Captain Harlock
Démocratie Participative
04 Juin 2020
Ce que je disais hier à propos des soldats américains filmés en train de mettre crosse en l’air sur ordre d’émeutiers noirs et communistes s’est concrétisé au plus haut niveau.
Hollywood
Członkowie Gwardii Narodowej solidaryzują się… na kolanach z protestującymi. ? pic.twitter.com/qtdQJZdoKU— Piotr (@piotr_texel) June 3, 2020
L’état-major américain a publié plusieurs communiqués déclarant en substance qu’il adhérait aux principes de l’insurrection antiblanche en cours aux USA et a fait comprendre à demi-mots que l’armée n’obéirait pas au commandant chef, c’est à dire à Donald Trump, s’il leur ordonne de mettre un terme aux émeutes.
Mieux encore, ils ont appelé à renforcer l’évincement de la population blanche aux USA, à tous les niveaux.
Si vous comprenez l’anglais, vous pouvez parcourir ces lettres.
We must do better. pic.twitter.com/AOL2sfKwfP
— General Joseph Lengyel (@ChiefNGB) June 4, 2020
Of the three letters making news tonight, this one is the big deal. It is a big deal that he felt the need to issue it. It is a big deal that he issued it. pic.twitter.com/ONHniXXLst
— Walter Shaub (@waltshaub) June 4, 2020
Or this pic.twitter.com/bn6sVNyE9J
— willbe2020 (@Becks_1967) June 4, 2020
On parle de l’état-major, du ministère de la Défense, de la flotte, etc.. qui proclament leur allégeance au coup d’état négro-marxiste actuel soutenu par les médias juifs et les oligarques du Parti Démocrate.
Ce truc est savamment planifié. L’ancien secrétaire de la Défense, le Général Mattis que Trump a viré parce qu’il voulait une escalade en Syrie contre la Russie, est sorti du bois pour déclarer que le président américain était le problème dans cette insurrection.
« L’ancien ministre de la défense Jim Mattis a dénoncé dans une déclaration cinglante la réaction de Trump face aux protestations nationales en faveur de George Floyd. « Donald Trump est le premier président de mon vivant qui n’essaie pas d’unir le peuple américain – il ne fait même pas semblant d’essayer ». »
Former Defense Secretary Jim Mattis denounced Trump’s reaction to nationwide protests for George Floyd in a scathing statement.
« Donald Trump is the first president in my lifetime who does not try to unite the American people—does not even pretend to try. » https://t.co/CJoFnhs8H4— NPR (@NPR) June 4, 2020
Ce général quatre étoiles parle bien de la mort par overdose d’amphétamines d’un acteur porno noir positif au Covid19 dont le casier judiciaire comporte une agression par arme à feu contre une femme enceinte.
C’est apparemment ces gens-là qu’il faudrait « unir ».
C’est d’autant plus délirant que Trump n’a rien fait de particulier.
Trump est rester passif face à des révolutionnaires anarcho-communistes et des émeutiers noirs qui pillent depuis une semaine les grandes villes américaines. Il se répand en tweets dans lesquels il explique à quel point il a arrosé les noirs d’argent et à quel point il souffre depuis la mort de l’acteur porno George Floyd.
Bref, Trump n’a rien fait, ni de près ni de loin, qui puisse passer pour extravagant ou radical.
Rien.
La seule chose que Trump a déclaré de notable, c’est que si les gouverneurs démocrates refusaient cyniquement de faire intervenir la police et la garde nationale pour faire cesser les pillages, les meurtres et les destructions, il devrait engager l’armée pour restaurer l’ordre. Ce qui a déjà eu lieu par le passé quand il s’agissait de forcer les Blancs à aimer les nègres, comme lorsque Eisenhower a expédié la 101ème division aéroportée pour imposer la diversité dans des bleds de la campagne américaine.
Tous ces généraux s’opposent à Trump parce qu’ils ne veulent pas stopper la révolution négro-marxiste actuelle qui est à l’évidence organisée par l’état profond, le Parti Démocrate et les médias juifs.
Ce que l’on appelle « la diversité », « les droits de l’homme » et allez savoir quoi d’autre.
Looting Vons in Santa Monica in memory of whatever his name was. pic.twitter.com/IM2hjGiVj5
— Mark Dice (@MarkDice) June 4, 2020
J’en déduis que l’armée US ne peut être déployée aux USA que pour appliquer le programme révolutionnaire juif qui consiste à mettre les Blancs en minorité. Sinon, l’armée américaine ne sert qu’à assurer la domination de l’état ségrégationniste israélien au Moyen-Orient.
C’est sa seule fonction et c’est désormais officiel.
Du coup, Trump ne commande plus que théoriquement une armée qui veut manifestement le renverser.
C’est un Maïdan géant
Il s’agit d’une révolution de couleur appliquée aux Etats-Unis après avoir été appliquée par la CIA un peu partout à travers la planète, de la Syrie à l’Ukraine en passant par la Libye.
Il ne s’agit pas seulement de dégager Trump mais d’écraser le bloc démographique blanc pour qu’il ne puisse plus jamais interférer dans la conduite des affaires de l’Etat Américain au détriment de la finance juive.
C’est pour cette raison que toutes ces grandes multinationales affirment explicitement la dimension raciale de la guerre actuelle faite aux Blancs de la classe moyenne. Jusqu’aux marques de crème glacée.
The murder of George Floyd was the result of inhumane police brutality that is perpetuated by a culture of white supremacy. https://t.co/YppGJKHkyN pic.twitter.com/YABzgQMf69
— Ben & Jerry’s (@benandjerrys) June 2, 2020
Il va sans dire que si cette révolution de couleur réussit, elle sera immédiatement exportée en Europe.
D’ailleurs, il y a eu cette histoire de faux policiers surpris en plein Paris en train de monter une « bavure raciste » de toutes pièces et qui devait ensuite être diffusée sur les réseaux sociaux. C’est typiquement le genre de trucs que fait la CIA pour générer des émeutes.
Pour en revenir à l’armée américaine, la prochaine phase est l’organisation de soviets de soldats dans toutes les unités. Typiquement, les soldats sont encouragés à cesser de remplir leur mission pour assister à des cours d’endoctrinement idéologique, généralement assurés par des soldats déjà acquis à la subversion. Comme à Munich en 1918 lorsqu’Adolf Hitler s’y trouvait en poste et que sa propre unité avait rejoint les révolutionnaires communistes juifs. Ici, ce phénomène sera considérablement aggravé par le caractère multiracial de nombreuses unités, notamment logistiques. C’est la phase préparatoire au retournement du potentiel militaire de ces unités contre la direction politique de l’état, si besoin.
Mais généralement, l’armée n’a pas besoin d’être engagée. Il suffit aux conspirateurs d’être sûrs qu’elle ne bouge pas. Il est évident à ce stade qu’une majorité des unités ne bougeront pas si Trump leur en donne l’ordre. La démoralisation marxiste a été tolérée depuis trop longtemps sous couvert de « lutte contre les discriminations » pour qu’aucune espèce de résistance morale et idéologique ne puisse se former et briser la subversion actuelle.
Les seules unités qui resteront fidèles au président en fonction sont les unités d’élite, par définition intégralement blanches, qui sont recrutées dans le Vieux Sud. Ces unités sont excellentes mais trop peu nombreuses pour faire la différence face à la mer de boue qui constitue le plus gros de la troupe.
Ayant longuement étudié la méthodologie révolutionnaire communiste à travers l’histoire, l’étape cruciale suivante consiste à s’emparer de tous les centres de commandement, civils et militaires, les moyens de communication (télés, radios, internet) ainsi que les axes routiers et les aéroports. Le but étant d’empêcher toute réaction de la direction politique en place. L’effort doit tout particulièrement viser la capitale de l’état ciblé.
Ensuite, des agents infiltrés tirent sur la foule assemblée tandis que la presse révolutionnaire accuse le président en place d’en avoir donné l’ordre.
Si les conspirateurs font ce qu’ils font habituellement, s’ils appliquent la méthodologie révolutionnaire, leurs idiots utiles investiront Washington dans la durée tandis que les agents de la CIA et de l’armée ayant rallié la conjuration saboteront ce qui doit y être saboté avant de renverser Trump. Mais renverser Trump n’est qu’un détail technique dans ce qui est manifestement une révolution judéo-communiste de grande ampleur.
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