Le pauvre réfugié afghan qu’il hébergeait passait ses journées à regarder des vidéos de Daech

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
07 avril 2017

Ce qui est surprenant avec les serpents, c’est que ce sont des serpents.

Tendance Ouest :

Behzad Habib, Afghan âgé de 19 ans, a été jugé en son absence par le tribunal de grande instance de Caen (Calvados), jeudi 30 mars 2017. Il lui est reproché outrages et rébellion envers plusieurs policiers et détérioration de leur véhicule, ceci le vendredi 6 janvier 2017.

Ne supportant plus le comportement de l’individu qu’il a accepté d’héberger, un homme somme cet Afghan de 19 ans de quitter son domicile le vendredi 6 janvier 2017. Mais la mise à la porte ne sera pas si facile. Au point que les forces de l’ordre devront s’en mêler et se confronter à quelqu’un de déchaîné. Celui-ci a été jugé pour outrages et rébellion envers des dépositaires de l’autorité publique et pour dégradation d’un bien d’utilité publique, jeudi 30 mars 2017 par le tribunal de grande instance de Caen (Calvados).

« France de merde ! »

À l’arrivée de la police ce jour-là, les agents sont accueillis par des doigts d’honneur, repoussés, menacés de coups de poing et insultés. Devant leur véhicule, l’individu donne des coups dans les vitres et les portières. Il finira par devoir être menotté au sol. Agité et très agressif durant tout le trajet il vocifère des injures ponctuées par « France de merde ! ».

Fasciné par Daesh

Entendu, l’homme qui l’hébergeait explique : « Il passait son temps à regarder des vidéos de Daech. Il semblait fasciné. Il a même reçu un colis de là-bas. Il ramenait des gens, même des enfants et il était violent envers moi. J’ai pris peur. » Sur la vidéo de la garde à vue, l’individu se lamente : « je vais mourir, j’ai mal au coeur, mal à la tête, je veux l’hôpital, je vais porter plainte, on m’a tapé dessus… »

Un sursis de 6 mois lui avait été accordé après avoir été jugé pour violence envers une personne chargée de service public. Ces 6 mois sont révoqués et s’y ajoutent 6 mois de plus. Behzad Habib écope donc de 12 mois de prison ferme.

Rassurez-vous, il sera libre dans neuf mois. Et bien mieux disposé à l’endroit des Français.