Le père de Matisse persiste et signe : « Je ne veux pas qu’on monte au créneau parce que l’agresseur était Afghan »

La rédaction
Démocratie Participative
02 mai 2024

 

Le degré de soumission est abyssal.

Le bien-être de la pouillerie afghane reste bien plus important pour cet épicier qui recrute de l’africain que la sécurité des gosses blancs.

CNews :

Un jugement sévère, mais sans récupération politique. Telle est la volonté du père de Matisse, 15 ans, tué à l’arme blanche à Chateauroux (Indre) par un adolescent afghan du même âge le 27 avril dernier.

«Je veux que justice soit faite, mais je ne veux pas qu’on monte au créneau parce que l’agresseur était Afghan», a insisté Christophe Marchais face à CNEWS. «C’est surtout le meurtrier de mon fils», a-t-il ajouté, indiquant qu’il souhaitait également que la mère du suspect, également mise en cause, réponde de ses actes devant la justice.

Difficile pour le père de famille de dissimuler sa peine et de ne pas évoquer le souvenir de son fils brutalement décédé : «Matisse était un gamin heureux, joyeux, qui aimait tout le monde», s’est-il souvenu.

Ce couillon n’a pas encore compris qu’à 15 ans, on ne subit aucune « sanction ».

Ce n’est pas de la dignité, c’est un immonde forme de lâcheté, mêlée de conformisme, d’avilissement et de cynisme.

Ce type est une bête malade qui met en danger le groupe en appelant à ne pas identifier la menace allogène. Comme toutes les bêtes malades, elle doit être impitoyablement chassée du groupe.

Pas d’empathie avec les faibles, uniquement l’opprobre et la honte.

Le mot de la fin à Jérémy Daflon qui, ô surprise, est un sale prof dépourvu de testostérone suivi par Michel Goy.

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