Sigmar Polaris
Démocratie Participative
15 mai 2024
Le Pérou est officiellement un pays d’ubermensch.
Le gouvernement péruvien a officiellement classé les personnes transgenres et intersexuées dans la catégorie des « malades mentaux ».
Le ministère de la santé a déclaré que ce décret était le seul moyen pour les services de santé publique péruviens de « garantir une couverture complète des soins médicaux en matière de santé mentale« .
Cette mesure a suscité de vives réactions dans une société où les droits des femmes et des LGBT ont fait l’objet d’attaques soutenues ces dernières années et où les violences homophobes, transphobes et sexistes sont très répandues.
Peru, make human sacrifices great again !
Récemment, les législateurs ont interdit toute référence à l’égalité des sexes dans les manuels scolaires. Cette mesure a eu un effet dévastateur sur les cours destinés à prévenir les agressions domestiques et les féminicides.
César Vásquez, le ministre de la santé, n’a pas commenté cette affaire. Il a préféré défendre la présidente Dina Boluarte, qui fait l’objet d’une enquête pour l’acquisition inexpliquée de bijoux coûteux, dont un bracelet Cartier incrusté de diamants d’une valeur de 40 000 livres sterling.
Ces phénomènes sont depuis toujours considérés comme des maladies mentales.
Ce n’est que depuis que les malades mentaux sont acceptés dans les gouvernements que les lois changent en faveur de ces gens désaxés.
Le Pérou démontre que l’homo-pédophilie n’est pas inéluctable à l’école et que le féminisme peut être combattu.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.