Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juillet 2021
Franchement, je pense qu’il bandait à ce moment-là
La Papauté homosexuelle n’affiche jamais autant d’entrain que lorsqu’il s’agit de traîner dans la boue les derniers Catholiques – qui ne sont franchement plus très nombreux, peut-être quelques centaines de milliers dans le monde.
Dans un Motu Proprio baptisé « Traditionis Custodes » sur l’usage de la liturgie romaine, le pape François a décidé de réformer le précédent motu proprio de Benoît XVI Summorum Pontificum sur la libéralisation de la messe selon la forme extraordinaire du rite romain, dite aussi messe tridentine. Le pape François affirme dans une lettre explicative prendre « la ferme décision d’abroger toutes les normes, instructions, concessions et coutumes antérieures à ce Motu Proprio, et de conserver les livres liturgiques promulgués par les Saints Pontifes Paul VI et Jean-Paul II, conformément aux décrets du Concile Vatican II, comme la seule expression de la lex orandi du rite romain », souhaitant ainsi « rétablir l’unité dans toute l’Église de rite romain ».
L’Eglise Catholique a virtuellement cessé d’exister. Ce qu’il en reste, c’est l’administration centrale et les évêques homosexuels qui l’administrent dont le chef est Jorge Bergoglio, une hyène perfide d’Argentine liée à tout ce que compte le monde occidental de financiers juifs, de rabbins, d’homosexuels, de maçons, de démocrates, de communistes patentés, d’invertis tonsurés et j’en passe.
Il ne subsiste qu’une toute petite frange de Catholiques qui survivent en marge de cette ONG gay située au Vatican et qui continue d’enseigner le catéchisme de ces deux derniers millénaires et de pratiquer les rites qui avaient cours dans les campagnes jusque dans les années 60.
La fameuse « messe en latin » dont la presse juive fait si grand cas, en raison de souvenirs médiévaux douloureux.
Bref, ce sont des gens qui ressemblent à Don Camillo.
Quoique soumis au globalisme, le Pape Benoît XVI, renversé par un coup d’état financier en 2013, avait permis à cette frange catholique traditionnaliste de fréquenter à nouveau les églises officielles en les rouvrant au Catholicisme. C’est-à-dire en autorisant la messe traditionnelle en latin.
Un peu comme lorsque la Wehrmacht est entrée en Russie en 1941 et qu’elle a immédiatement rouvert toutes les églises du pays qui avaient été fermées par les bolchéviques.
Le problème, c’est que la messe en latin renvoie à la religion catholique telle qu’elle était enseignée et comprise avant le coup d’état judéo-maçon de Vatican II, en 1962, avec tout ce que cela implique politiquement et idéologiquement.
Or, Bergoglio, n’a qu’un seul dieu : Yahvé et son peuple, qui n’aiment guère le Catholicisme d’avant 1962.
Tout ça pour dire aux gens que la langue latine n’est qu’une toute petite partie de l’équation, même si tout est résumé à ça dans les médias juifs.
En prononçant la fin de la tolérance des Catholiques au sein de l’Eglise Catholique, Bergoglio indique que dorénavant les nègres lui suffiront.
Le pape François estime que le Concile Vatican II et sa constitution Sacrosanctum Concilium ont réalisé la réforme liturgique nécessaire « qui a sa plus haute expression dans le Missel romain, publié par saint Paul VI et révisé par saint Jean-Paul II ». « Il faut donc supposer que le Rite romain, adapté plusieurs fois au cours des siècles aux besoins de l’époque, a non seulement été conservé, mais renouvelé « dans le fidèle respect de la Tradition ». Quiconque désire célébrer avec dévotion selon la forme liturgique antécédente n’aura aucune difficulté à trouver dans le Missel romain réformé selon l’esprit du Concile Vatican II tous les éléments du Rite romain, en particulier le canon romain, qui constitue l’un des les éléments les plus caractéristiques ».
Je traduis : « Si vous voulez faire autre chose que bouffer une ostie que vous donne dans la main une rombière à migrants pro-LGBT, tirez-vous. »
Le pape François aux parents d’enfants LGBT+ : « Aimez vos enfants comme ils sont car ils sont les enfants de Dieu. »https://t.co/f6Q2JrIHBj pic.twitter.com/NenfqrGvqo
— Le coin des LGBT+ (@lecoindeslgbt) September 18, 2020
Donc, soit c’est la messe gay, soit c’est la damnation éternelle, d’après Bergoglio.
La messe traditionnelle, même quand on ne croit pas en dieu ou que l’on est agnostique, recèle d’une forte puissance suggestive, comme tous les grands rituels.
De nos jours, seuls les rituels anaux ou maçonniques sont tolérés.
C’est donc très mal vu en démocratie.
La tolérance qu’avait organisé Benoît XVI avait généré une très violente réaction des juifs, des sidaïques et aussi de très nombreux évêques progressistes se faisant remplir le fondement de sperme négroïde.
Tout est donc rentré dans l’ordre : les derniers Catholiques sont exclus de l’Eglise Catholique et les juifs et leurs vaginettes sont plus que jamais au pouvoir au Vatican.
Si le pape François impose une seule forme au rite romain, il laisse encore la liberté aux groupes déjà constitués de célébrer la messe en latin selon le missel de 1962 mais avec un encadrement strict. Dans ce Motu proprio, le souverain pontife demande aux évêques « en tant que modérateur, promoteur et gardien de la vie liturgique dans l’Eglise », de « pourvoir au bien de ceux qui sont enracinés dans la forme de célébration précédente et ont besoin de temps pour revenir au Rite romain promulgué par les saints Paul VI et Jean-Paul II ». Les évêques ont donc la mission de « régler les célébrations liturgiques ». « Il vous appartient donc d’autoriser dans vos Eglises, en tant qu’Ordinaires locaux, l’usage du Missel Romain de 1962, en appliquant les normes de ce Motu proprio ».
Le pape pose plusieurs conditions aux évêques : veiller à ce que les groupes célébrant la messe selon le Missel avant la réforme de 1970 déjà existants « n’excluent pas la validité et la légitimité de la réforme liturgique, des préceptes du Concile Vatican II et du Magistère des Souverains Pontifes » ; de leur désigner les lieux et les jours où ils pourront célébrer la messe ; de leur administrer un unique prêtre référent. Les lectures seront en langue vernaculaire. Surtout, le pape François demande aux évêques de « veiller à ne pas autoriser la constitution de nouveaux groupes » et « d’interrompre l’érection de nouvelles paroisses personnelles, liées plus au désir et à la volonté des prêtres individuels qu’au besoin réel du « saint peuple fidèle de Dieu ». Ces permissions accordées par le pape François ont un objectif final : que les fidèles reviennent progressivement « au Rite romain promulgué par les saints Paul VI et Jean-Paul II ».
Les prêtres qui célèbrent déjà selon le missel romain de 1962 devront demander « à l’évêque diocésain l’autorisation de continuer à faire usage de la faculté » et les prêtres ordonnés après la publication de ce Motu proprio, qui ont l’intention de célébrer avec le missel de 1962, « devront en faire la demande formelle à l’Évêque diocésain qui consultera le Siège Apostolique avant d’accorder l’autorisation ». François demande par ailleurs aux évêques « de veiller à ce que chaque liturgie soit célébrée dans le décorum et la fidélité aux livres liturgiques promulgués après le Concile Vatican II, sans excentricités qui dégénèrent facilement en abus. A cette fidélité aux prescriptions du Missel et aux livres liturgiques, qui reflètent la réforme liturgique voulue par le Concile Vatican II, les séminaristes et les nouveaux prêtres seront soumis ».
L’histoire des « excentricités » des tradis est assez extraordinaire quand on sait ce que se permettent chaque dimanche les gouines et les pédés de cette église en perdition.
Sans parler du vaudou.
Bergoglio est une charogne infernale mais ça, tout le monde le sait depuis tout le temps.
Personnellement, je ne vois pas l’intérêt que mettent les traditionnalistes à rester là-dedans, peu importe les histoires de la Salette, de prophéties, d’infaillibilité.
C’est absurde et plus le temps passe, plus c’est absurde.
C’est de la schizophrénie.
Si on me crache à la gueule, je commence à distribuer des petits bonbons au cyanure dans les verres de mousseux. Tout spécialement avec les invertis à col romain.
Paradoxalement, l’ultra-papisme a tué la tradition catholique.
Le plus cocasse, c’est que s’ils devenaient tous orthodoxes, les tradis pourraient être aussi traditionnalistes qu’ils le voudraient sous le regard bienveillant des évêques catholiques : messe valide, enseignement ultra réactionnaire, les orthodoxes ont tout ce que les cathos tradis veulent avoir.
Que les tradis se rattachent à Moscou, c’est la seule option un tant soit peu réaliste. Ils auront au moins l’appui d’un état nucléaire pour soutenir la pratique de leur foi et des réserves énormes de pétrole, de gaz et de minerais.
Rome n’a plus que des nègres, il est vrai par milliards très bientôt.