateur face à une menace. La haine doit être savamment cultivée et maîtrisée dans le cadre de la guerre permanente pour la survie.
Ce n’est pas un hasard si la race juive, la plus haineuse des races, a mis au point une batterie de lois pour lutter « contre la haine » des Blancs, c’est-à-dire leur capacité de résister à leurs ennemis raciaux.
Le jour où l’on comprend que la haine est une alliée précieuse, plus rien ne peut stopper le combattant de prendre plaisir à combattre l’ennemi.
La haine est l’hydromel des guerriers.