Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Juillet 2020
Si jamais je devais mourir broyé par une voiture conduite par un multirécidiviste maghrébin, la première chose que j’aimerais que mes parents fassent soit de longuement s’apitoyer sur le sort de mon meurtrier avant de rappeler que ce qui prime, c’est le droit des pouilleux de musulmanie de venir semer la mort en France sans craindre de réaction hostile de la part des autochtones.
Et c’est exactement ce qu’a fait le père de Mélanie Lemée qui sait qu’il y a plus important que la vie de sa fille : l’avenir des gens marron qui se donnent tant de mal pour nous envahir au quotidien.
Europe 1 :
À la veille des obsèques de Mélanie Lemée, cette gendarme de 25 ans tuée dans le Lot-et-Garonne le 4 juillet dernier, ses parents témoignent au micro d’Europe 1.
Malheureux, en colère, mais pas dans un esprit de vengeance. Au lendemain d’une marche blanche et à la veille des obsèques de Mélanie Lemée, cette gendarme de 25 ans tuée le 4 juillet dernier, ses parents se sont confiés au micro d’Europe 1.
« Je suis en colère bien-sûr, je viens de perdre ma fille âgée de 25 ans », témoigne le père de la gendarme sur notre antenne. « Ceci étant, la colère ne signifie pas pour nous la vengeance. » « Ce gars-là, je n’ai pas de jugement à porter sur lui, tout du moins pas dans l’immédiat », ajoute la mère de Mélanie Lemée. « Je ne connais pas le passé qu’il a eu pour en arriver là, mais ce qui est sûr c’est que sa vie est complètement fichue. »
Il manque quand même les excuses du paternel auprès de ce pauvre Yassine. Mais tout ça est encore très frais, il faut attendre un peu. Ne précipitons pas les choses.
Je crois d’ailleurs que la meilleure façon d’en sortir par le haut est de créer une marque de paillassons, les paillassons « Lemée ». Ils seraient distribués gratuitement dans toutes les cités HLM de France pour que nos bienfaiteurs algériens puissent s’essuyer les pompes dessus en hommage à Yassine le racisé incompris.
« Nous portons des valeurs du vivre ensemble et la haine ou les messages de haine n’ont pas de place dans le vivre ensemble« , renchérit le père de la gendarme, qui a reçu la Légion d’honneur à titre posthume. « Et ceux ou celles qui la profèrent, que ce soit sur les réseaux sociaux ou ailleurs, se trompent. Avec la haine, on n’avance pas. Elle ne permet pas aux individus de s’épanouir. Et en faisant ce métier, notre fille n’était pas porteuse de haine », insiste-t-il.
« Justement, elle mettait toutes ses forces, toute sa conviction, à pouvoir apporter son aide dans ses fonctions de gendarme. » Pour les parents de Mélanie Lemée, ne pas vouloir se venger est le meilleur moyen de rester fidèles aux valeurs et aux engagements que leur fille « avait pris en rentrant en gendarmerie ».
Ce pauvre type a le cerveau totalement lavé, comme des millions d’autres Blancs apathiques auquel le régime a coupé les couilles afin d’empêcher une violente réaction populaire face au programme juif de remplacement de population. Cet homme n’est plus qu’une larve prostrée acceptant l’idée que sa fille ne soit qu’une variable d’ajustement de cet enfer multiracial.
Les médias cosmopolites présentent cyniquement la repoussante faiblesse de ce type rééduqué comme une vertu morale afin de faire accepter aux Blancs encore rétifs leur réduction en esclavage.
Si votre enfant est tué par un envahisseur, votre devoir de père est de le venger. Pas de tendre l’autre joue comme un sous-homme. Le reste de votre vie n’a plus qu’une seule fonction : détruire celui qui a détruit le sang de votre sang. Faute de quoi, vous co signez le crime au même titre que l’assassin.
En ce monde, ce n’est pas en vivant comme un mouton qu’on apaise les loups. C’est en étant un loup soi-même qu’on repousse les autres loups.
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