La Rédaction
Démocratie Participative
21 septembre 2024
Les élections européennes ont démontré leur pertinence.
Qu’est-ce qu’on ferait sans ce troupeau de parlementaires ?
La Libre :
Dans ce texte approuvé par 425 voix pour, 131 contre et 63 abstentions, le Parlement invite les Etats membres de l’UE à autoriser l’Ukraine à utiliser les armes qu’ils lui livrent contre « des cibles militaires légitimes » sur le sol russe. « Sans lever les restrictions actuelles, l’Ukraine ne peut pas exercer pleinement son droit de légitime défense et reste exposée à des attaques contre sa population et ses infrastructures », estime l’assemblée.
Jusqu’à présent, les Etats occidentaux tergiversent sur cette question et sont réticents à lever cette restriction. La pression russe est forte: Moscou a déjà averti qu’il considérerait un tel usage des armes occidentales comme une confrontation directe entre l’OTAN et la Russie. Le sujet a encore été abordé la semaine passée entre le président américain Joe Biden et le nouveau Premier ministre britannique, Keir Starmer, sans que l’entretien ne débouche sur une révision de la ligne de conduite actuelle.
La résolution « déplore »par ailleurs « la baisse du volume de l’aide militaire bilatérale apportée à l’Ukraine par les pays de l’Union ». Elle rappelle aussi les engagements déjà pris par les pays de l’UE en matière de livraison d’armes, de système de défense aérienne et de munitions, en ce compris les missiles allemands de longue portée Taurus que Berlin se refuse toujours à fournir aux forces ukrainiennes.
Le truc avec ces politiciens inutiles du parlement européen, c’est que l’UE n’est pas un état et que son parlement n’a aucun pouvoir.
Ils peuvent donc raconter n’importe quoi sans devoir faire quelque chose chose eux-mêmes.
C’est la prime pour tous ceux qui veulent faire du zèle médiatique.
Ce qui est sûr, c’est que si la Russie décide de riposter elle peut d’ores et déjà entrer les coordonnées du parlement européen dans la liste de ses cibles.
Au Parlement européen, Xavier Bettel, Premier ministre du Luxembourg lance une charge contre les lois anti-LGBT+ en Hongrie : « On ne demande pas de pitié, pas de solidarité, ni de compassion. On demande juste du respect. » pic.twitter.com/t6Afg7ODGK
— Nicolas Scheffer (@scheffern) April 20, 2023
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