Le Libre Panzer
Démocratie Participative
30 octobre 2018
Il n’est pas exagéré de dire que les juifs commencent à anticiper la fin de l’Union Européenne et cooptent des mouvements en cas d’imprévu.
Ce que l’on appelle une assurance-vie.
Hier, à l’occasion de l’Université d’automne de l’UPR à Vallères, Aurélien Enthoven, 17 ans, a joué les modérateurs entre le politique François Asselineau et le démographe Emmanuel Todd.
Aurélien : trois consonnes et cinq voyelles… Si cela rime moins bien que dans la chanson de Carla (Bruni, sa mère) à Raphaël (Enthoven, son père), ce prénom-là pourrait bien être de ceux qui comptent demain en politique, si le mouvement auquel le jeune Aurélien Enthoven croit prend de l’essor.
Youtubeur aux 46.000 abonnés (*), adhérent et militant à l’Union populaire républicaine (UPR) depuis ses 16 ans (… et deux jours, avec l’aval de maman), le jeune homme a pour ainsi dire fait ses premiers pas en politique, hier, en Indre-et-Loire, à l’occasion du débat d’ouverture de l’Université d’automne de « l’union du peuple pour rétablir la démocratie ». Animateur et modérateur autour de la question « La France va-t-elle disparaître ? », il s’est fait arbitre conciliant entre les deux débatteurs, dont le plus historien des deux n’est pas forcément celui que l’on pourrait croire.
Exception faite de la question de l’Otan – « On aura besoin d’un point d’appui extérieur », insiste Emmanuel Todd en lorgnant du côté des Américains – ces trois-là sont finalement d’accord sur l’essentiel, exprimé ainsi par M. Asselineau : « Le Brexit et l’élection de Donald Trump constituent le début de la fin de la mondialisation. »
A grand renfort de références d’une précision chirurgicale pour le fondateur de l’UPR (il y a onze ans déjà) et d’anecdotes plus ou moins personnelles pour l’auteur de « La Chute finale » (premier essai de l’auteur, en 1976) – « Je ne peux pas être anti-Américain pour des raisons familiales » –, les duettistes ont emporté l’adhésion des quelque 1.000 adhérents et sympathisants constituant l’auditoire ce samedi matin.
« Sur la rationalité du mouvement, j’étais sceptique, mais François Asselineau m’a convaincu […] J’ai affiné mon militantisme », explique en aparté Aurélien Enthoven qui pourrait, une fois sa majorité atteinte, jouer un rôle de premier plan à l’UPR.
Le juif Todd est un grand prêtre de la guerre à la race blanche et considère que la France, de par l’enracinement du syndrome marxiste qui s’y manifeste, est le bastion naturel du bolchevisme racial contre l’Europe, Allemagne en tête.
Son obsession antigermanique – antiblanche – et sa très grande bienveillance à l’égard de la finance judéo-américaine ne se sont jamais démenties.
C’est ce qui explique la très grande bienveillance à l’égard de l’Otan de la part de Todd tandis que le gros cul Asselineau assure ne pas être « anti-américain », faisant plus sûrement référence aux patriotes de la finance juive new-yorkaise qu’aux Blancs de la droite nationaliste.
Le petit hébreu Enthoven quant à lui est simplement un énième histrion communautaire qui sera bientôt courtisé par le gras du cul Asselineau qui partage l’obsession négrophile de Todd.
A ce détail près que Todd agit par cynisme là où ce porc agit au nom d’un chauvinisme maladif habilement manipulé par la juiverie.
Le point de toute cette juiverie est de toujours prospecter en cas de retournement de tendance du marché.
Mais la haine raciale sourde envers la race blanche reste la même, intacte, brûlante.