Captain Harlock
Démocratie Participative
16 mars 2021
On dirait que tout se met en place pour un crash complet de la France. Du coup, la Papauté de l’homo-mondialisme commence à sonner l’alarme.
BFMTV :
Le pape François, qui recevait plusieurs associatifs français ce lundi, leur a fait part de son inquiétude face à la montée du parti de Marine Le Pen en vue de la présidentielle de 2022.
C’est un accrochage des plus inattendus. Marine Le Pen s’est agacée, ce lundi, d’une petite phrase prononcée par le souverain pontife à l’égard de son parti. Le pape François, qui recevait ce jour Cyril Dion et d’autres associatifs environnementaux français, s’est inquiété auprès d’eux de la situation politique en France et notamment de la montée de l’extrême droite dans le pays.
« Je ne veux pas être désagréable ou dire à votre pays ce qu’il doit faire. Mais c’est inquiétant. Je suis inquiet de la montée des populismes. Mais l’antidote, c’est un mouvement populaire. Et écouter ce mouvement. Il faut opposer au populisme le ‘popularisme’. Un bon gouvernement doit faire confiance aux citoyens, il doit les écouter », a déclaré le pape François au groupe de Français, selon nos informations, confirmant celles de L’Obs.
Selon nos informations, le souverain pontife faisait alors effectivement référence à la situation en France. Mais d’après nos confrères, ses propos faisaient directement allusion au risque de voir Marine Le Pen remporter la présidentielle.
Des propos rapportés qui n’ont pas plu à la dirigeante du parti d’extrême droite. « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu…. », a tweeté Marine Le Pen dans le courant de l’après-midi ce lundi, encourageant le pape à ne pas se mêler de politique.
« Je suis convaincue que de nombreux croyants seraient ravis que le pape s’occupe de ce qui se passe dans les églises plutôt que dans les urnes », a abondé la présidente du RN dans son message publié sur le réseau social. « Que chacun fasse ce pour quoi il est destiné ».
Marine Le Pen, candidate à la présidentielle de 2022, souhaite « rassurer » les Français sur sa capacité à exercer le pouvoir, en s’efforçant de normaliser toujours plus son discours, dont elle assume aussi les imprécisions. Lors de l’émission Face à BFM ce jeudi sur BFMTV, la présidente du RN a adopté un ton mesuré, loin des outrances de 2017, pour défendre un projet destiné à « rassurer » les Français qui ont « entendu beaucoup de (…) choses fausses » et « caricaturales » à son égard.
Je ne sais pas qui a suggéré à ce vieux pervers marxiste de sortir du bois mais la cible est bien évidemment l’électorat retraité vaguement catholique qui plébiscite Macron. L’idée étant de faire tous les fonds de tiroir dès à présent en semant la peur.
Que Marine Le Pen soit placée à 48% au second tour dans les derniers sondages me paraît très douteux mais admettons. Cette femme horrible serait à n’en pas douter très divertissante à l’Elysée, au milieu du chaos total qui se répandrait partout. Elle perdrait peut-être une nouvelle fois la vue, comme à la veille du débat du deuxième tour en 2017.
Il y aurait des chats ici et là dans le bureau présidentiel, ils mettraient des poils partout sur les uniformes des généraux et amiraux dont l’attitude vis-à-vis de ces greffiers serait méthodiquement analysée par Marine Le Pen en vue de leur avancement ou mise au placard.
Si Marine Le Pen est élue – si jamais il y a des élections – ce sera l’anarchie. Tout d’abord, les lignes de crédit qui permettent à la France de financer sa faillite, notamment les retraites et les salaires des fonctionnaires, se tariront sur ordre des Etats-Unis. Pour alors, la mulâtresse Kamala Harris sera la présidente réelle des USA. Pour elle comme pour la CIA négro-ashkénaze, Marine Le Pen ne serait rien d’autre qu’une sorte de Bachar al Assad du suprémacisme blanc.
L’embargo financier suffira à mettre la France économiquement à genoux. Sur ce, les syndicats marxistes seront mobilisés pour organiser des grèves permanentes et accélérer la décomposition de l’économie afin de pousser les masses à se soulever contre Marine Le Pen. Nous aurons tous les profs dans les rues, la SNCF et la RATP maghrébine à l’arrêt un jour sur deux. Les étudiants, dirigés par des agitateurs libano-antillais et des gouines, feront de chaque université un poste de commandement de cette Al Qaeda intersectionnelle.
Nous aurons aussi dans les rues des crasseux de gauche déguisés en Gilets Jaunes pour faire croire que l’électorat populaire pro-RN est anti-RN. Notamment cette barbe à poux de Rodriguez. Ce bâtard de rouge ibérique essayait encore récemment de faire le clown aux marges de la manifestation de Génération Identitaire.
Pour le coup, j’espère que les flics lui crèveraient le dernier œil.
Tous les médias, sans exception, seraient virulemment anti-MLP. Ce que je veux dire par là, c’est qu’ils appelleraient tous les jours à une révolution violente pour prendre l’Elysée. A la moindre tentative d’un gouvernement RN de juguler cette agitation médiatique, notamment en réduisant les subventions, les quelques 37,000 journalistes encartés de ce pays hurleraient au Nazisme et aux camps de la mort.
D’ailleurs, le CRIF et toutes ses tentacules satureraient les écrans et les ondes d’histoires de chambres à gaz. Ils diffuseraient sûrement des hologrammes de « survivants » au coin des rues pour appeler à renverser par la violence la sale goya Le Pen.
Continuons.
Que deviendrait la DILCRAH, cette branche de la LICRA maquillée en administration gouvernementale chargée de terroriser les populations blanches pour le compte de la juiverie afin de la forcer à consentir au Grand Remplacement ?
Et Pharos, son outil de dénonciation ?
Si Marine Le Pen les supprimaient, la juiverie mondiale redoublerait de colère, multipliant les menaces. Je ne crois pas que Marine Le Pen veuille s’aventurer sur ce chemin, ne serait-ce que parce que MLP adhère sincèrement à l’antiracisme juif. Elle se retrouverait donc avec un véritable commissariat politique antiblanc, techniquement soumis à son premier ministre, qui continuerait de harceler l’électorat RN sous son nez tout en l’insultant quotidiennement comme le font insolemment les juifs vis-à-vis des goyim qu’ils escroquent.
Le ministère de la Culture suivrait la même pente : 10 milliards d’euros annuels pour payer des parasites de gauche à produire de l’art dégénéré. Si Marine Le Pen coupait les fonds, même partiellement, la juiverie et ses clients ressortiraient le couplet antifa « quand j’entends le mot culture, je sors mon révolver ». Elle serait qualifiée de Nazie, purement et simplement. Les Césars et le Festival de Cannes seraient des rassemblements antifascistes internationaux où les juifs à caméras viendraient appeler à « libérer la France ».
Les juges, comme un seul homme, videraient les prisons, maintiendraient jusqu’au dernier violeur clandestin de Gambie sur le territoire français. Dans le même temps, les Blancs seraient sauvagement persécutés pour le moindre mot de travers sur Facebook.
Le ministère des Sports serait un autre bastion de l’insurrection. Ce ministère, plus qu’aucun autre, est un ministère immigré. Il fonctionne sur l’importation de nègres depuis l’Afrique entière pour faire illusion à l’international.
Immédiatement, ce serait le boycott de toutes les sélections nationales, EdF en tête.
Sur les réseaux sociaux, tous les nègres et les bicots de Ligue 1 proclameraient l’interdiction formelle de jouer pour l’Equipe de France pour ne pas servir de « tirailleurs sénégalais ou maghrébins » à la France lepéniste sous peine de mise à mort sociale puis physique. Le nègre blanc Griezmann se mettrait à genoux, suppliant les derniers Blancs de L1 et de L2 de participer au boycott antiraciste. Marine Le Pen serait effondrée, en larmes, elle qui vibre devant chaque créature marron qui brandit un tricolore. N’accepteraient plus de jouer en EdF que des petits Blancs de National, par apolitisme. Profondément choquée par la perspective d’une Equipe de France intégralement blanche, Marine Le Pen en perdrait le sommeil.
La France sportive blanchirait à vue d’œil, non pas par adhésion mais par défaut. Nous ferions un pas de 75 ans en arrière, par accident.
Tous les sports seraient touchés, dressant le public blanc encore sain d’esprit contre la masse des métèques et des gauchistes pathologiques. Tout sportif qui accepterait de participer à une compétition serait ipso facto considéré comme un collaborateur du régime pétainiste et menacé de mort.
Dans cette ambiance de guerre générale, la police, la gendarmerie et l’armée deviendraient de facto ce qu’en disent les bougnoules, les nègres et la gauche : le bras armé du suprémacisme blanc. C’est ce qu’en diraient les USA et l’ONU. Les flics et les militaires, désormais aux ordres de Marine Le Pen, seraient assimilés à des agents de la suprématie blanche en armes. L’Otan ferait des listes de gradés suspects de sympathies pour le RN en vue de leur purge ultérieure.
Les communes bougnoulisées s’organiseraient en républiques autogérées avec l’aide des écolo-gauchistes, des socialistes, des communistes. Les imams prêcheraient le djihad tous les vendredis. Ils seraient rejoints par les curés homosexuels de Caritas et les putes à nègres de la France entière.
Un million de clandestins leur serviraient de troupes de choc.
Dans un tel foutoir, les capitaux quitteraient la France à la vitesse de l’éclair. Les cols blancs s’enfuiraient pour former un gouvernement en exil soutenu par Washington.
L’Euro serait condamné, remplacé par un franc en perpétuel dévaluation, Marine Le Pen tentant stupidement de rembourser une dette irremboursable. Le coût de la vie réelle s’envolerait, l’insécurité serait générale avec des millions de métèques prêts à tout pour vivre sur le pays.
Toutes les puissances étrangères viendraient mettre leur nez dans ce merdier : les USA, la Grande-Bretagne, la Conférence des Etats Islamiques, Israël. Le spectre des katibas algériennes plane sur nous, financées par le Qatar, encadrées par la Turquie, promues à l’international par le Département d’Etat.
Ce serait vraiment glorieux.
La plèbe gauloise serait poussée au fascisme contre son gré, en dépit de ses protestations antiracistes.
C’est pour toutes ces raisons que je ne crois pas que des élections auront lieu si Marine Le Pen peut effectivement l’emporter. Il suffit de prétexter de nouveaux variants pour repousser les élections ou instaurer le vote par correspondance pour truquer le résultat comme aux Etats-Unis.
Mais si cela arrivait, rien dans l’histoire de France, pas même la Révolution Française ou l’Epuration ne tiendrait la comparaison.
Si Marine Le Pen devait finir à l’Elysée, vous seriez tous ipso facto en danger de mort, ciblés de toutes parts. Il faut prendre cette possibilité, même faible, au sérieux, par la force des choses. Préparez-vous à vous défendre car les flics seraient trop occupés à essayer de ne pas finir égorgés par des bougnoules pour s’occuper de quoi que ce soit.
J’ajoute que dans un tel contexte, de nouveaux espaces de manœuvre s’ouvriraient pour nous et qu’il faudrait agressivement exploiter.
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