Captain Harlock
Démocratie Participative
07 juillet 2021
Cela fait 200 ans que les noirs d’Haïti ont chassé les Français de l’île au terme d’un génocide éclair mené par Toussaint Louverture.
Et depuis 200 ans, faute de Blancs, ils s’entretuent.
Le président haïtien Jovenel Moïse a été assassiné dans la nuit de mardi à mercredi par des hommes armés dans sa résidence privée.
Le Premier ministre sortant d’Haïti, Claude Joseph, a annoncé, mercredi 7 juillet, que le président Jovenel Moïse a été assassiné dans la nuit de mardi à mercredi.
« Vers une heure du matin, dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 juillet 2021, un groupe d’individus non identifiés, dont certains parlaient en espagnol, ont attaqué la résidence privée du président de la République et ainsi blessé mortellement le chef de l’État« , a annoncé le chef du gouvernement dans un communiqué. « Condamnant cet acte odieux, inhumain et barbare », le Premier ministre appelle « la population au calme » et assure que « la situation sécuritaire du pays » est « sous contrôle ».
A Haïti, vous avez le choix : soit vous avez les haïtiens, soit vous avez le calme.
Mais ces deux choses en même temps, non.
Comme on ne peut pas avoir Haïti sans les haïtiens, nous pouvons oublier le calme et tranquillement nous diriger vers une sanglante guerre civile où des bandes de noirs adeptes de milices vaudous vont s’entretuer à l’arme blanche et à l’arme automatique pour le contrôle de l’île.
Mais contrairement à ce que racontent les médias, c’est tout à fait normal. Les noirs ont besoin de s’entretuer comme les Blancs ont besoin de bâtir des sociétés avancées.
C’est leur mode d’autorégulation et c’est très bien ainsi.
Le président haïtien Jovenel Moïse avait nommé lundi Ariel Henry, un médecin, à la fonction de Premier ministre. Le précédent chef de gouvernement n’a même pas tenu trois mois à ce poste.
Haïti, pays des Caraïbes et nation la plus pauvre du continent américain, est gangrené par l’insécurité et notamment les enlèvements contre rançon menés par des gangs jouissant d’une quasi impunité. Le président Jovenel Moïse, accusé d’inaction face à la crise, était confronté à une vive défiance d’une bonne partie de la population civile.
Cet assassinat ne rendra pas la situation de l’île moins violente.
Rien de ce que peuvent faire des noirs ne rendra jamais quoi que ce soit moins violent autour d’eux. Comme je le disais plus haut, la violence est inhérente à la négritude. Ce qui est parfaitement admissible, pourvu que cela se déroule dans des zones de peuplement noir en Afrique.
Hélas, les démocraties juives veulent impérativement repeupler les pays blancs avec des noirs.
Ces éclats d’ultra-violences simiesques deviennent donc de plus en plus courants chez nous.
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