La Rédaction
Démocratie Participative
10 octobre 2024
Macron et son armée d’armistice tentent désespérément d’exister sur la scène mondiale en dépit des éclats de rire qu’ils suscitent partout.
Le dernier bidule médiatique que ces gens ont trouvé est particulièrement cringe : la « brigade Jeanne de Kyviviyv ».
J’en avais pris l’engagement : nos militaires forment actuellement 2 300 soldats ukrainiens dans le Grand Est, avec des équipements qu’ils utiliseront en mission.
La brigade Anne de Kyiv sera formée et équipée grâce à la solidarité de la France. pic.twitter.com/LFwv06LW6b
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) October 9, 2024
Même si en France plus personne ne sait écrire français, Kiev s’écrit Kiev.
Et c’est russe.
Ces autistes ukrainiens, qui sont des Russes dans le déni, pensent qu’ils seront moins russes s’ils font n’importe quoi avec l’orthographe russe. Et Macron, tout comme ses galonnés, se croit extrêmement malin en prenant très au sérieux l’autisme de ces gens.
Cette demi-brigade se fera vaporiser en quelques semaines par l’armée russe qui dispose de ressources illimitées en tout.
Avec la défaite qui se rapproche, Zelensky est partout pour mendier des armes destinées à son formidable plan de terrorisme à grande échelle.
BFMTV :
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky entame ce jeudi 10 octobre une tournée européenne express chez ses principaux alliés, en commençant par le Royaume-Uni, la France et l’Italie, en quête de marques de soutien, alors qu’une importante réunion des partenaires militaires de Kiev prévue samedi en Allemagne a été reportée.
Ces brefs déplacements consécutifs interviennent au moment où l’armée russe poursuit sa progression dans l’est de l’Ukraine et à moins d’un mois de la présidentielle aux États-Unis, dont l’issue incertaine fait craindre, à Kiev, pour la pérennité du soutien américain vital.
« Je rencontrerai séparément dans chaque pays les dirigeants du Royaume-Uni, de la France, de l’Italie et de l’Allemagne », a annoncé mercredi soir Volodymyr Zelensky lors d’une conférence de presse à Dubrovnik en Croatie, à l’issue d’un sommet avec des représentants des pays des Balkans.
Dans le détail, Volodymyr Zelensky est attendu jeudi à Londres pour échanger avec le Premier ministre britannique Keir Starmer, selon Downing Street, et à Paris pour s’entretenir dans l’après-midi avec le chef de l’Etat français Emmanuel Macron, d’après l’Elysée.
« Cet entretien sera l’occasion pour le Président de la République de réaffirmer la détermination de la France à continuer d’apporter, dans la durée et avec l’ensemble de ses partenaires, un soutien sans faille à l’Ukraine et au peuple ukrainien », a précisé le Palais.
C’est une très mauvaise nouvelle pour Zelensky.
Quand Macron prétend faire partie d’une solution « durable », le désastre suit inévitablement.
Le président ukrainien devrait également profiter de cette tournée européenne, selon un porte-parole du gouvernement britannique, pour rencontrer à Londres Mark Rutte, le nouveau chef de l’Otan.
Volodymyr Zelensky ira ensuite à Rome pour échanger dans la soirée avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni, puis vendredi matin avec le pape François au Vatican.
Il est enfin attendu le même jour en Allemagne, où il aurait dû participer samedi à une réunion sur la défense de l’Ukraine finalement reportée après que le président américain Joe Biden eut annulé son déplacement en raison de l’ouragan Milton qui menace la Floride.
Volodymyr Zelensky sera reçu à Berlin par le chancelier Olaf Scholz, dont le gouvernement a prévu de réduire de moitié en 2025 la somme allouée aux aides militaires bilatérales destinées à l’Ukraine, au grand dam de Kiev.
La fin du show approche.
Les Allemands temporisent.
Volodymyr Zelensky devrait profiter de sa tournée européenne pour marteler ses demandes en termes d’équipements militaires.
Le dirigeant, qui arpente les chancelleries occidentales depuis plus de deux ans et demi, a déploré ces dernières semaines la lenteur des prises de décision de ses alliés, toujours réticents à livrer des missiles à plus longue portée pour l’armée ukrainienne, qui se trouve limitée pour frapper en profondeur des cibles militaires sur le territoire russe.
En attendant, les forces russes avancent petit à petit dans la région de Donetsk vers Pokrovsk, noeud logistique pour les troupes ukrainiennes.
Le chef de l’État ukrainien pourrait par ailleurs évoquer auprès des dirigeants britannique, français, italien et allemand son fameux « plan de victoire », destiné, selon lui, à créer les conditions d’une « fin juste à la guerre ».
Le visage de la lose
Ce plan, qui reste à ce stade assez flou, doit être dévoilé lors d’un second sommet pour la paix, attendu en novembre, mais ses dates n’ont toujours pas été confirmées par Kiev, faisant planer le doute sur son organisation à ce moment-là.
Volodymyr Zelensky, qui a répété ces derniers jours vouloir « contraindre » Moscou à s’asseoir à la table des négociations et accepter les conditions de Kiev, a affirmé mercredi que son plan « peut combler le fossé entre la situation actuelle et un sommet de paix réussi ».
« Pour nous, c’est un plan de victoire (…) et lorsqu’il sera pleinement mis en oeuvre, la Russie perdra sa capacité à nous menacer, à menacer l’Europe », a-t-il lancé.
Pour autant, les enjeux d’ici-là semblent multiples pour Kiev et son président, en premier lieu l’élection présidentielle américaine le 5 novembre.
L’hypothèse d’une victoire de l’ancien président Donald Trump, désormais candidat républicain, fait peser de grandes incertitudes sur la pérennité du soutien américain vital à l’Ukraine. Celui-ci dénonce en effet régulièrement les montants débloqués par Washington pour Kiev depuis février 2022.
Autre défi de taille, dont Volodymyr Zelensky reconnaît être conscient: il aura besoin d’un plus grand soutien des pays du « Sud global », dont la Chine – alliée de Moscou et qui n’a jamais dénoncé publiquement l’invasion russe -, pour mettre fin à un conflit armé qui a fait des centaines de milliers de morts civils et militaires.
Les états occidentaux, quoique férocement alignés sur les buts de guerre des juifs, savent que Moscou répliquera en tirant des missiles sur les capitales européennes.
Si les juifs veulent précipiter une guerre générale, ils devront utiliser des méthodes non-orthodoxes pour contourner les gouvernements européens peu enclin à se faire bombarder.
Zelensky devrait se suicider après un quadruple rail de cocaïne.
Il n’a plus que ça à faire.
🚨ALERTE
Poutine prévient que l'OTAN entrera en guerre directe avec la Russie si l'Ukraine utilise des missiles occidentaux à longue portée pour frapper l'intérieur de la Russie..
Le déclenchement de la troisième guerre mondiale dépend donc des actions des Ukrainiens. pic.twitter.com/U6Arw0N8gq
— Tribune Populaire🌐 (@TribunePop23) September 12, 2024
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