Le nombre de Français refusant de se faire vacciner atteint désormais 60%

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 Décembre 2020

 

Pour une fois, le caractère indiscipliné des Français est sur le point de nous servir à quelque chose.

BFMTV :

Seuls 40% des Français interrogés par Santé publique France disent « vouloir certainement ou probablement se faire vacciner » contre le coronavirus. C’est 13 points de moins qu’en novembre.

C’est une valeur qui a de quoi inquiéter, à deux jours du démarrage de la campagne de vaccination contre le coronavirus en France. Selon le point épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France publié jeudi soir, les Français sont de plus en plus frileux à l’idée de se faire vacciner.

Dans le détail, l’enquête qui suit « l’évolution des comportements et de la santé mentale pendant l’épidémie » de Covid-19 indique que 40% des Français interrogés déclarent « vouloir certainement ou probablement se faire vacciner contre la COVID-19 », soit moins de la moitié de la population.

C’est 13 points de moins que lors de la précédente enquête de Santé publique France réalisée en novembre. La campagne de vaccination démarre dimanche tout juste un an après l’émergence de ce nouveau coronavirus dans le monde. Une rapidité inédite qui suscite de l’espoir mais nourrit aussi la méfiance de toujours à l’égard des vaccins.

L’adhésion est notamment en baisse chez les personnes âgées de 65 ans et plus, pourtant les cibles prioritaires du vaccin. Tout en restant majoritaires, ils sont 61% à vouloir se faire vacciner, alors qu’ils étaient 72% il y a deux mois.

Le gouvernement espère dans un premier temps cibler les personnes âgées, avec d’abord « quelques dizaines de résidents » dans « deux ou trois » établissements pour personnes âgées, précisait Olivier Véran mardi.

Santé publique France tire donc la sonnette d’alarme. « Les résultats largement disponibles concernant l’efficacité du vaccin contre la COVID-19, ainsi que la tolérance et la sécurité d’emploi des essais cliniques des deux premiers vaccins ne semblent pas convaincre les personnes interrogées ».

Les gens sentent manifestement l’arnaque.

La façon dont toutes les voix discordantes sont diabolisées par les médias – quand elles ne sont pas jetées dans des hôpitaux psychiatriques par les juifs, comme le Professeur Fourtillan – a fini par convaincre une grande part de la population française qu’il y a juif sous roche.

Face à cette rébellion passive, les médias vont inévitablement recourir à leur tactique favorite : le terrorisme.

D’ici quelques jours, nous allons subir un furieux tir de barrage médiatique pour expliquer aux masses que l’Apocalypse virale est imminente et que des centaines de milliers de gens vont mourir dans les rues.

Enfin, non, ils ne donneront pas de chiffres car ils savent qu’on le leur rappellera d’ici quelques semaines, une fois que cette Apocalypse aura encore manqué de se matérialiser.

Ils resteront donc très évasifs.

Une de leurs ficelles, dans ce genre de situation, consiste à activer la peur la plus primitive de la mort chez les gens. On leur parle de cadavres s’entassant dans les rues.

Personne n’ira bien évidemment vérifier si ces camions se trouvent bel et bien dans l’enceinte de cet hôpital, combien il y en a et surtout, s’ils serviront jamais. Le titre de cet article suffit pour semer la terreur en faisant défiler des images infernales dans l’esprit des gens.

Une autre ficelle est la culpabilisation. Les médias vont accuser ceux qui refusent de se faire vacciner d’être des assassins par défaut. Pire, des assassins de vieux.

Enfin, il sera question des méthodes à employer pour rendre cette vaccination obligatoire.

Si la vaccination de masse n’a pas lieu, ce coup d’état total orchestré par les élites globalistes échouera et sera suivi par une véritable révolution.

L’objectif, comme très souvent expliqué ici, est d’empêcher que la crise des dettes souveraines ne se transforme en révolution et ne fasse chuter le système construit par les juifs en 1945, à Bretton Woods.

Pour éviter que cette crise financière et monétaire n’emporte le système, il n’y a qu’une solution pour les élites globalistes : le communisme 2.0. C’est-à-dire la collectivisation du secteur économique privé, l’abolition des banques privées – donc de l’épargne – au profit des grandes banques centrales et l’instauration du revenu universel après l’interdiction du cash et son remplacement par des monnaies numériques.

Ce programme va instaurer un système où quelques gigantesques multinationales de la Silicon Valley contrôlées par une poignée de juifs administreront toutes les nations occidentales d’une main de fer avec l’aide d’états communistes.

Mais pour cela, il leur faut soumettre les nations par la terreur sanitaire pour leur faire abandonner jusqu’à leurs dernières libertés anthropologiques. Comme le fait de pouvoir se déplacer d’un point A à un point B sans autorisation de la police. Le vaccin, en lui-même, est simplement le prétexte pour mettre en place le principe du contrôle total des personnes, de leurs mouvements, de leurs activités et de leurs interactions sociales. Faute de quoi, une révolution ne manquera pas d’éclater car nous n’avons pas encore vu l’avalanche de faillites qui doit survenir à la minute où l’Etat, avec l’aide de la finance internationale, débranchera la machine respiratoire des subventions.

Le socialisme juif international : Henry Morgenthau et John Keynes à Bretton Woods

Ce projet est aussi radical que celui imaginé en 1944 contre l’Allemagne par Morgenthau, le ministre des Finances de Roosevelt. Selon ce plan, 40% de la population allemande devait être mise à mort par l’organisation d’une famine de masse sur le modèle utilisé par les commissaires politiques juifs en Ukraine. Ce que le Secrétaire d’Etat à la Guerre US Henry Stimson, opposé au plan, qualifia de « vengeance sémitique » dans son journal personnel.

Seule l’intervention de quelques hommes d’état américains et britanniques permit de limiter l’application du plan mais il entraîna néanmoins la mort de millions de civils allemands de 1945 à 1949.

C’est la forme de communisme qui nous attend : la totalité de la production utile contrôlée par un petit cartel de grands féodaux juifs et l’administration coloniale de l’Occident par des états communistes chargés de faire régner ce nouvel ordre hébraïque. C’est-à-dire le démantèlement économique des nations pour en faire des fiefs soumis au joug sauvage de la juiverie financière internationale.

Mais si les masses refusent de prendre ce vaccin, cela ne peut qu’entraîner la remise en cause générale de l’état d’urgence sanitaire en tant que tel, rendant impossible de la révolution juive qui est prévue. Pour les juifs, cette option n’est tout simplement pas envisageable.

Le gouvernement français est sur le point de faire face à une très grave crise. S’il ne parvient pas à pacifier la population par l’arme sanitaire, le cartel juif international va très rapidement mettre au point la liquidation politique de ses dirigeants, c’est-à-dire de Macron et son remplacement par un fondé de pouvoir plus enthousiaste.

Il est d’ailleurs tout à fait révélateur qu’un des pions médiatiques de l’oligarchie techno-sanitaire comme le belge Laurent Alexandre soit invité sur les plateaux télés français pour menacer directement LREM en cas d’échec, ne manquant pas de faire allégeance à Israël au passage.

Bien évidemment, Israël donne le ton pour signifier qui dirige mais le peuple élu n’a rien à craindre du système qu’il met lui-même en place. C’est un simulacre pour goyim crédules.

Le petit discours de Macron sur « le caractère non obligatoire » du vaccin va très vite être remplacé par un ton beaucoup plus impératif.

Si Macron échoue, il sentira le nœud financier se resserrer dans les prochains mois. Sans l’endettement illimité liée à la mise en place de la tyrannie sanitaire, l’Etat Français n’a aucune chance de survie et Macron le sait parfaitement.

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