Captain Harlock
Démocratie Participative
18 janvier 2022
Le mythe d’Anne Frank vient de prendre (encore) un sérieux coup dans l’aile.
En fait, il n’en reste plus rien.
Une enquête internationale lève le voile sur un pan de l’Histoire. Le nom de celui qui aurait trahi la famille d’Anne Frank en 1944 et transmis l’adresse de la cachette aux nazis, a été révélé ce lundi 17 janvier 2022.
Le notaire juif Arnold Van den Bergh pourrait avoir révélé où se cachait la famille Frank à Amsterdam afin de sauver sa propre famille, selon une enquête sur cette affaire judiciaire non élucidée qui a duré plus de six ans, et dont les résultats ont été détaillés dans le livre La trahison d’Anne Frank par l’auteure canadienne Rosemary Sullivan, rapporte le journal belge Le Soir .
Dans un entretien au quotidien néerlandais de Volkskrant , l’ancien agent américain du FBI Vince Pankoke qui a dirigé l’enquête, explique avoir utilisé les techniques de recherche les plus pointues, examiné des centaines de milliers de documents dans huit pays et interrogé 70 personnes, avant d’arriver à leur conclusion : l’adresse de l’annexe secrète où s’était réfugiée Anne Frank avait été révélée par le notaire Arnold van den Bergh, membre du Conseil juif d’Amsterdam.
Selon l’enquête, l’homme aurait transmis une liste d’adresses de cachettes au service de renseignement de maintien de l’ordre de la SS en échange de la protection de sa famille.
Selon l’enquête internationale, une note envoyée après la Deuxième Guerre mondiale au père d’Anne Frank, Otto Frank, seul survivant de l’Annexe, viendrait corroborer cette hypothèse. « Votre cachette à Amsterdam a été signalée à l’époque à Jüdische Auswanderung d’Amsterdam (agence qui a organisé la déportation des juifs, N.D.L.R.), Euterpestraat, par A. van den Bergh, qui habitait à l’époque près du Vondelpark, O. Nassaulaan. Le J.A. avait toute une liste d’adresses qu’il donnait », cite Le Soir.
Bien que la note originale n’ait jamais été retrouvée, les enquêteurs ont récupéré en 2019 une copie de cette note réalisée par Otto Frank lui-même, dans un ancien dossier de police. Les enquêteurs pensent que le père d’Anne Frank aurait caché la complicité du notaire, pour ne pas accabler sa famille et ne pas insuffler de haine antisémite.
Du coup, si c’est pour lutter contre l’antisémitisme, quand on est juif, on peut mentir.
En fait, quand on est juif, on peut mentir, peu importe le motif.
L’enquêteur Vince Pankoke souligne d’ailleurs pour conclure que « ce sont que les nazis qui sont responsables de la mort des clandestins, pas le notaire qui a transmis leur adresse ».
Pourquoi Vince Pankoke ressent-il le besoin de dire que les balances sont innocentes, seulement si elles sont juives ?
Aurait-il peur de quelque chose, ou de quelqu’un ?
Mais de QUI ?
Quoi qu’il en soit, le père d’Anne Frank a menti pour des raisons politiques. En l’occurrence, pour protéger sa tribu d’une bien vilaine polémique alors que la mythologie juive est devenue aussi écrasante qu’univoque en Occident. S’il avait été pris sur le fait de son vivant, c’est toute son entreprise mythologique qui se serait effondrée sur lui.
Si ce juif a menti sur ce point, il a pu mentir sur d’autres points. Or, nous savons justement et dans le détail qu’il a trafiqué le journal présenté aux foules après la guerre pour les besoins de son hagiographie.
D’ailleurs, Anne Frank n’a jamais été assassinée par les Nationaux-Socialistes allemands. Elle se trouvait dans un centre d’internement à la fin de la guerre où, faute de ravitaillement dans une Allemagne complètement détruite par les bombes, elle a succombé de maladie.
Remettons un peu de perspective historique dans tout cela.
Ce sont près de 75,000 Français qui ont été pulvérisés par les bombes démocratiques, vieillards, femmes et enfants mêlés.
Aucune bibliothèque de France n’a de récit mythologique sur le sujet.
En revanche, elles ont toutes un exemplaire de cette escroquerie trafiquée par le menteur Frank.
Je n’ai jamais compris ces débats sur le racisme. Nous vivons dans une société hiérarchisée racialement et nous sommes tous les jours priés de bien vouloir le célébrer. Au sommet de cette société raciste se trouve le peuple élu, lumière des nations démocratiques.
Il y a les bons et les mauvais morts et ils sont strictement déterminés par leur appartenance, ou non, à la race juive.
Pas d’exposition sur le phosphore blanc hyper raciste de l’armée israélienne.
C’est la laïcité bien comprise.