Le pape anal décide de donner aux femmes le pouvoir de nommer les évêques

La rédaction
Démocratie Participative
07 juillet 2022

 

Suivre l’actualité de ce qu’il reste de l’Église catholique est difficile.

Il faut alterner entre les homosexuels, les noirs et les femmes.

Toujours est-il que Bergoglio veut que cette organisation LGBT soit co-dirigée par des femmes, en plus des homosexuels donc.

Le média juif Libération, administré par l’officier du renseignement de l’armée israélien Dov Alfon, salue « un grand progrès ».

Le journal homo-communiste « La Croix » est également très heureux.

Le pape François a déclaré vouloir donner aux femmes un droit de regard sur la nomination des évêques.

Quand les femmes s’occupent de religion en Occident, cela se termine toujours de la même façon.

A chaque fois que les femmes sont promues à des positions d’autorité, le but de l’organisation dont elles prennent la direction change. Dans les églises, elles remplacent la foi, la doctrine et les écritures par « l’inclusivité » et le collectivisme mou du matriarcat.

L’antique structure dominatrice, guerrière, expansionniste et civilisatrice devient un safe space multiculturel.

Les spéculations abstraites n’intéressent pas les femmes, elles veulent « se sentir bien ». Pour « se sentir bien », leur mémoire génétique de femelles conquises, raptées et violées les pousse à limiter drastiquement tout risque de violence guerrière propre au monde masculin, ce qui passe par la destruction des différences susceptibles de déboucher sur des conflits.

L’égalitarisme est une vision du monde fondamentalement femelle. C’est la raison pour laquelle les femmes aspirent profondément au communisme, dans le temps (la fin de l’histoire) et l’espace (l’abolition des classes, races, sexes, etc.), c’est-à-dire à la fin du viol.

Dans les églises, l’hypergamie devient le nouvel enseignement. Ce que veulent les femmes, souvent des gouines, devient « la volonté de Dieu ». Les homosexuels les aident dans leur tâche, par peur de la violence masculine hétérosexuelle.

Deux sodomites, une goudou : une église

L’organisation en question s’affaiblit à mesure qu’elle perd toute culture guerrière, autrement dit, toute pertinence politique.

Finalement, elle est remplacée par une autre culture raciale qui conserve ses caractéristiques guerrières, qui se sait agissante dans l’histoire, qui est politique.

Bref, qui est dominatrice.

Les femmes se soumettent toujours à une puissance dominatrice, ce n’est qu’une question du degré de violence nécessaire pour convaincre une femme de s’y soumettre. Les mêmes femelles hurlantes contre le lion mort du patriarcat « chrétien » seront celles qui se précipiteront aux pieds du fauve islamique en applaudissant chaque meurtre.

On sait qu’une nation, un empire, une religion est mort quand les femmes y détiennent enfin l’autorité, c’est-à-dire la non-autorité.

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