Sigmar Polaris
Démocratie Participative
19 octobre 2021
Pas de vaccination par Pfizer, plus de passeport sanitaire.
C’est pour lutter contre le dangereux Covid19 qui tue des dizaines de milliers de gens tous les jours en France.
Les Français éligibles doivent davantage recourir au rappel vaccinal contre le COVID-19, d’autant plus que l’épidémie s’inscrit en légère progression depuis une semaine, a plaidé ce mardi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.
« Sur six millions de personnes éligibles aujourd’hui (à ce rappel vaccinal), deux millions de personnes ont eu recours au rappel, c’est beaucoup mais c’est trop peu », a souligné Gabriel Attal sur RTL.
6 MILLIONS DE GOYIM
C’est la SCIENCE
Si la France affiche un taux de couverture vaccinale élevé (avec 73,5% de la population totale disposant d’un schéma vaccinal complet, soit près de 50 millions de personnes, selon le dernier bilan diffusé lundi), « il faut que la protection conférée par le vaccin continue (…) c’est notamment l’enjeu du rappel », a insisté Gabriel Attal.
« Ce matin, oui, je lance un appel au rappel », afin que cette protection continue, d’autant plus que « l’épidémie recommence à gagner du terrain« depuis une semaine, même si « on est à un niveau très faible », a-t-il ajouté en appelant à la vigilance.
Pour tenter d’accélérer la participation à cette campagne de rappel vaccinal contre le COVID-19, le début de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière a été avancé au vendredi 22 octobre (alors qu’il était initialement prévu le mardi 26 octobre), afin que ces deux vaccinations puissent être réalisées conjointement.
Interrogé sur l’éventualité de recourir à l’avenir au pass sanitaire pour encourager le rappel vaccinal – en conditionnant sa validité à la réalisation du rappel pour les personnes concernées – Gabriel Attal a précisé que « rien n’est exclu » et que c’était « une possibilité », même s’ « il n’y a pas de décision qui a été prise en ce sens aujourd’hui.
De son côté Jean Castex a infiqué lundi réflechir à la possibilité de conditionner le pass sanitaire à l’injection d’une dose de rappel et donc, par extension, de suspendre le document des individus qui refuseraient la troisième dose. « Les conditions pour bénéficier du pass sont fixées par la HAS (Haute Autorité de Santé). A la HAS de nous dire si nous devons ou non étendre l’éligibilité du pass à la troisième dose? L’avis est sollicité », a précisé le Premier ministre.
Qu’en sera-t-il de la quatrième dose?
De la cinquième?
Pourra-t-on aller chez Flunch?