Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juillet 2021
Le tyran a fait voter l’assassinat des Français malades qui refusent la vaccination
Après un bel accord républicain entre l’Assemblée et le Sénat, le passeport intérieur est instauré en France.
Du moins sur le papier.
#Boycott, renvoi des abonnements, grèves, arrêts maladie : le peuple doit produire lui-même ses anticorps face à l’agression qu’il subit du corps institutionnel, gouvernement main dans la main avec l’Assemblée et le Sénat !
Été de résistance totale ! blocage général !— Florian Philippot (@f_philippot) July 25, 2021
La formule arrêtée est encore pire que le projet initial.
Un ultime vote après un sprint législatif. Le Parlement a adopté définitivement, dans la nuit de dimanche à lundi 26 juillet, le projet de loi qui prévoit l’obligation vaccinale pour les soignants et l’extension controversée du pass sanitaire. Après le rejet d’une dernière motion de La France insoumise, les députés ont voté par 156 voix pour, 60 contre et 14 abstentions ce texte qui traduit les annonces du 12 juillet d’Emmanuel Macron et avait fait l’objet d’un accord avec les sénateurs dans l’après-midi.
Extension du pass sanitaire, vaccination obligatoire des soignants et isolement des cas positifs au Covid-19 pendant dix jours : voici les principales mesures du projet de loi sanitaire. Pour rappel, le pass sanitaire est entré en vigueur dès cette semaine dans les « lieux de loisirs et de culture » rassemblant plus de 50 personnes. Sauf pour les 12-17 ans, exemptés de pass sanitaire jusqu’au 30 septembre selon l’accord trouvé entre députés et sénateurs.
En août, avec le projet de loi, ce pass doit être étendu aux cafés, restaurants, foires et salons professionnels, ainsi qu’aux avions, trains, cars longs trajets et aux établissements médicaux sauf urgence. Et aux centres commerciaux sur décision des préfets.
Macron a ordonné la mort des personnes en besoin de soins.
Les personnes devant suivre des traitements programmés seront interdites d’entrer les hôpitaux, même si leur vie en dépend. Il va sans dire que toute la pouillerie du tiers-monde continuera d’être royalement accueillie sans passeport sanitaire dans nos hôpitaux transformés en dispensaires de la néo-AOF qu’est la France républicaine.
Cela se passe sous nos yeux et les médias y accordent environ une ligne.
Ces plumitifs à la botte du régime qui ont passé plus d’un demi-siècle à cracher leurs grands principes antifascistes comme ultime horizon moral sont actuellement à la machine à café en train de rire de cette mise à mort.
Aucun parti ne réagit, les syndicats démocrates sont silencieux, pas une organisation religieuse ne trouve à redire, les habituelles associations droits-de-l’hommistes qui beuglent pour les migrants ont perdu leurs mégaphones : c’est le silence complet.
Vous avez compris que tous ces collaborateurs se tairont parce qu’ils ont toujours eu une place à la table des oligarques. J’irais même plus loin : faire mourir des prolétaires blancs assouvit la soif sadique qu’ils éprouvent à leur encontre depuis toujours.
Ils nous voulaient morts, leur rêve se réalise enfin.
Jamais le programme génocidaire juif n’a été si aligné avec les inclinations profondes de la bourgeoisie française.
Macron s’amuse énormément de sa politique de meurtre de masse des personnes malades.
🇫🇷 FLASH – « Je ne crois pas qu’il y ait grande efficacité à manifester contre le virus », affirme Emmanuel #Macron (prise de parole) #COVID19France
— Mediavenir (@Mediavenir) July 25, 2021
Qu’il en profite bien, car des millions de gens vont bientôt effacer le sourire de sa face de cocaïnomane avant de jeter ce criminel derrière les barreaux pour le restant de ses jours.
On ne décrète pas la mise à mort du peuple impunément.
Les salariés des secteurs concernés auront l’obligation de disposer d’un pass sanitaire à compter du 30 août. Un salarié sans justificatif sera suspendu, sans salaire. Si la situation perdure plus de trois jours, la personne sera convoquée pour un entretien afin d’examiner « les moyens de régulariser sa situation, notamment les possibilités d’affectation » sur un poste non soumis à l’obligation du pass.
Il n’y aura pas de reconversion : c’est l’exécution sociale pure et simple, en plus de l’exécution tout court pour les malades.
La seule option légale en l’état pour les non-vaccinés est l’abandon de poste, obligeant une procédure de licenciement avec les aides prévues dans le cadre de cette procédure.
Si on peut appeler ça une « option ».
Sont visés en premier lieu les personnels soignants. Vous savez ceux que le régime faisaient applaudir aux fenêtres il y a un an lors d’une sorte de cérémonie vaudoue.
Ils sont désormais désignés par le régime comme des suspects et seront sans revenus d’ici quelques semaines s’ils refusent de se faire injecter le vaccin expérimental de (((Pfizer))) qui a déjà tué des milliers de personnes et gravement affecté des centaines de milliers d’autres.
Je rappelle une nouvelle fois que tous ces laboratoires, moyennant d’énormes valises de billets, ont acheté leur impunité légale auprès des dirigeants français. Quoi qu’il arrive aux vaccinés en termes d’effets secondaires, ils seront laissés à l’agonie dans le caniveau par le régime macroniste.
Dans le pays de la grève où l’on prétend faire la révolution pour un demi point d’indice, je ne vois aucun syndicat appeler à investir les rues. Quelques rares communiqués de pure forme, pour donner le change. Les personnels des hôpitaux vont constater à quel point leurs syndicats sont vendus à l’oligarchie et au projet de Davos.
D’autres dispositions sont ajoutées.
Il devient possible de laver le cerveau des adolescents pour les piquer sur ordre (((Pfizer))), peu importe ce qu’en pensent leurs parents.
L’internement à domicile est obligatoire si le gouvernement vous décrète « positif » au Cohen19. Les flics dispensés de vaccins veilleront à vous empêcher de sortir chez vous, y compris par la force.
L’utilisation d’un pass frauduleux sera sanctionné par une amende de 135 euros. Les peines en cas de dégradation d’un centre de vaccination seront alourdies. Les salariés et agents publics bénéficient d’une autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre le Covid-19.
L’autorisation d’un seul parent est nécessaire pour la vaccination de son enfant. Les plus de 16 ans n’ont pas besoin de cette autorisation et peuvent en décider seuls. Le projet de loi rend obligatoire la vaccination des personnels des hôpitaux, cliniques, Ehpad et maisons de retraite, sapeurs pompiers, de certains militaires, ainsi que pour les professionnels et bénévoles auprès des personnes âgées, y compris à domicile.
Cette obligation de vaccination (ou de présentation d’une attestation de rétablissement après le Covid-19) prend son plein effet le 15 septembre. Les professionnels qui refusent la vaccination seront interdits d’exercer, avec suspension du salaire. Les personnes dépistées positives au Covid-19 devront se placer à l’isolement pour une durée non renouvelable de dix jours dans le lieu d’hébergement qu’elles déterminent.L’isolement pourra s’achever plus tôt en cas de test négatif. Un recours sera possible devant le juge des libertés et de la détention.
Ce projet de loi repose sur la prorogation jusqu’au 15 novembre du régime transitoire de sortie progressive de l’état d’urgence, et non jusqu’au 31 décembre comme le souhaitait initialement l’exécutif.
Cela fait 18 mois que nous sommes temporairement en état d’urgence, sans cesse renouvelé.
Si nous ne renversons par le gouvernement bioterroriste, ces dispositions seront plus tard pleinement intégrées dans le droit commun et ce contrôle deviendra permanent avec de nouveaux paramètres sans cesse ajoutés.
Bref, l’esclavage sera pleinement légal.
La seule option est la résistance totale
Nous sommes à un moment crucial.
Encore une fois : manifester ne suffira pas.
Nous ne parlons pas d’une réforme des retraites ou d’une taxe. Nous parlons d’un ordre social totalement nouveau qui permet de détruire physiquement ceux qui refusent de devenir les esclaves consentants des globalistes.
Nous sommes dans une situation où seule une révolution peut stopper la clique au pouvoir – et rien d’autre.
Les cortèges dansants sont certainement très pittoresques, mais le système veut nous tuer. On ne stoppe pas un régime génocidaire en dansant. Faire du djembé en dénonçant le nazisme le samedi ne sera pas de nature à mettre un terme à quoi que ce soit.
Ce folklore là appartient au siècle passé.
Les collaborateurs doivent sentir le coût de leur soutien à cette politique criminelle.
Comment ? En organisant des groupes de personnes qui forcent le passage dans tous les lieux qui imposent le passeport sanitaire aux gens : que ce soit des hôpitaux, des cinémas, des restaurants.
Cela doit devenir un véritable harcèlement quotidien.
Des groupes doivent se former partout. Il suffit ainsi à des groupes de dix ou quinze personnes de pénétrer de force dans les cinémas ou les établissements qui imposent la ségrégation bioterroriste à la population pour rendre impossible l’application de cette atrocité globaliste.
Montez des groupes avec tous les gens que vous pouvez, organisez la résistance immédiate à toutes les mesures bioterroristes du gouvernement d’occupation. C’est une question de vie ou de mort. Mort physique, pour les personnes en besoin de soins, mort sociale pour les travailleurs menacés de suspension de salaires.
La juive Borne ne l’emportera pas aussi facilement qu’elle le croit.
Jamais les flics du régime ne pourront se rendre dans tous les endroits où de telles actions auront lieu.
Macron doit être jugé
Quant à Macron, il doit finir derrière les barreaux avec toute sa clique. Une « alternance » est hors de saison.
Un dirigeant qui planifie la mise à mort des gens qui refusent de se prosterner aux pieds d’intérêts étrangers ne peut finir ailleurs que dans une prison.
Le but est le renversement de cette république corrompue et l’épuration à grande échelle de toutes les institutions et administrations qui ont permis à ce que nous vivons actuellement d’advenir.
Ce que l’on appelle une révolution en bon français.
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