Captain Harlock
Démocratie Participative
18 septembre 2018
La panique s’empare de tout le système à la veille des élections européennes du printemps prochain. La Grèce, sous tyrannie financière juive administrée par l’UE, est une des principales lignes de fracture.
Le principal danger pour l’Union européenne n’est pas représenté par une possible sortie de certains de ses membres mais par le populisme et le néonazisme, a déclaré le Président grec Prokopis Pavlopoulos lors du sommet du groupe Arraiolos qui s’est déroulé à Riga les 13 et 14 septembre.
«Toutes ces formes de populisme et de néonazisme cachées derrière le prétendu patriotisme ne visent qu’à faire renaître des cauchemars passés qui ont détruit l’Europe et presque l’ensemble du monde. C’est pourquoi nous devons lutter pour que ces forces ne gagnent pas et que la construction européenne soit achevée», a-t-il précisé.
Selon lui, les élections européennes qui doivent avoir lieu en mai 2019 constitueront l’un des moments clés de l’évolution de l’UE depuis la création de la zone euro.
«Le futur de l’UE est en jeu […] Nous espérons que les peuples européens diront d’une seule voix « No pasaran! »», a-t-il ajouté.
Nous ne parlons pas ici d’une sorte de vieux communiste parvenu à la présidence grecque.
Non, ce Prokopis Pavlopoulos est membre du principal « parti de droite » grec, Nouvelle Démocratie.
La situation est si désespérée pour les juifs que vous avez maintenant des politiciens affairistes sexagénaires qui font le tour de l’Europe pour appeler à écraser le populisme en criant des slogans antifas.
Il va sans dire que le seul fait qu’un de ces représentants de cette tyrannie financière scande des slogans antifascistes démontre par l’absurde que le marxisme ne représente en rien un danger pour la finance juive internationale et son bras armé, Goldman Sachs.
Cela se comprend très vite, en regardant ces antifas.
On comprend également pourquoi le système donne carte blanche aux antifas pour faire leur travail de basse police.
Plus tôt, le Premier-ministre grec Alexis Tsipras avait mis l’UE en garde contre «le chauvinisme» et «la rivalité nationaliste».
La première réunion du groupe Arraiolos a eu lieu en 2003 dans la ville portugaise d’Arraiolos. Il s’agit d’un sommet informel des dirigeants européens organisé environ une fois par an afin de discuter des questions du développement de l’UE. Cette année il a été organisé dans la capitale lettone où se tiennent annuellement les défilés de la Légion lettone, unité de la Waffen-SS pendant la Seconde Guerre mondiale.
Est-ce que ce communiste Tsipras, à la tête de la gauche radicale grecque, a libéré la Grèce de l’esclavage financier depuis qu’il est arrivé au pouvoir en 2015 ?
Il a fait exactement l’inverse : utiliser le bloc électoral marxiste, staliniens du KKE exceptés, pour maintenir la Grèce sous occupation financière juive tout en nouant une alliance stratégique avec la colonie juive de Palestine en Méditerranée.
Et vous l’avez maintenant, main dans la main avec la droite affairiste grecque, faisant la tournée des capitales européennes pour appeler à la formation d’un front antifasciste, antipopuliste, antinazi. Bref, un front aux ordres de la finance contre les peuples européens qui veulent se libérer de cette tyrannie.
La seule force authentiquement nationale en Grèce est l’Aube Dorée, identifiée en tant que telle par la finance juive qui a exigé et obtenu l’arrestation de tous leurs députés élus.
Il n’est donc pas surprenant que cette Union Européenne sous contrôle bancaire décide de la formation d’un tel front.