La rédaction
Démocratie Participative
24 janvier 2024
Depuis le Covid et la fermeture totale des frontières, on le savait, mais le Pakistan vient de le rappeler : un état dispose de tous les moyens coercitifs pour contrôler son territoire.
Après la Birmanie, c’est le Pakistan, un état médiéval islamique doté de la bombe nucléaire, qui vient d’en faire la démonstration.
Plus de 500 000 Afghans ont quitté en quatre mois le Pakistan, qui avait décrété un ultimatum en novembre dernier pour le retour dans leur pays des sans-papiers, a annoncé lundi l’Organisation internationale des migrations (OIM).
Entre le 15 septembre et le 13 janvier, 500 200 Afghans vivant au Pakistan sont rentrés chez eux, a indiqué lundi 22 janvier l’Organisation internationale des migrations (OIM). La grande majorité sont passés par les postes-frontières de Torkham et Spin Boldak.
Islamabad avait fixé un ultimatum au 1er novembre pour le départ de 1,7 million d’Afghans sans-papiers. Le gouvernement pakistanais avait justifié sa politique pour « le bien-être et la sécurité » du pays, où le sentiment anti-afghan est en hausse sur fond de crise économique et de multiplication des attentats à la frontière.
Le Pakistan n’a pas le dixième des moyens financiers et techniques dont dispose un état européen pour mener une telle politique.
Pourtant, il faudrait 29 ans au gouvernement français actuel pour réaliser les performances de cet état avec ses 500,000 expulsions en un trimestre.
Immigration : 17 000 expulsions et 323 260 demandes de premiers titres de séjour en 2023 https://t.co/Dwn4gYqtny
— DNA (@dnatweets) January 25, 2024
Tout est une question de volonté. La volonté des démocraties juives est de repeupler les pays blancs avec des centaines de millions de créatures du tiers-monde.
Des avocats et militants avaient dénoncé une répression sans précédent. « Le gouvernement pakistanais a recours à des menaces, des mauvais traitements et au placement en détention pour contraindre les demandeurs d’asile afghans sans statut légal à retourner en Afghanistan ou à faire face au risque d’expulsion », avait alors déploré Human Rights Watch (HRW).
La plupart ont franchi la frontière avant le 1er novembre, craignant d’être arrêtés au Pakistan. « Depuis le pic initial autour du 1er novembre, le nombre d’individus traversant la frontière a baissé régulièrement, mais il reste plus élevé qu’avant le 15 septembre », écrit l’OIM. Entre le 1er et le 13 janvier, environ 10 000 Afghans sont rentrés dans le pays, ajoute l’agence onusienne. Selon des médias afghans, une centaine de personnes passent encore chaque jour du Pakistan vers l’Afghanistan.
Certains des Afghans rentrés chez eux ont vécu des années, voire leur vie entière au Pakistan. Des milliers d’Afghans étaient allés trouver refuge au Pakistan ces dernières décennies, fuyant les conflits.
Parmi eux, quelque 600 000 personnes avaient quitté leur pays en raison du retour au pouvoir à Kaboul en août 2021 des Taliban, qui ont imposé une interprétation ultra-rigoureuse de la loi islamique.
Les pakistanais sont aussi sunnites que les afghans, ce qui ne les a pas empêché de chasser leurs frères de religion avec une implacable dureté.
Les gauchistes blancs qui disent qu’il serait « impossible » d’expulser des millions d’allogènes mentent éhontément. D’ailleurs, ils croient qu’elle est tout à fait possible, sinon ils ne seraient pas dans les rues.
🔴 INFO – #Allemagne : La manifestation contre l’extrême droite organisée à #Munich a été interrompue en raison de la trop forte affluence dans les rues de la capitale bavaroise. Les organisateurs ont déclaré que 50.000 personnes s’étaient rendues à cette marche. pic.twitter.com/TyTPfOSkXV
— FranceNews24 (@FranceNews24) January 21, 2024
Il suffit d’une volonté ferme et la faune allogène se bousculera dans les aéroports pour repartir d’où elle vient.
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