La Rédaction
Démocratie Participative
18 juin 2024
Les Chrétiens croient en l’égalité des races et des QI
Le catholicisme est mort chez les Blancs, singulièrement en France. Il y a désormais moins de 6% de Français pratiquants, dont une écrasante majorité de personnes âgées. 52% des moins de 30 ans se disent sans religion.
Mais tout n’est pas perdu !
Le christianisme, lui, revit.
Le 15 juin 2010, une nouvelle maison protestante s’est installée dans le paysage religieux français : le Conseil national des évangéliques de France connu sous l’acronyme CNEF. Sur le papier, l’organisation existait déjà depuis plusieurs années mais elle est devenue ce jour-là une fédération à part entière, indépendante de la Fédération protestante de France.
Ce week-end, plus précisément samedi, l’organisation a fêté ses 14 ans d’existence, l’occasion de revenir sur la genèse de sa création ainsi que sur son évolution.
Aujourd’hui, le CNEF représente plus de 70% des Églises protestantes évangéliques de France avec 34 unions d’églises et 179 associations membres. L’organisation compte également un bureau composé de cinq membres élus pour trois ans. Depuis juin 2022, elle est présidée par le pasteur Erwan Cloarec.
Aussi, en 14 ans les évangéliques ont connu une expansion croissante. Le nombre d’églises évangéliques a en effet bondi de 50 % tandis que le nombre de pratiquants a été quasiment multiplié par deux.
Lors de l’Assemblée plénière du CNEF sur le thème « Engagé dans la société », qui s’est tenue la semaine dernière, Erwan Cloarec a en outre rappelé dans son discours le rôle de l’Eglise, envoyée dans le monde pour être une source de bénédiction.
Et pour être bénis, nous sommes bénis.
L’afro-américanisation mentale est en route dans les grandes villes françaises.
Noirs d’Afrique, mulâtres et débris de peuplement blanc communient sur fond de rap.
Il n’est pas inutile de rappeler que les évangéliques sont des golems au service d’Israël. Leur religion repose pour ainsi dire sur la Torah et il considère que le régime de Tel Aviv est le bras séculier de Yahvé sur terre. Les noirs, en particulier, sont intraitables sur ce point.
Aujourd’hui, on estime à 1,1 million leur nombre, mais grâce à l’ouverture totale des frontières, ils vont continuer d’exploser.
Le dialogue interreligieux commence déjà à se corser entre nouveaux Fronssais.
Christian preacher in Paris surrounded and threatened by a crowd of Islamic immigrants. Paris is lost. pic.twitter.com/7nXIyJGhgv
— RadioGenoa (@RadioGenoa) May 2, 2024
D’ici 20 ans, le christianisme en France sera un phénomène exclusivement africain. Les évêques catholiques, bien conscients du problème, misent sur une dynamique politique de remplacement démographique pour garnir leurs églises, désespérément vides.
Le chef des Catholiques, Bergoglio, est intarissable sur la question.
Il y a deux semaines, il s’exprimait sur la submersion de l’Europe. Il la veut totale et se fait un ardent militant de la destruction des états par le démantèlement de leurs frontières qu’implique l’immigration massive.
De même, il est possible de voir dans les migrants de notre époque, comme dans ceux de tous les temps, une image vivante du peuple de Dieu en marche vers la patrie éternelle. Leurs voyages d’espérance nous rappellent que « nous avons notre citoyenneté dans les cieux, d’où nous attendons comme sauveur le Seigneur Jésus Christ » (Ph 3, 20).
Les deux images – celle de l’exode biblique et celle des migrants – présentent plusieurs analogies. Comme le peuple d’Israël au temps de Moïse, les migrants fuient souvent des situations d’oppression et d’abus, d’insécurité et de discrimination, d’absence de perspectives de développement. Comme les hébreux dans le désert, les migrants rencontrent de nombreux obstacles sur leur chemin : ils sont éprouvés par la soif et la faim ; ils sont épuisés par les peines et les maladies ; ils sont tentés par le désespoir.
Dieu ne marche pas seulement avec son peuple, mais aussi dans son peuple, en ce sens qu’il s’identifie aux hommes et aux femmes qui cheminent dans l’histoire – en particulier aux derniers, aux pauvres, aux marginalisés – comme s’il prolongeait le mystère de l’Incarnation.
C’est pourquoi la rencontre avec le migrant, comme avec tout frère et sœur dans le besoin, « est aussi une rencontre avec le Christ. Il nous l’a dit lui-même. C’est Lui qui frappe à notre porte, affamé, assoiffé, étranger, nu, malade, emprisonné, demandant qu’on le rencontre et qu’on l’assiste » (Homélie de la Messe avec les participants à la Rencontre “Libres de la peur”, Sacrofano, 15 février 2019).
Chers frères et sœurs, en cette Journée dédiée aux migrants et aux réfugiés, unissons-nous par la prière pour tous ceux qui ont dû quitter leur terre à la recherche de conditions de vie décentes. Sentons que nous cheminons avec eux, faisons ensemble “synode” et confions-les tous, ainsi que la prochaine Assemblée synodale, à l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, signe d’espérance sûre et de consolation sur le chemin du peuple fidèle de Dieu » (Rapport de synthèse, Poursuivre le chemin).
Cet onctueuse guimauve biblique est du communisme marron chimiquement pur.
Nous avons donc les juifs et leurs supplétifs yahvistes d’un côté, les mahométans de l’autre.
Pour l’homme blanc, il est temps de sortir de cette impasse abrahamique.
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